Atos (ou Eviden, on sait plus trop…) dévoile une technologie qui va révolutionner la surveillance spatiale, avec un système dopé à l’IA [CLUBIC]

 

Annonce d’Atos, ou de Eviden ou des deux…

on ne comprend plus trop rien à ce bordel monstre Atos/Eviden, d’abandon de la scission, de la refusion puis re-scission Atos-Eviden. S’ils voulaient tromper l’ennemi, c’est réussi !! Pour notre gestionnaire de copropriétés qui voulait simplifier Atos, il démarre mal. D’ailleurs le journaliste n’a rien compris non plus puisqu’il parle « de branche technologique d’Atos », alors que Eviden est censée être une marque.

Finalement on est revenu un an en arrière « Eviden, an Atos Business ». Tout ça pour ça…

Là, on voit que le service marketing a vraiment été décimé et que le gars c’est un cost killer et ça reste un cost killer. Il ne faut pas lui en demander trop… 

Ou alors c’est le contraire, le retour d’Eviden, c’est le truc sorti d’un cerveau de technocrate de Bain Consulting… Ces fameux cabinets de Conseil qu’on ne vas plus utiliser,… enfin à partir sur S2…

En tout cas qu’est-ce qu’on rigole avec Atos. La boite est en mode Junk Bond et ils nous font 2001, l’Odyssée de l’Espace (ma photo d’illustration). Pas sûr, que ça remplace les 2Md€ de CA que Kretinsky avait prévu d’amener avec son groupe de 100Md€. C’est un peu comme y’a un an et les annonces sur le quantique qui sera là dans 15 à 20 ans selon Huang Cheng le DG de Nvidia.

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COPYRIGHTS CLUBIC.com –

Alexandre Boero
Par Alexandre BoeroJournaliste-reporter, responsable de l’actu.
Publié le 26 mai 2025 à 19h38

Eviden a dévoilé lundi SkyMon NG, sa solution de surveillance satellitaire maison. L’acteur français, filiale d’Atos, mise sur l’intelligence artificielle pour surveiller les satellites les plus sophistiqués.

Eviden a fait une belle annonce lundi sur le théâtre spatial © 3Dsculptor / Shutterstock
Eviden a fait une belle annonce lundi sur le théâtre spatial © 3Dsculptor / Shutterstock .
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L’intelligence artificielle n’a pas fini de révolutionner la surveillance des satellites, comme Eviden nous le prouve avec SkyMon NG, son système dévoilé lundi 26 mai. De plus en plus encombré, l’espace devient complexe à gérer. Les satellites modernes jonglent avec des faisceaux multiples et se reconfigurent en permanence, ce qui rend leur surveillance particulièrement délicate. Eviden, la branche technologique du groupe Atos, vient de lever le voile sur sa réponse à ces nouveaux enjeux spatiaux.

SkyMon NG d’Eviden décode les comportements complexes des satellites

Le système SkyMon NG d’Eviden rompt avec les anciens systèmes de surveillance spatiale. Exit les satellites « à l’ancienne », qui fonctionnaient de manière routinière ! Place aux nouveaux mastodontes spatiaux qui orientent leurs antennes comme des projecteurs intelligents, qui éclairent tour à tour différentes régions selon la demande, et prennent même des décisions autonomes grâce à leurs ordinateurs embarqués.

L’intelligence artificielle s’invite dans l’équation pour détecter les interférences avec une grande efficacité. Contrairement aux anciens systèmes, SkyMon NG peut classifier la source des perturbations, et permettre aux régulateurs et opérateurs de réagir plus efficacement. Une prouesse technique qui répond aux exigences croissantes du secteur spatial, assure l’acteur français.
L’architecture dite « prête pour le cloud » de SkyMon NG, c’est l’autre atout majeur de cette solution. Dans le détail, elle s’intègre naturellement aux infrastructures hybrides ou entièrement dématérialisées, suivant la tendance de numérisation massive que connaît l’industrie spatiale. Une approche moderne, qui facilite le déploiement et la maintenance.

Comment Eviden évite la révolution coûteuse aux opérateurs

Le timing de cette annonce n’a rien du hasard. L’espace radiofréquence devient un véritable embouteillage. Trop de satellites utilisent les mêmes « autoroutes » invisibles pour communiquer, ce qui crée des interférences. En parallèle, les utilisateurs exigent des connexions toujours plus rapides et fiables. Du coup, les satellites évoluent : ils peuvent désormais changer de mission en cours de vol grâce à des mises à jour, comme un smartphone qui télécharge une nouvelle application.

Bruno Milard, le directeur de l’entité Électronique de Défense et Aéronautique chez Eviden, estime que « grâce à sa capacité de surveillance des satellites numériques haut débit multifaisceaux et à son architecture ‘prête pour le cloud’, SkyMon NG garantit une surveillance et une utilisation efficace des ressources satellitaires. »

L’approche d’Eviden, qui a choisi la voie de la sagesse économique, séduit par son bon sens. Plutôt que de démolir une maison pour la reconstruire, SkyMon NG propose de rénover l’existant en ajoutant des équipements modernes. Les opérateurs spatiaux peuvent ainsi garder leurs serveurs et infrastructures actuels, tout en bénéficiant des dernières innovations. Un pragmatisme bienvenu, dans un secteur où les budgets explosent parfois de façon démesurée.

https://www.clubic.com/actualite-566850-le-francais-eviden-devoile-technologie-qui-va-revolutionner-la-surveillance-spatiale-avec-un-systeme-dope-a-l-ia.html#google_vignette

POSTFACE BLOG 

Attention pas de méprise messieurs, ce n’est pas la signature d’un contrat, mais l’annonce d’une nouvelle technologie qui sera en service dans l’après conciliation de dans 15 mois.

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UN PROCÈS DE GROUPE EN RÉPARATION DE PERTES BOURSIÈRES VA DÉMARRER EN JUIN.

IL EST GRATUIT sur le principe « NO WIN, NO FEES ».

L’association UPRA [Union Pour la Réparation des Actionnaires] vient d’obtenir un financement très conséquent auprès d’un fond de contentieux, pour un procès gratuit pour les plaignants en vue d’assigner les auditeurs d’Atos afin de recouvrer vos pertes boursières sur l’action Atos.

Si vous avez subi des pertes en tant qu’ancien actionnaire d’Atos, ou en tant que porteur d’options donnant droit à des actions, sachez qu’une action en réparation auprès de la justice française est sur le point de démarrer. Elle est ouverte à tous les actionnaires ou ex-actionnaires français, étrangers, et membres du FCPE.

Il s’agit d’une chance énorme pour les plaignants, car ce procès fonctionne sur le mode « no win, no fees », les plaignants n’auront aucune avance de fonds à réaliser. Le financeur, « le funder » sera rémunéré par une commission uniquement en cas de victoire.

Des informations complémentaires sont disponibles sur le site www.upra.fr . Il s’agit d’une première en France dans un dossier où des manquements à la réglementation boursière et comptable sont suspectés.

Que vous soyez actionnaire ou porteur d’options donnant droit à des actions, vous pouvez espérer recouvrer une partie significative de vos pertes et vous joindre à la cause. Plus nous seront nombreux, plus la part des réparations accordées ira aux plaignants, car elle permettra une meilleure « digestion » des frais fixes avancés par le fonds de contentieux. Nous espérons un ratio 70% plaignants et 30% pour le fonds de contentieux.

Si vous n’êtes pas encore préinscrit sur le site de l’UPRA, il est encore temps de le faire. Vous pouvez visiter le site ou cliquer directement ici pour vous inscrire.

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