A 1€ symbolique certes, MAIS SANS chèque à Kretinsky DONC AVEC DES TERMES TRÈS DIFFERENTS DE LA FAKE NEWS HONTEUSE DE PECHBERTY, qui font que ce deal que nous allons présenter est un pis-aller honnête malgré tout.
Les membres de notre forum ont pu voir mon message d’hier sur le fait que j’avais eu une info qui était que contrairement à la fake news de Pechberty, c’était Kretinsky qui aurait à faire un chèque à Atos et que Atos avait fait une offre « à prendre ou à laisser », à savoir que Atos était bel et bien d’accord pour dealer avec Kretinsky.
Donc sur le point précis de négociations avancées entre Atos et Kretinsky, en effet selon mes informations il ne s’agit pas du tout d’une rumeur. Mais qu’Atos ne voulait pas brader TFCo et se montrait ferme sur ses conditions, renvoyant la balle dans le camp de Kretinsky avec une dernière offre ne nécessitant pas de faire de chèque à Kretinksy mais avec un périmètre TFCo légèrement élargit comme cela a été présenté au CMD et qui revalorise donc TFCo.
On peut donc dire que Atos, ce faisant, fait quand même un petit chèque à Kretinsky, mais en nature avec le cloud inclut dans l’euro symbolique.
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Pourquoi ce titre? « On va nous vendre Kretinsky ou une AK ? » Parce que immédiatement à la lecture de la fake new de Pechberty on était en membre défibrilateur auprès des membres de notre forum. Avec la cession pour 1€ symbolique, on a rangé le défibrilateur mais on a sorti les bombes de Ventoline. Céder TFCo à 1€ ca sucite tout sauf l’enthousiasme. Donc je supose et suppute, mais j’ai aucune info sur le sujet, que pour faire passer la pillule, ça va être, le niveau d’endettement d’Atos est encore élevé, et il se pose un choix, faire une AK ou se séparer de TFCo pour éviter cette AK…
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A priori, il y aurait bien un chèque de Kretinsky comme annoncé dans mon article dénonçant le fake de Pechberty, mais la subtilité est que ce chèque serait la contrepartie d’une petite part de Eviden pour Kretinsky, via une AK réservée de 10% du capital. Vous allez me dire : alors le fake n’est pas un fake. Si car désolé, mais mentir sur 600M€ ça veut dire enlever 5€ d’actif par action Atos, donc si c’est pas un sacré mensonge de journaliste sans scrupule, ça, alors je ne comprends plus rien à rien…
Il n’y aurait absolument pas de chèque d’Atos à Kretinsky comme annoncé dans la fake de Pechberty, et encore moins sur un montant de 600M€ (même s’il a été question d’un chèque dans un premier round de négociations il y a 2 mois) MAIS, TFCo comme certains le craignaient et notamment l’analyste qui a posé la question à Nourdine durant le CDM, serait bien donnée à Kretinsky contre 1€ symbolique.
Toutefois cela valorise en fait TFCo à 1Md€, en tenant compte des pertes jusqu’à mi-2024 que j’estime à 300M€ d’après le CMD et les 700M€ à 750M€ restant à financer du plan de restructuration. TFCo serait donc en réalité malgré cet Euro symbolique trompeur, cédée sur une base de 20% de son CA 2024, puisque quelque soit l’acquéreur de TFCo, ces 1Md€ sont les fonds nécessaires à injecter à perte par l’acquéreur avant d’arriver à l’équilibre, en plus de l’injection de la trésorerie nécessaire au fonds de roulement de TFCo.
Il y aurait apparement eu des tensions entre Bertrand Meunier et Nourdine Bihmane, le premier voulant annuler le CMD d’où le fait que le lieu et l’heure n’ont été communiqué que lundi en milieu d’après midi, seulement un jour et demi avant l’évênement.
En fait la situation sur ces négociations serait plus complexe qu’imaginé et que le résumé n’est pas aussi simple que la question d’un analyste mercredi « pouvez-vous démentir que vous allez donner TFCo à Kretinsky pour 1€ + du cash ».
