Atos : Dans tous les communiqués de Presse ou articles depuis hier soir, il faut remplacer le mot « État » par le mot « Thalès » [Brève-blog]

 

 

Cette vidéo à juste 10 mois. Entre-temps, de manière TRÈS surprenante, même s’il est vrai que les caisses de Thalès ont été vidés par le rachat d’Impréva, Patrice Caine a fait un virage à 180° après cette interview du 20 juin 2023, montrant même un fort désintérêt pour Atos. Voir deuxième vidéo ci-dessous qui a eu lieu 8 mois après la première.

Mais le blog vous avait prévenu et répété, c’est un grand classique, montrer un désintérêt, voir un rejet. Seul un petit indice dans la dernière interview de Patrice Caine, à la question d’Hedwige Chevrillon si l’état, actionnaire, lui imposait : « le board reste souverain ». Donc il n’est pas allé jusqu’à la jouer à la De Gaulle, « je remettrais ma démission ». Dès lors, l’acceptation tacite de reprendre la Cyber si l’état lui imposait était actée.  Mais avec 15 jours de recul nous pensons que c’était de la comédia Del Arte, nous l’avons répété mille fois, c’est LE CLASSIQUE de Cain, jouer le dégout pour récupérer à prix bradé les actifs qu’il convoite.

 

Coup de maitre orchestré entre Le Maire, l’actionnaire, et Thalès le PDG. Il fera l’air d’avoir été contraint, et donc à prix minima. Sur périmètre égal à Airbus, cela ferait un prix de 1.0Md€ 1.1Md€, soit 400M€ à 500M€ de moins. Ça valait le coup de faire un peu de cinéma.

Le blog a été tenace contre vents et marées depuis 18 mois il répète corps et âmes que la Cyber Atos finira chez Thalès. C’est une quasi-certitude. Nous avons eu raison contre presque tous et tout était orchestré en coulisse depuis de nombreux mois. Le jour où les politiques arrêteront de nous prendre pour des cons, peut-être que les français retourneront aux urnes.

 

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Si vous avez subi d’énormes pertes sur Atos, sachez qu’une action en réparation est en cours de constitution sur le site Upra.fr (l’Union Pour la Réparation des Actionnaires), pour recouvrer une partie de vos pertes par voie de justice. Cette action sera totalement gratuite pour les plaignants car nous la ferons financer auprès de fonds spécialisés qui prendront un pourcentage en rémunération et l’UPRA ne vous demandera aucun paiement ni cotisation ou autres. À ce jour, plusieurs fonds ont fait part de marques d’intérêts, mais nous n’avons pas encore de réponse définitive. La réponse dépendra du nombre de personnes pré-inscrits et des comptes audités 2023.

Afin de ne pas déstabiliser la société, cette action ne visera ni Atos, ni ses dirigeants ou ex-dirigeants, mais uniquement ses auditeurs (commissaires aux comptes) en particulier DELOITTE supposé être le n°1 mondial de l’audit, mais que l’UPRA soupçonne avoir été très complaisante vis-à-vis d’Atos avec les règles comptables en vigueur, et leur reproche d’avoir fait manquer une chance aux actionnaires de ne pas acheter l’action quand elle était surcotée vis-à-vis de sa réelle valeur et d’avoir fait manquer une chance d’avoir vendu, quand la société s’effondrait et que la comptabilité ne reflétait pas cet effondrement, en particulier une absence totale de dépréciation d’actifs en 2022.

Je rappelle qu’à la publication d’un jugement qui dirait le contraire, Deloitte est supposé avoir certifié les comptes d’Atos de manière totalement sincère, et l’avis exprimé ci-dessous est l’avis de l’UPRA uniquement et reste à l’état de soupçons tant que nos preuves n’auront été validé par un juge.

Pour des raisons de coûts de procédure, elle est réservée aux personnes ayant subi des pertes supérieures à 10 000€, sinon les coûts judiciaires, avocats, expertises, etc… en millions d’euros seraient supérieurs à la perte et ne seraient pas rentables pour le fonds qui financera ce recours. Soyez assuré qu’il ne s’agit pas de snobisme, mais réellement de contraintes financières.

www.upra.fr