Le « Salle travail » à venir pour Léon Le Nettoyeur – Faire le ménage chez les Conseils & Advisors de Atos [Analyse-blog]

Le blog via un calcul estimatif à vérifier et si des personnes de la RH veulent nous contacter à cet effet : admin@bourse.blog, considère que ces honoraires de conseils & advisors dépasse la rémunération cumulée des salaires des 500 tops managers d’Atos. Estimation indépendante de l’opération d’Artagnan et à prendre sous toutes réserves, car si nous connaissons le dossier Atos sous le bout des doigts, nous confessons que la RH n’est pas notre domaine de prédilection et d’où le terme « estimation ».

Dès lors, on peut se demander si les dirigeants d’Atos et en particulier le mafieux non regretté Bertrand Meunier en externalisant toutes les responsabilités de la société Atos aux sociétés de conseils, n’a pas amené à une situation où les conseils d’Atos sont devenus  de fait les dirigeants de l’entreprise et que se rendant indispensables, ils fixent eux-mêmes leurs honoraires avec peu de marge de négociation pour Atos puisque indispensables. Ainsi en allant au bout du raisonnement, ils se seraient rendus potentiellement coupables d’abus de bien social. CQFD.

Cette théorie n’est qu’une réflexion et il faudrait qu’elle soit validée par un juge pour que de simple réflexion, elle devienne un délit. Si vous êtes intéressés par une possible plainte pénale à ce sujet, adhérez gratuitement à association loi 1901 UPRA (Union pour la réparation des actionnaires d’Atos). La seule condition est d’avoir été actionnaire d’Atos ou de l’être encore. Si vous avez subit une perte inférieure à 10 000€ et que vous n’êtes pas éligible en tant que plaignant au civil, vous pourrez être plaignant au pénal. Pour une simple adhésion comme membre honoraire, entrez 0 en quantité d’actions.

Si parmi les lecteurs il y a un juge en retraite, son avis sera bienvenu : admin@bourse.blog

D’ailleurs il faut reconnaitre à Marc ENDEWELD que toujours dans le même article Le bal des prédateurs il évoquait déjà la mainmise des conseils d’Atos et  parlait même de mise sous tutelle de McKinsey ! Voici l’extrait :

Atos sous la tutelle de McKinsey

En attendant, Atos est surtout géré par des conseils externes. Si MacKinsey a commencé à travailler pour Atos sous la direction de Thierry Breton, c’est en fait sous le mandat fugace de Rodolphe Belmer comme directeur général lors du premier semestre 2022 que la collaboration entre Atos et McKinsey a pris un tour bien plus considérable.

Selon mes informations, en janvier de cette année-là, un contrat de 80 millions d’euros sur un an entre le cabinet de conseil américain et le groupe de service informatique a été dans un premier temps retoqué par le comité d’audit et le conseil d’administration avant d’être renégocié à la baisse. Une chose est sûre : depuis 2022, Atos est l’un des principaux clients de McKinsey France. « Ils sont absolument à tous les étages », confie un salarié du groupe. Résultat, une grande partie du management est déresponsabilisé et ne s’occupe plus des opérations, d’autant plus que depuis deux ans, le plan de scission de Bertrand Meunier occupe tous les esprits. « Tout le monde discute de la découpe, et pendant ce temps-là, les gens ne s’occupent plus des clients, des salariés, des opérations », s’attriste un bon connaisseur d’Atos. « Il ne faut pas oublier que les principaux actifs d’Atos sont ses salariés. Ça peut vriller très vite, d’ailleurs, les clients partent de plus en plus » (de nombreux clients ont notamment un contrat à cheval entre les deux entités).

Les conseils ne sont pas uniquement chez eux chez Atos… Ils le sont aussi au sein du conseil d’administration, en étant régulièrement invités à assister aux réunions organisées souvent ces derniers temps en visio et en anglais. « C’est le modèle private Equity de Meunier : il ne peut pas prendre de décision sans avoir tous les conseils autour de la table », raille un actionnaire.

ON POURRA REMERCIER RENÉ PROGLIO, président du comité d’Audit d’avoir en effet fait réviser les honoraires de McKinsey à la baisse puisqu’ils ont en effet été réduits de pile 30% à 56M€. Faites un dernier pas de plus, monsieur Proglio. Vous êtes le seul à avoir eu les couilles de témoigner des magouilles de Meunier à l’AMF, soyez témoins de L’UPRA au procès contre les auditeurs en tant que lanceur d’alerte et la protection juridique que vous apporte ce statut. admin@bourse.blog ou +66618218859 (tel/whatsapp).

En ce qui concerne la « tutelle » de McKinsey évoquée par Marc Endeweld, le blog lui pense beaucoup plus à DARROIS qu’à McKinsey et nous pensons que Marc Endeweld a raison, mais qu’à moitié. McKinsey est tombé en disgrace après le fiasco de la scission, à une autre époque on aurait dit qu’il n’est plus en cour. Et Ernst & Young non plus puisque co-auteur du plan de scission dénoncé par le blog dès son tout premier article. Je rappelle qu’à l’époque le Blog était seul contre tous pour dénoncer la scission débile « Meunier-E&Y-McKinsey » et que même sur notre propre forum à l’adresse forum.bourse.blog, 80% des membres étaient pro-scission lors d’un sondage réalisé début 2023.

Ce n’est qu’après une série d’article fleuves, LA SCISSION ATOS – Intro – Partie 1 – Partie 2 – puis enfin LA SCISSION PREND L’EAU que l’opinion publique a commencé à avoir des doutes.

DARROIS a totalement pris le contrôle de la direction juridique. Comme nous l’avions dit dans un précédent articles, nous avons appris par des collaborateurs proches de Madame Galbe et Monsieur Bihmane, que ces derniers voulaient absolument faire une opération transparence comme le dit de manière totalement erroné dans le même article sur cette histoire de prime de 15M€ et de 25M€, et voulait communiquer le package d’incentive qui était selon nos infos respectivement de circa 0.60% du capital pour Madame Galbe et circa 0.9% pour Monsieur Bihmane sous condition de présence de 5 ans et de MOP de 8% à 5 ans. Or DARROIS soutenu par le bègue, leur a strictement interdit la moindre communication publique à ce sujet. Bertrand Meunier a donc mis DARROIS de fait comme co-président du board et comme co-DG avec Meunier également DG de fait et Mr Bihmane simple DGA, et encore les bons jours…

DARROIS avait donc de manière sûre et certaine un pouvoir hiéarchique sur le DG du groupe Mr Bihmane, ainsi que sur la DGA du groupe (son titre de l’époque, elle en est à sa sixième ou septième fonction, les (vilaines) mauvaises langues l’appellent même en interne « Madame Tournez-Manège »), c’est donc bien un début de preuve que DARROIS était dirigeant de fait de Atos et potentiellement responsable civilement et pénalement…

Qu’ils dégagent.

Allez Léon, zou, fait le job !

Et puis pour les faux PV du bord du 31 juillet réécrit selon Marc Endeweld, y’a bien quelqu’un qui va finir par se mettre à table… Des faux pour un avocat, ça la foutrait mal, non ? Pénal + conseil de l’ordre 😀 😀   La roue tourne va tourner comme dirait Franck Ribery 😀 😀

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