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Bonjour Marc,
Quelques réflexions que je souhaite partager avec vous:
J’ai participé à la cérémonie des « Global Sales Awards », au cours de laquelle Philippe Salle a fait une très courte apparition. Chemise blanche sous une doudoune sans manche, à peine 10 mots prononcés, sans enthousiasme, même feinte. Le charisme d’un mollusque… pas de quoi motiver les troupes !
Et pendant ce temps, les départs continuent… avec des démissions de collaborateurs ayant plus ou moins 20 ans d’ancienneté: un constat qui devrait faire réfléchir. Des fidèles, lassés par 3 années d’errance, sans reconnaissance – pécuniaire notamment – malgré des prises de responsabilité pour certains, ou par manque de perspective (être « talent » n’est pas gage d’horizon plus lumineux), et qui après moult réflexions finissent par quitter le navire.
En reprenant l’organigramme de Raoul Roth publié en octobre 2024, sur feu le périmètre « Tech Foundations »: outre Raoul, 3 de ses N-1 ont été poussés vers la sortie (dont le CTO et le COO), 3 ne sont plus au CODIR, et 2 ont démissionné.
Parmi les nouveaux entrants: le « CTO + COO » Sylvain Barthélemy, que Franck Chartier a ramené dans ses bagages, et Valérie Dehlinger, à la tête du marché « Télécoms, Média, Technologies, Ressources et Services » qui serait (je n’ai qu’une source et pas d’autres moyens de vérifier) … la nièce de Philippe Salle !
Bien cordialement,
Bernadette.
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Je vous rassure Bernadette, pour le lien de parenté, parmi les lecteurs salariés il va bien y avoir une confirmation par mail : admin@bourse.blog
Pour ceux qui me trouvent mauvaise langue quand j’ai que vous ne verrez jamais Clay faire « la banane », sachez que là, il rit aux éclats notre Clay national. Là il est vraiment au taquet 😀 . Cela étant, qui aime bien châtie bien, à ma connaissance au niveau opérationnel, le blog n’a jamais dit du mal de Clay, bien au contraire, dans notre plan pour sauver Atos, nous le mettons CEO à la place de « l’homme qui valait 9 millions ».
Cependant, « never say never » nous allons l’égratigner un peu dans un article à venir, car son exemple pipeau de la SNCF sur la fertilisation des clients, c’était un peu tiré par les cheveux. Comme si on ne se doutait pas que la SNCF a des instructions de Bercy…
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UN PROCÈS DE GROUPE EN RÉPARATION DE PERTES BOURSIÈRES VA DÉMARRER EN JUIN.
IL EST GRATUIT sur le principe « NO WIN, NO FEES ».
L’association UPRA [Union Pour la Réparation des Actionnaires] vient d’obtenir un financement très conséquent auprès d’un fond de contentieux, pour un procès gratuit pour les plaignants en vue d’assigner les auditeurs d’Atos afin de recouvrer vos pertes boursières sur l’action Atos.
Si vous avez subi des pertes en tant qu’ancien actionnaire d’Atos, ou en tant que porteur d’options donnant droit à des actions, sachez qu’une action en réparation auprès de la justice française est sur le point de démarrer. Elle est ouverte à tous les actionnaires ou ex-actionnaires français, étrangers, et membres du FCPE.
Il s’agit d’une chance énorme pour les plaignants, car ce procès fonctionne sur le mode « no win, no fees », les plaignants n’auront aucune avance de fonds à réaliser. Le financeur, « le funder » sera rémunéré par une commission uniquement en cas de victoire.
Des informations complémentaires sont disponibles sur le site www.upra.fr . Il s’agit d’une première en France dans un dossier où des manquements à la réglementation boursière et comptable sont suspectés.
Que vous soyez actionnaire ou porteur d’options donnant droit à des actions, vous pouvez espérer recouvrer une partie significative de vos pertes et vous joindre à la cause. Plus nous seront nombreux, plus la part des réparations accordées ira aux plaignants, car elle permettra une meilleure « digestion » des frais fixes avancés par le fonds de contentieux. Nous espérons un ratio 70% plaignants et 30% pour le fonds de contentieux.
Si vous n’êtes pas encore préinscrit sur le site de l’UPRA, il est encore temps de le faire. Vous pouvez visiter le site ou cliquer directement ici pour vous inscrire.
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