Ils se sont partagé plus de 600 millions d’honoraires : ces consultants qui ont profité de la déroute d’Atos [LIBERATION]

 

Article très sympa de Libé.

-COPYRIGHTS LIBÉRATION –

Le sauvetage financier du géant français du numérique a permis à une foule de cabinets de conseil, banques et avocats d’affaires de se partager de généreux honoraires. Passage en revue de ces «rémunérations faramineuses» dénoncées par un lanceur d’alerte.

par Jean-Christophe Féraudchroniqueur économiqueLaurent Léger et Franck Bouaziz
Publié mercredi 18/12 à 7h00.
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Ce sont les grands gagnants de la déroute d’Atos. Appelés à la rescousse par la direction du numéro un français des services numériques pour éviter le naufrage financier, une nuée de sociétés de conseil, cabinets d’avocats, banques d’affaires et autres consultants se sont partagés entre 2022 et 2024, selon les calculs de Libération, plus de 600 millions d’euros d’honoraires ponctionnés dans les caisses quasiment vides du groupe. Un véritable festin, alors même que l’entreprise, récemment sauvée des eaux par ses créanciers, était entraînée vers le fond par une dette de 5 milliards d’euros.

Pour arriver à ce chiffrage, nous avons pu consulter, comme les médias la Lettre et Off Investigation, un fichier confidentiel interne, baptisé «d’Artagnan», listant tous les honoraires payés par Atos durant les trois années concernées à des sociétés de consultants et autres fournisseurs extérieurs en échange de diverses prestations destinées à accompagner le groupe informatique dans sa restructuration financière de la dernière chance. Trois des «Big Four» du consulting international – EY, PwC et Deloitte – auxquels il faut ajouter la société de conseil en stratégie McKinsey, très prisée par la macronie, des cabinets d’avocats comme le parisien Darrois & associés ou l’américain Baker Mc Kenzie, des banques d’affaires également, figurent parmi les grands noms qui se sont partagé des sommes astronomiques sur les deniers d’Atos.

Mais la liste des bénéficiaires est bien plus longue : elle comprend plusieurs centaines de noms sur des dizaines de pages pour un montant cumulé de 808 millions d’euros pour les années concernées (2022, 2023 et 2024). Ce chiffre colossal recense les paiements à l’ensemble des fournisseurs du groupe, qui peuvent aller de plusieurs dizaines de millions d’euros en faveur de gros cabinets de consultants américains à quelques dizaines d’euros pour des petits achats de matériels divers ou de prestations nécessaires dans la vie de toute entreprise.

Comme l’a dévoilé la Lettre le 9 décembre, cette pluie d’argent qui a profité à des intervenants extérieurs – alors même que le groupe disposait d’importantes ressources internes pour effectuer de nombreuses tâches externalisées – n’aurait jamais été portée à la connaissance du public si un salarié d’Atos, membre de l’association Union pour la réparation des actionnaires d’Atos (UPRA), n’avait pas mis la main sur la liste des honoraires des consultants et leur rémunération, qu’il dit avoir extraite du système intranet du groupe, devant huissier. Fort de ce fichier «d’Artagnan», il a écrit à la procureure de Paris pour le lui signaler et, dans son courrier du 6 décembre 2024 consulté par Libération, suggère que les «rémunérations faramineuses» en question ne lui paraissent pas forcément «conformes à l’information publique» diffusée par Atos. L’intéressé, qui tient à rester anonyme et assure agir de manière totalement désintéressée, réclame via son avocate Sophie Vermeille la protection du statut de lanceur d’alerte. Pour l’heure, le parquet de Paris n’a pas déclenché d’enquête préliminaire sur les pratiques d’Atos.