Nourdine Bihmane a clairement répondu sur la partie cash et la fake news de Pechberty : « We think that TFCo has a positive value ». Donc ca valide que mettre du cash étant une valeur négative, la fake news de Pechberty de mettre 600M€ en plus de l’euro symbolique n’est rien d’autre qu’une fake news d’un journaliste sur le retour.
News à laquelle Invest Securities ne croit pas non plus, et dénoncées par Invest Securities comme absurdes et remmettant totalement en cause leur valorisation à 18€ si elle était avérées et s’il y avait un chèque donné à Kretinsky.
C’est surprenant que personne n’ait relevé que Nourdine avait dit « we think that TFCO has a positive value ». Son silence confirme le deal en cours, mais cette phrase invalide la fake news.
C’est vraiment triste pour BFM qu’à ce jour l’article soit toujours en ligne et encore plus triste que Atos n’ait pas démenti. Mais si Meunier se souciait des actionnaires ça se saurait. S’il savait ce que veut dire communiquer, ça se saurait aussi…
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Le résumé des négo est le suivant selon mes infos :
Fin janvier, demande initiale de Kretinsky de 0€ + un chèque de 800M€. Cette offre a été rejetée immédiatement, mais la porte laissée ouverte à une offre mieux disante.
Deux mois après les parties auraient été plus proches l’une de l’autre. Kretinsky demandait à Atos de laisser 600M€ dans les caisses tandis qu’Atos acceptait de laisser 300M€ « seulement ». Les parties ne trouvant donc toujours pas d’accord mais suffisamment proches pour décider de continuer les négociations.
Enfin dans le dernier deal, Atos ne fait plus de chèque car il a migré le cloud de Eviden à TFCo (8% du CA 2022 de Eviden) et en contrepartie il cède TFCo pour 1€ sans laisser de trésorerie, donc sans chèque à Kretinksy.
Le cloud a été présenté comme un domaine très ambitieux dans le plan de redressement de TFCo, lors du CMD, mais jusqu’à présent il n’avait pas une gros rendement pour Atos, car sa MOP était autour de 2 à 3% seulement. En effet comme expliqué par Nourdine Bihmane, les serveurs Atos étaient clairement sous-utilisés.
Donc l’intégration du cloud dans TFCo n’augmente pas fondamentalement la valeur du deal, mais suffisamment pour permettre de proposer à Kretinsky un TFCo sans avoir à y injecter de l’argent, donc compensant environ 300M€ que Atos était sensé laisser dans TFCo avec sa proposition d’il y a 2 mois. Mais ce transfert du cloud à TFCo à une importance car il aurait créé une concurrence entre Eviden et TFCo.
Ca rééquilibre donc TFCo vis à vis d’Eviden et sécurise l’aquéreur, et du côté de Eviden ça n’enlève pas une grosse source de profit avec comme nous l’avons dit une MOP bien inférieur à celle de l’ensemble d’Eviden.
Donc enlever le cloud d’Eviden n’est pas une grosse perte pour Atos, tandisque que c’est un gros avantage coté TFCo.
Au cas où certains d’entre vous n’aurait pas complètement compris le deal et le trouveraient très en défaveur d’Atos, c’est que si TFCo est cédé à Kretinsky pour 1€ c’est bien sûr qu’Atos n’y laisse plus dedant les 30% de Eviden. Je ne l’avais pas précisé dans mes articles où je dénonçais le fake de Pechberty, tellement je pensais que ça allait de soit, mais des discussions sur la partie forum, m’ont fait comprendre que ce n’était pas évident pour tout le monde. Aussi je reprécise que si la valeur de TFCo nulle car cédée pour 1€, c’est aussi parce que ça n’inclue plus les 30% d’Eviden et que donc les actionnaires se retrouvent avec la totalité d’Eviden.
