Ces derniers jours nous avions publié 2 articles un peu satiriques et sarcastiques à propos de la n°1 CFDT ATOS ayant connu une ascension fulgurante dans le groupe Atos et dont cette ascension fulgurante avait fait l’objet d’une alerte lancée en interne, et d’un article de la Lettre A, alerte que nous avions relayé en l’état en offrant un droit de réponse à Mme Iassamen.
Plutôt que d’utiliser son droit de réponse, elle a préféré la surrenchère en publiant un tract pour clamer sa viriginité (voir version complète en fin d’article) parlant de « CFDT-Gate », là où il n’y a eu qu’un « AliaGate », et pointer du doigt les méchants La Lettre A [« une pseudo presse »] et nous [« un blog bonimenteur].
D’ailleurs est-ce nous? Nous le saurons jamais vu que nous nous considérons pas comme blog, mais comme micro-blog avec 200 vues par article, et même si c’est plutôt flateur vu que « bonimenteur » signifie un certain talent oratoire.
Nous avions donc taquiné Mme Iassamen, de la même façon qu’elle était venu nous chercher des poux sur un soit disant complot anti-CFDT…
Puis, ayant exprimé notre réponse, dans une démarche de désecalade, ce samedi 22 juillet, nous avons retiré ces deux articles.
Nous n’avons eu aucune pression quelconque par rapport à ces articles, ceux qui ont voulu les lire ont eu le temps de les lire, mais nous les avons retiré, considérant qu’il était temps de tourner la page Alia Iassamen, ces faits intéressant finalement peu les actionnaires car ce blog est en premier lieu un site d’information financière et nous nous contenterons juste d’un succint rappel des faits dans cettte brève qui elle, restera en ligne.
Les syndiqués CFDT vont avoir apparemment l’occasion de voter en octobre. Mme Iassamen y a vu un complot anti-CFDT interne auquel auraient été complices La Lettre A et notre blog.
Ils leur appartient de désigner leurs représentants et l’image qu’ils veulent donner à leur syndicat. En politique il y a la jurisprudence des ministres mis en examen qui prévaut, à savoir la démission, même si une personne mise en examen est présumée innocente. Madame Iassamen préfère utiliser l’appareil de son syndicat pour tenter de s’innocenter elle-même en légitimant cette augmentation par un « rattrapage salarial » mais ratrappage néanmoins supersonique.
En aucun cas les actionnaires n’ont de préférence syndicale, ils souhaitent simplement étant propriétaire de la société Atos qu’il n’y ait pas favoritisme qui ait pour résultat une clémence des syndicats vis à vis de la gouvernance Meunier, une désinformation et du coup et une soumisson des salariés à cette gouvernance qui depuis 3 ans fait perdre l’argent de la société et des actionnaires et met à mal l’intéressement des salariés.
Mme Iassamen étant désormais la plus ardente défense de Bertrand Meunier, dès lors le soit disant ratrapage salarial interpelle un peu… (36300€ en 20108 >> 99800€ en 2021)
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Ce qui souhaitent approfondir cette affaire ont un article complet sur La Lettre A ci-après et en dessous le trac de la CFDT qui estime que Mme Iassamen était victime de discrimination salariale et que sa réévaluation salariale de x2.8 était pleinement justifiée et qu’elle résultait d’une plainte de la CDFT pour discrimination et d’action en justice, mais c’est vrai que c’est plus simple de faire une action en justice avec l’argent de la CFDT quand on est n°1.
Néanmoins pour que les lecteurs aient tous les élements en main, sur la non-avancée salariale présumée de Mme Iassamen; celle-ci étant salariée à plein temps pour le compte de la CFDT avant sa revalorisation, elle n’avait pas l’occasion de montrer ses mérites informatiques, et donc elle ne pouvait prétendre que à des revalorisations autres que l’ancienneté; et d’autre part dans un rapport interne confidentiel de Atos du 8 juillet 2019 auquel nous avons pu avoir accès, rapport réalisé fait par un auditeur tiers, l’attitude de Mme Iassamen y est décrite comme très agressive et très discriminante. Des harangues sont citées comme « je vais te faire la guerre, je vais te détruire », à l’encontre d’autres cadres de la CFDT. Des actes sont décris tels que la recheche systématique des délégués CFDT ayant voté contre elle (au mépris de la démocratie), bref, un climat de quasi semi-terreur.
Aussi, je demande donc à Mme Iassamen si elle veut aller dans l’escalade ou la désescalade, puisqu’il est prouvé dans ce rapport qu’elle monte très facielement sur ses grands chevaux et dans des attitudes parano.
En effet il semblerait à la lecture de ce rapport, que Mme Iassamen bien que salarié protégé ait à l’époque échappé de peu au licenciement.