Le conseil, les trois quarts des dépenses du groupe sur 2022-2024

Le groupe a lui-même levé un bout du voile en publiant le 7 novembre une note d’information mentionnant les «frais» réglés à des prestataires afin d’accompagner la restructuration en cours, en les chiffrant à un «montant maximum de 168 millions d’euros» incluant «les frais des intermédiaires financiers, les frais juridiques et administratifs (environ 130 millions d’euros), et les commissions diverses dues aux créanciers ayant participé à la négociation des termes de la restructuration financière». Sur ces montants facturés, seuls 30 millions ont été effectivement payés à ce jour, le solde restant à honorer, précise la «note d’opération».

Un montant certes élevé mais bien loin des quelque 620 millions d’euros d’achats en consulting en tout genre que nous avons reconstitués sur les trois années concernées, dans le cadre des différentes opérations et projets, souvent avortés, de restructuration financière. Calculette à la main, Libération a identifié plus de 185 millions d’euros d’honoraires versés par Atos en 2022, 255 millions en 2023, puis encore 180 millions en 2024… Au bout du compte, les sommes versées représentent plus de 75 % des dépenses d’Atos sur la période (808 millions) en prestations extérieures !

Rien d’anormal pour la direction d’Atos, qui, interrogée par Libération, se refuse à commenter les montants en jeu et se justifie : «Toute restructuration nécessite un accès à des compétences particulières, légales, financières, qui n’existent pas nécessairement dans une société, et c’est pour cela que nous avons fait appel à des conseils spécialisés, en négociant au mieux leurs honoraires», nous a ainsi indiqué le nouveau président du groupe, Philippe SallePour ce dernier, tout le monde a travaillé durpour «réussir la restructuration» qui «devrait être finalisée cette semaine comme annoncé» et il faut maintenant «se concentrer sur le futur»… Bref, circulez, il n’y a rien à voir. Une source très au fait du dossier estime de son côté qu’il faut mettre les chiffres du fichier «d’Artagnan» en face «de l’apport en argent frais de 1,75 milliard d’euros» promis par les créanciers et les investisseurs pour mener à bien le sauvetage de l’entreprise. Et rappelle que le concours des grandes sociétés conseils, cabinets d’avocats et banques d’affaires s’avère «incontournable pour mener à bien une restructuration financière d’une telle ampleur».

La même source officieuse précise aussi «que l’on a rarement vu autant de sujets aussi lourds à traiter en si peu de temps» par un groupe qui jouait alors sa survie : 2022 et 2023 «ont été des années folles où il a fallu notamment mener à bien la séparation» d’un groupe de 90 000 salariés pesant 10,7 milliards d’euros de chiffre d’affaires «en deux entités distinctes» : Tech Foundations, regroupant les activités historiques d’infogérance, et Eviden, coiffant tous les actifs dans le «Big Data», notamment les supercalculateurs et l’IA. Paniqués face à la perspective d’une faillite inenvisageable pour une entreprise de cette dimension, les dirigeants successifs d’Atos ont multiplié les contrats avec des cabinets conseils extérieurs dans l’espoir de trouver une planche de salut.

«Atos a été la vache à lait des cabinets»

A lui seul, le «spin-off» d’Atos en deux grosses sociétés a coûté près de 400 millions d’euros «avec des milliers et des milliers d’heures de travail», précise cette source. Et les quelque 200 millions d’euros restant dépensés en honoraires l’ont été en raison de «l’incroyable succession d’événements» auxquels a été confronté Atos ces deux dernières années : marque d’intérêt du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky (principal créancier de Libération) pour Tech Foundations ; offre de rachat non sollicitée du patron de Onepoint David Layani sur l’ensemble du groupe, acceptée, mais finalement abandonnée ; proposition de rachat sans suite par Airbus de la branche «BDS» (big data et cybersécurité) ; acquisition d’une «golden share» et prêt de 50 millions accordés par l’Etat pour protéger les activités sensibles du groupe ; rachat par ce dernier des supercalculateurs servant à la simulation des armes nucléaires et cession à Alten des systèmes de pilotage des centrales nucléaires d’EDF. Et, pour finir, plan de sauvegarde validé par le tribunal de commerce le 24 octobre avec à la clé la nomination d’un nouveau patron en la personne de Philippe Salle… A chaque étape, les consultants ont été rémunérés.

