L’usine nouvelle, 14/10/2022
Malgré le rejet de son offre, Onepoint réaffirme sa volonté d’acquérir les activités digital, big data et sécurité d’Atos. Il vante les mérites de ce rapprochement pour toutes les parties prenantes et promet de doubler la taille du futur ensemble en cinq ans, tout en préservant les activités à enjeu de souveraineté, comme les supercalculateurs.
Onepoint ne se laisse pas décourager. Le cabinet de conseil en transformation numérique, créé en 2002 par David Layani, confirme sa volonté de racheter les activités digital, big data et sécurité d’Atos, et ce malgré le rejet de son offre à 4,2 milliards d’euros par le conseil d’administration du groupe français de services du numérique, le 27 septembre. Son offre surprend par son audace. Onepoint fait figure de nain en comparaison avec la cible. Il compte 3 000 collaborateurs et un chiffre d’affaires de 400 millions d’euros en 2021, contre 59 000 salariés et un chiffre d’affaires de 4,9 milliards d’euros en 2021 pour les activités d’Atos qu’il cherche à avaler.
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