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Par contre je vous ai parlé d’un chèque de Kretinsky à Atos. Voici les précisions que j’ai eu :
New Atos, qui maintenant devient Eviden, a besoin de sécuriser ses ventes de sa Cyber à TFCo qui est son premier client. Elle demande donc à Kretinsky de faire un chèque de 300M€ via une AK réservée de 10% pour être actionnaire de Eviden, mais aussi pour faire rentrer du cash pour la restructuration de Eviden, qui est certes moindre que celle de TFCo mais estimé à 400M€.
Les actionnaires d’Atos après le deal auraient donc 0% de TFco contre 100% avant, mais 90% de Eviden contre 70% avant MAIS avec 300M€ de plus dans la caisse.
Ce faisant, on peut en déduire qu’Atos estime donc qu’il est équivalent pour les actionnaires d’avoir 90% de Eviden plutôt que 70% de Eviden et 100% de TFCo, car les 30% d’Eviden destinés à rester dans TFco auraient été de toute façon mangées par la restructuration de TFco.
La clé du problème actuel d’Atos et apparement depuis de nombreux mois, c’est le cash. Atos a besoin de 700M€ de cash pour la restructuration de TFCo et 400M€ d’investissement pour développer la Cyber et les centes Offshore Syntel en Inde. Cela fait 1.1Md€. Atos a une ligne de crédit de 2.7Md€, mais c’est juste un crédit revolving et avec Christine Lagarde, le taux est maintenant de 5.2%, soit 55M€ par an.
On peut donc imaginer qu’il y a des choses que Meunier nous cache sur ce besoin en cash et c’est ce qui l’incite depuis 6 mois à trouver des partenaires.
Le chèque de Kretinsky de 300M€ va payerait donc 75% des investissement de Eviden et 100M€ devraient être financés soit par l’amélioration de la MOP soit par le tirage dans la ligne syndiquée de 2.7Md€ qui n’a pour l’instant pas été trop solicitée.
Le double but de cette mini-AK est de sécuriser Eviden sur le fait que Kretinsky n’ira pas se fournir ailleurs en Cyber s’il a des billes dans Eviden, mais qu’il soit suffisament minoritaire pour pas inquiéter l’état. Je rappelle que 70% de la Cyber Eviden est vendue à TFCo. L’autre but est de financer les 400M€ d’investissments pour mettre la surmultipliée dans la cyber sans recourir à l’endettement.
Enfin, cette AK permet de valoriser Eviden sur une base de 3Md€ de capitalisation boursière, donc de rassurer les actionnaires sur le fait que le marché devrait valoriser New Atos (= Eviden) sur une valo proche de ce montant, sachant que je rappelle que l’on surpaie toujours un bloc, donc vraisemblablement la capitalisation devrait être de 2.5Md€ soit 24€ par action pour 100M et donc 22€ pour 90€.
Messieurs « le groupe des 52€ », il vous faudra patienter une décenie.
Est-ce que Meunier aura le courage de faire passer cette transaction hors AG, sachant que s’il arrive via un peu de passe-passe à mettre seulement 48 à 49% du CA dans TFCo il n’a plus besoin du vote des actionnaires et, pourrait en effet l’annoncer à l’AG et comme l’a annoncé Euro17, présenter sa démission à l’issue du T3, le 30 septembre, donc les actionnaires seraient tentés de ne pas le démettre pour seulement 3 mois et lui le temps de finaliser la cession.
Il n’y a pas eu de lettre d’intention, mais ce serait proche, d’où la terrible impossibilité de communiquer pour Nourdine pour éviter de faire foirer le deal et de se faire mal voir soit par son futur ancien patron ou par son futur nouveau patron.
Voilà ce que l’on m’a expliqué. C’est du N+3/N+4. Je n’en dit pas plus, je me suis engagé auprès de tous les collaborateurs Atos à appliquer les même règle que le journalisme sur l’anonymat des sources, y compris pour ceux dont j’ai le nom de famille et qui m’ont fait la faveur de cette confiance.