Avec pour effet l’évaporation de plus de 600 millions d’euros : autant d’argent en moins sur les 1,7 milliard prévus pour relancer Atos. «Le conseil nous a mis dans une spirale de défaillance économique, Atos a été la vache à lait des cabinets», a déploré Didier Moulin, le délégué CGT d’Atos Eviden interrogé par Off Investigation. Sollicitée par Libération, la CFE-CGC, premier syndicat du groupe, n’a pas souhaité s’exprimer.

Dans le détail, qui a profité des montants colossaux facturés à Atos pendant ces trois années critiques ? Les géants du conseil et de l’audit, principalement anglo-saxons, mais pas seulement, se taillent la part du lion : en tête du palmarès, le cabinet EY a facturé 119 millions d’euros sur l’ensemble des trois années 2022, 2023 et 2024. Juste derrière, on trouve McKinsey, avec 116 millions sur la même période : cette multinationale est au cœur de deux enquêtes pénales menées par le Parquet national financier, concernant d’éventuels conseils donnés à Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle de 2017, qui n’auraient pas été déclarés dans ses comptes de campagne, ainsi que sur les nombreux contrats publics que la firme aurait décrochés. Contacté par Libération McKinsey n’a pas souhaité réagir.

Continuons de dévoiler le palmarès des géants bénéficiaires des contrats d’Atos. Aon International, cabinet de conseil et d’assurances britannique -qui n’a pas donné suite-, a pris 26,2 millions d’euros. Suivent d’autres géants du secteur : PwC (22,9 millions), Boston Consulting Group (8 millions). Sollicités, ces cabinets ont décliné toute réaction ou explication, tant sur le montant de leurs prestations que sur leur contenu. «En respect avec la déontologie professionnelle qu’EY applique dans chacune de ses actions, il nous est impossible de répondre à des questions visant des opérateurs économiques nommément désignés», s’est contenté de répondre le premier bénéficiaire des mannes d’Atos.

Des cabinets très discrets sur leurs honoraires

Impossible donc de connaître, en l’état, le volume et la nature des recommandations produites par ces poids lourds du consulting. Pas la moindre information ne filtre non plus des intéressés sur la manière dont ils ont été choisis pour ces missions : de gré à gré, c’est-à-dire sans mise en concurrence, ou après un appel d’offres destiné à déterminer le mieux disant. Un client historique du conseil en stratégie Alvarez & Marsal (17,5 millions d’euros encaissés), qui n’a souhaité donner suite, se dit étonné de voir «que des honoraires aussi élevés puissent continuer à se pratiquer» tout en constatant qu’à partir du moment où une relation est engagée avec un conseil, «il est difficile d’en changer», ce qui justifierait les renouvellements de mission. Ce même client rappelle toutefois les recommandations qui figuraient en 2021 dans le rapport remis au Premier ministre par le commissaire aux comptes René Ricol : transparence et maîtrise des honoraires dès lors qu’une entreprise est en difficulté…

Les cabinets d’avocats d’affaires ne sont pas en reste. On trouve notamment le cabinet de la star du barreau de Paris, Jean-Michel Darrois, un proche d’Emmanuel Macron, de Nicolas Sarkozy ou de Laurent Fabius. Principal conseil juridique d’Atos pendant l’opération, Darrois Villey Maillot Brochier a bénéficié de 38,2 millions d’euros. «En 2024, le cabinet a assisté Atos dans sa restructuration financière et son refinancement. La société et ses dirigeants nous ont demandé d’être «lead counsel» pour l’ensemble des aspects juridiques de ses opérations. D’autres cabinets, dont nous avons coordonné les travaux, sont intervenus, précise un porte-parole de Darrois. Une équipe dédiée d’au moins 15 avocats a travaillé pour Atos et elle a atteint jusqu’à 35 avocats dans les périodes les plus intensives. La restructuration financière menée a abouti à la préservation du groupe et de près de 100 000 emplois.»

