Elle était considérée en interne comme un talent d’Atos et regardée par ses collaborateurs comme efficace et performante, selon les témoignages recueillis par le blog.
United Atos « l’a tuer ».
Elle avait été promue à la tête de Eviden France et Eviden Europe du Sud après le départ de Yannick Tricaud le 1er avril.
La stratégie « United Atos » a conduit Paul Saleh et/ou JP Mustier à un arbitrage et c’est Raoul Roth CEO de TFCo France qui a pris la tête de l’ensemble des opérations du groupe en France.
Nous ne savons pas si c’est la rétrogradation vexatoire, ou l’état d’Eviden qui l’a poussé dehors, ni sa future destination, toujours est-il que selon une source interne fiable du blog, Hélène Bringer aurait posé sa démission ou trouvé un accord transactionnel.
Selon nos informations, en incluant la déconsolidation de Worldgrid, l’effectif du groupe Atos est passé sous les 80,000 employés et serait prévu à 77 000 employés au 31 janvier.
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Si vous avez subi des pertes en tant qu’actionnaire ou ancien actionnaire d’Atos, ou en tant que porteur d’options donnant droit à des actions, sachez qu’une action en réparation est en cours de préparation. Des informations complémentaires sont disponibles sur le site Upra.fr (l’Union Pour la Réparation des Actionnaires). Notre association tente, pour la première fois, de lancer une action groupée financée par des fonds spécialisés dans le financement de contentieux. Il s’agit d’une première en France dans un dossier où des manquements à la réglementation boursière et comptable sont suspectés. Et il s’agit aussi d’une chance pour les plaignants puisque cette action est sans aucune avance de fonds, ni aucun engagement financier, hormis en cas de victoire.
La France connaît un précédent significatif de financement de contentieux par des fonds spécialisés. Ce précédent fait suite au gel des avoirs du fonds H20, consécutif à une violation de la réglementation applicable aux gestionnaires de fonds d’actifs. Bien que ce précédent soit quelque peu différent du nôtre, les discussions avec les fonds initiées dès février avancent car il y a de l’intérêt pour pénétrer un nouveau marché en France. Ces discussions sont donc longues en raison de l’absence de précédents, mais elles progressent.
En résumé, que vous soyez actionnaire ou porteur d’options donnant droit à des actions, vous pouvez espérer recouvrer une partie de vos pertes et vous joindre à la cause sans qu’aucun versement de votre part ne soit nécessaire. La réussite de l’action dépendra du nombre de « pertes éligibles » que nous pourrons rassembler. Le caractère éligible ou non des pertes dépend de l’issue des investigations sur les comptes du groupe ces dernières années. Si vous n’êtes pas encore préinscrit sur le site de l’UPRA, il est encore temps de le faire. Un site web sera entièrement dédié à l’action, on espère courant automne.
Pour des raisons de coûts de procédure, elle est réservée aux personnes ayant subi des pertes supérieures à 10 000€ minimum, sinon les coûts judiciaires, avocats, expertises, etc… qui vont se monter en millions d’euros seraient supérieurs à la perte et ne seraient pas rentables pour le fonds de litige. Soyez assuré qu’il ne s’agit pas de snobisme, mais réellement de contraintes financières.