Je peux néanmoins vous citer un cours passage d’un mail d’il y a quelques semaines qui confirme un peu tout ça :
« …L’idée générale en interne Atos est que le spin-off était surtout prévu pour essayer de trouver un acheteur, préférablement pas un concurrent direct pour pouvoir continuer à travailler entre Eviden et Atos et n’a pas été prévue pour entrer en bourse comme Worldline l’a été. Aucun document récent ne montre que juillet était sérieusement envisagé. Donc repoussé de 5 mois pour essayer de continuer les négociations… ».
Ce qui n’est pas encore clair pour moi, c’est si Kretinsky achète Atos et le spinoff continue et que les actionnaires vont avoir une action Eviden ou gardent leur action Atos. A priori, ce devrait être un simple échange de raison sociale pour que TFCo continue de garder le nom Atos et que la société Atos reste la société Atos actuelle avec son Kbis, mais s’appelle Eviden (pas facile à conceptualiser je reconnais).
Reste à savoir maintenant s’il vaut mieux donner TFCo à Kretinsky ou faire une AK….
Ce qui est sûr c’est que le bilan Meunier ce sera d’avoir fait passer Atos de 12Md€ en 2019 à 5.5Md€ de CA si le deal se fait et qu’on ne retournera à 12Md€ que dans 10 ans au mieux… et en priant que les Cyber attaques augmentent.
Est-ce que l’état acceptera que même minoritaire, Kretinsky soit le plus gros actionnaire d’Eviden… après l’avoir refusé à Airbus. C’est bien compliqué cette histoire… A priori la BPI avait parlé aussi prendre 10% avec un droit de véto pour éviter une OPA il y a un mois ou deux. C’est un peu flou.
Si c’était le cas les actionnaires n’auraient que 80%, mais avec de la dette en moins.
Avec des petites participations, la négo de prix est plus simple qu’avec Airbus et ses 30%. On peut donc supposer que les administrateurs de Kretinsky veilleraient à ce que son « Old New atos » ait des bons prix de revient sur la Cyber tandis que les administrateurs de la BPI veilleraient à la souveraineté de la Cyber. Je vois plutôt Kretinsky a terme créer sa propre Cyber quand celle de Eviden aura plus de client hors TFCo.
Pour ce qui est de la BPI, je n’ai aucune info, je cite simplement des articles de presse après le rejet du deal Airbus. De mémoire il s’agissait d’un article de Challenges.
Kretinsky quand on lit sa bio a l’air un pragmatique, calme et méthodique. Son principe semble acheter à bas prix et faire fructifier les affaire calmement en mettant les bonnes personnes à leurs tête. Il garde tout ce qu’il achète. Rien à avoir avec un Tapie de la période Wonder. C’est pas un magicien non plus, il a acheté 10% de Casino à un prix très cher (25€), tout comme Bernard Arnault avec Carrefour (revendu à perte). A priori il réussi 90% de ses challenges. Il a vu un plan structuré, une nouvelle équipe motivée. Il a compris que Meunier manquait de cash. Il sait qu’il va pas gagner des cents et des milles. Il est encore jeune et regarde à dans 15 ans.
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La synthèse de tout ça est assez claire, c’est qu’il manque 1.1Md€ de cash à Atos pour garder le groupe en l’état sans scission et que coté Eviden, seul la Cyber intéresse les acheteurs et le prix que Layani est prêt à mettre sur Eviden hors Cyber serait inférieur au prix payé juste pour Syntel et obligerait à une terrible dépréciation de Goodwill.
Du côté d’Atos, Oliva serait optimiste sur la relance de la branche application grace à la base indienne héritée de Syntel qui serait utilisée aussi en sous-traitance pour TFCo… Echange de bons procédés et donc mauvaise augure pour David Layani qui n’avait pas abandonné ses prétentions pour Eviden hors Cyber.
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Je vous rappelle à l’approche de la conclusion de cet article, que c’est l’offre que Atos a faite et non la demande initiale de Krestinky. Donc il reste aussi une inconnue. Kretinsky a toujours conçu le deal avec un chèque de Atos, ce qui en pratique signifie que Atos laisse un peu d’argent dans la caisse pour financer la restructuration. Va-t-il céder sur ce point.