Une autre firme d’avocats anglo-saxonne, Baker McKenzie, a facturé 30,1 millions d’euros. Quant aux avocats dédiés aux intérêts du conseil d’administration d’Atos, le cabinet parisien Reinhart Marville Torre, ils ont perçu, loin derrière les géants du conseil juridique, 1,2 million d’euros. Là aussi, ces grands cabinets, souvent prompts à publier des communiqués explicités lorsqu’ils «décrochent» un client prestigieux, sont beaucoup moins diserts. «Baker McKenzie a travaillé pour Atos dans plusieurs Etats à travers le monde», indique pour tout commentaire une porte-parole de ce cabinet.

Les banques d’affaires ont elles aussi pu bénéficier de la déroute d’Atos, sans oublier qu’elles se sont vues pour la plupart promettre des «success fees» supplémentaires. La Société Générale a touché 6,2 millions d’euros, BPCE 3 millions. Quant à Messier et associés, la banque de Jean-Marie Messier, elle a déjà encaissé 2,8 millions d’euros.

Autre habitué dans ce type de dossier quand il s’agit d’ouvrir son épais carnet d’adresses pour trouver un soutien politique et financier, Alain Minc a lui perçu une somme de 276 666 euros via sa société AM Conseil. On remarque peu d’agences de communication dans les budgets les plus élevés réglés par le groupe informatique. Image 7, la boîte d’Anne Méaux, l’une des éminences grises les plus influentes de France, conseillère d’une grande partie du CAC40, a vu son contrat se terminer en 2024 : elle a facturé 700 000 euros sur les trois années de 2022 à 2024. Autre cabinet de com : Vae Solis. Cette structure présidée et cofondée par l’ancien journaliste du Point Philippe Manière a facturé pas moins de 1,7 million d’euros. Petite curiosité : en 2024, le cabinet d’enquêtes et d’intelligence économique Kroll fait son apparition dans la liste des prestataires d’Atos, pour 880 000 euros. Quelle mission spéciale a été confiée à ce pro de l’investigation privée ? Le fichier «d’Artagnan» ne le dit pas.

https://www.liberation.fr/economie/ils-se-sont-partage-plus-de-600-millions-dhonoraires-ces-consultants-qui-ont-profite-de-la-deroute-datos-20241218_FRG2XSFRHBD5HAGJVPYWXJK764/

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NOTE BLOG :

Le travail d’analyse des fichiers d’Artagnan étant titanesque nous souhaitons rajouter sur la dernière phrase de Libé que selon nos recherches, KROLL se serait occupé du calcul de la répartition de la dette écrasée en capital. Il s’agit de nos internes à prendre avec précaution.

On peut voir l’annotation suivante :

5/6: Edwige renegotiating the Indemnity clause.
For Settlement. Conversion of the debt into Equity, status of who are your bondholders. Between 1,6m & 1,8M€.
Ether not be able to do the work. (<Roth & Perella. H Bourbouloux not comfy either). Orpéa: 1,6m€, Casino: 2,2m.

Ça veut dire en gros « personne n’a été capable de confirmer la valeur du travail réalisé. Pour réference chez Orpéa ça a couté 1.6M€ et chez Casino 2.2M€. Donc ‘au doigt mouillé’ ça devrait faire entre 1.6M€ et 1.8M€ ». Ça se passe comme ça chez Atos…

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2 Comments on "Ils se sont partagé plus de 600 millions d’honoraires : ces consultants qui ont profité de la déroute d’Atos [LIBERATION]"

  1. Jean-Michel Perque | 18/12/2024 at 15:28 |

    Le pire dans cette affaire que ces 600M€ de frais de conseil étaient pour des conseils de piètre qualité puisqu’Atos reste en difficulté! C’est une honte.

  2. Gatto Matto | 18/12/2024 at 17:37 |

    Cons … Sultants ????
    Surtout cons et egocentriques!!

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