Atos : Pourquoi est-ce si dur pour Salle de remettre ce titre à Clay ?? [Brève-blog]

 

Paul Saleh lui avait enlevé ce titre car Paul Saleh était ennemi de Nourdine Bihmane qui le lui avait donné.

Philippe Salle en a fait son n+1, mais clairement son cœur balance vers son chouchou, Jacques François de Prest pour la place de n°2 dans l’organigramme, ainsi que sa proximité évidente avec Paul Peterson que Clay apprécie peu. C’est vrai que entre un cost killer et un employee killer y’a des affinités. On m’a raconté qu’un jour il avait débarqué sur un plateau et en avait viré dix d’un coup le Paul !

Ce qui est sûr, c’est qu’une boite de la taille d’Atos ne peut pas ne pas avoir un Deputy CEO… Clairement. Ne serait-ce que si Philou nous fait une bronchite 😀 . Il est proche de la soixantaine !

J’ai revu plusieurs fois la passage de Clay au capital Market Day du 14 mai dernier et je le connais un peu « mon Clay ». C’est pas un boute en train niveau fous rires, il faut pas compter lui voir faire la banane, mais si y’a un truc qu’on ne peut pas lui enlever c’est qu’il y a la gnaque. C’est un battant.

Or au CMD il y avait un truc qui allait pas. Je n’ai pas reconnu « mon Clay ». Il déroulait son texte de manière un peu en mode robot. Comme si y’avait quelque chose qui n’allait pas.

Je vous invite donc à revoir Clay il y a 2 ans. OK il était un poil plus jeune de 2 ans, mais se remettait de petits pépins de santé, d’où sa coupe de cheveux de l’époque. Et pourtant y’avait du coeur dans le phrasé.

 

 

Maintenant je vous invite à reoir Clay après le présent paragraphe dans la vidéo de Clay le 14 mai dernier.

C’est subtil, je sais. Mais y’a un truc qui cloche.

Et si Clay avait un coup de blues ? Et si c’était ça qui lui manquait ? le truc en rouge ??

Parce que le titre de growth officer, c’est carément bof comme titre, je suis pas Dieu, mais c’est la première fois que je vois ce titre. Encore un truc à la Atos…

 

Plus je vous vois à la tâche Philippe et plus je me dis que vous êtes un cost Killer mais pas un talent manager et c’est grave votre point faible !

Faites gaffe, ça bouge vite en ce moment à Atos. Un départ, ça peut se jouer à 9 lettres près. Va vite falloir choisir entre Clay et votre chouchou…

Ce qui est sûr, c’est que si Clay part, Salle ne passera ne pas 2025 et Atos ne passera pas le printemps 2026.

Je vous laisse regarder le passage de Clay le 14 mai dernier pour comparer. La vidéo démarre sur Clay. Envoyez-moi vos avis par email.

 

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