Ca n’est pas sûr non plus. Ce dont je suis sûr à 100%, c’est qu’il n’a jamais été question que Atos laisse 600M€ dans les caisses. Jamais. Atos a été lors des discussions disposé un temps à laisser 300M€ et à AUCUN MOMENT des discussions prêt à laisser 600M€ comme l’affirme Pechberty le journaliste mythomane aux milles OPAs de Thalès sur Atos.
L’autre inconnue, est-ce que Kretinsky va accepter de lacher 300M€ pour 10% d’Eviden. Selon BFM il ne serait prêt à mettre que 200M€. On imagine vraisemblablement que c’est la raison pour laquelle Atos est désespéremment silencieux. Il reste 100M€ d’écart entre ce que serait prêt à mettre Kretinsky et ce que voudrait Atos, toujours attaché à une valorisation d’Eviden sur des rations élevés, et donc il n’y pas d’accord trouvé à ce jour, mais on serait suffisamment prêt pour que Atos garde le silence.
On peut imaginer que si les parties ont vraiment envie de conclure, il y a peu de chance que le deal ne se fasse pas pour une histoire de 100M€. Un compromis vers 250M€ risque de se dessiner. Ca valoriserait l’action Atos à une valeur théorique de 20€.
Alors pourquoi ne pas démentir l’article de BFM?? C’est vraiment un étrange et détestable personnage que ce Meunier. Il avait fait pareil quand l’action valait 7€ et que les rumeurs d’AK étaient très fortes. Il se fout complètement des actionnaires…
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Comment le marché va-t-il prendre tout ça ?
Eviden n’a plus le cloud qui rapportait peu mais 300M€ de plus dans ses caisses donc ça en moins à tirer des la ligne syndiqué pour financer la montée en puissance de la Cyber. Un actionnaire de référence qui n’a tout sauf l’air d’être un tocard dans les affaires, donc être vigileant via les administrateurs qu’il va réclamer à la qualité du management (Oliva survivra-t-il ?).
Si la BPI mettait 300M€ ce serait la cerise sur le gateau, car la dette nette serait réduite et les 400M€ d’investissement nécessaires entièrement compensés. Un cador, idéalement un américano-indien comme Desai pourrait relancer Syntel qui reste pour l’instant au contact des 20% de MOP (18.5%) même si loin des 25% de l’achat. Par contre 200M€ de CA sont partis en fumée, il faudra clairement un profil très commercial.
Perso, à choisir je préfèrerais avoir Kretinsky comme actionnaire de référence dans Eviden que Sycomore et un PDG nommé par Kretinsky que Leo Apotheker, même si tout sauf Meunier est déjà un pis-aller
Perso je préfère lacher TFCo que avoir une AK qui fasse descendre l’action à 7€ et c’est ça que va nous vendre le Bertrand, et tout le monde a tellement peur de l’AK que on va acheter son machin la fleur au fusil… Que de gachis malgré tout…
Vu l’empressement de Atos à ne pas démentir, ça parait donc assez avancé, mais sur le fait d’offrir ça à l’AG comme le dit Pechberty, là c’est une autre affaire. Je pense plutôt qu’ils souhaitaient le garde secrêt jusqu’à l’AG et que la fuite les fous dans la merde et qu’ils sont en train de faire des brain-storming sur la communication à adopter.
Reste à savoir si un actionnaire accepterait d’aller en justice pour dire que Meunier a ramené le CA de TFCo sous les 50% à dessein pour ne pas soumettre au vote des actionnaires, car pour un vote le 28, à part si le CA se réunit de nouveau ce dimanche en urgence, c’est cuit.
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Pour ceux qui suivent mes articles, je ne deviens pas girouette et ma positions structurelle n’a pas changé. Pas de scission! Mais entre AK et cession de TFCo, je choisi quand même cession. Mais cession n’est pas tout à fait scission, car y’a plus ce spinoff abracadabrantesque…
En tout cas ce qui est sûr et certain, c’est que le seul moyen d’éviter scission ET cession, c’est de virer Meunier le 28 !
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