Donc face à un petit article, réaliser spécialement un tract pour décrire un complot anti-CFDT à l’approche d’élections dont personne n’est au courant en externe, pour justifier ce que « la plume » de la CFDT (qui à n’en douter n’est autre que Mme Iassamen elle-même) sur ce qu’elle un « ratrapage salarial normal », ça ressemble beaucoup aux attitudes de fortes agressivité décrites dans ce rapport confidentiel, et la démarche de la Lettre A pas illégitime d’appeler ça « une volonté de la direction d’Atos de se mettre la CFDT dans sa poche ».
La virulente défense de Bertrand Meunier contre Sycomore initiée par Mme Iassamen il y a un mois interpelle forcément. Les syndicats d’Atos sont tous très réservés depuis un an vis à vis de la scission et la considèrent tous comme une manoeuvre financières et boursière à travers la lecture des différents sites syndicaux.
Je rappelle que Sycomore et Mr Léo Apotheker étaient très réservés sur la scission et suggéraient éventuellement y mettre fin si un audit ne révélait pas un création de valeur très significative, ce que à ce jour aucun document de Atos n’a pu prouver, si ce n’est le blablabla de Meunier et sbires.
Donc il n’y a jamais eu de CFDT-Gate, mais juste un AliaGate qui est la seule personne de la CFDT à voir publiquement pris parti contre Sycomore et Léo Apotheker.
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La CFDT assume… d’autres devraient avoir honte ! Depuis plusieurs semaines, une militante CFDT est attaquée de manière violente, comme à chaque fois que se profile une échéance électorale au sein du groupe Atos. Encore une manière de déstabiliser la CFDT, première organisation syndicale chez Atos. Nous laissons à tous le soin de mesurer la violence réelle et symbolique qui pèsent sur notre militante, avec les coups qui viennent de sources anonymes qui n’osent pas l’affronter ouvertement. Quel courage ! Un mail anonyme, calomnieux, a été envoyé aux élus et à la direction. Ainsi le CFDTgate est né. Ce mail court dans l’entreprise, répandu sans doute par des personnes aigries ou déçues. Ils l’ont même transmis à un blog de boursicoteurs bonimenteurs anonymes et à une pseudo presse en manque de sujets et qui ne vérifie pas la véracité de ses sources. La CFDT utilisera les moyens de la justice pour rétablir ses droits et ceux de ses militants. S’attaquer à un militant ou une militante de la CFDT, Face à ces personnes de l’ombre, la CFDT n’a pas l’intention de se terrer. Bien au contraire, car c’est sur eux que la honte doit s’abattre. La CFDT est fière d’accompagner celles et ceux qui ont été discriminés pendant des années, et qui avec plusieurs décennies d’expérience et de compétences reconnues continuent à être sous-payés. Ce n’est pas la normalité. Ce que nous n’acceptons pas pour les salariés, nous ne pouvons l’accepter pour nos militants. La CFDT est fière d’avoir introduit une action en justice et d’avoir usé du droit pour défendre ses représentants, et rattraper la discrimination de salaire et de carrière que notre militante, a dû subir depuis des années, parce qu’elle est représentante du personnel, parce qu’elle est une femme, parce qu’elle est d’origine supposément étrangère. Il est de notre rôle de faire en sorte que nos représentants CFDT ne soient pas plus en retard que les autres salariés de l’entreprise, qu’il s’agisse de carrière ou de rémunération. La CFDT aurait fait de même avec n’importe quel travailleur discriminé. La CFDT est fière d’avoir à tous les niveaux, des militants qui assurent, en plus de leurs mandats, un travail opérationnel aux côtés de leurs collègues. Pour la CFDT, chacune et chacun doit pouvoir poursuivre une carrière professionnelle réussie et s’investir avec conviction dans l’action syndicale au service de la défense de leurs collègues. La représentation syndicale offre l’opportunité d’acquérir de nouvelles compétences et de porter un nouveau regard sur l’entreprise, tout en apportant sa pierre à l’édifice. Manifestement, cette vision du syndicalisme réformiste et progressiste n’est pas du goût de tous et ça dérange. La CFDT est fière de défendre l’emploi coûte que coûte dans le contexte de crise majeure que vit le groupe Atos. Le maintien de l’emploi, qui reste notre priorité, passe par la survie d’abord puis le développement et la préservation des entités dans le groupe. L’égalité de traitement est notre ADN CFDT. L’égalité entre les femmes et les hommes, c’est nous. Le paritarisme dans les élections professionnelles, c’est encore nous. L’égalité de traitement dans les carrières et dans les rémunérations entre les salariés qui s’engagent et les autres, c’est toujours nous. Et finalement, nous en sommes très fiers. Nous mettons quiconque au défi de prouver que nous avons signé plus d’accords (obligatoirement avec au moins un autre syndicat pour qu’il soit applicable) depuis que nous avons obtenu un rattrapage de rémunération et de carrière de nos militants en situation de discrimination avérée. C’est vraiment mal connaître notre fonctionnement interne que de supposer qu’une personne seule peut décider pour notre collectif. Nous mettons enfin quiconque au défi de prouver que nous n’avons pas, au cours de ces 4 années de mandat, cherché à chaque fois à assurer la meilleure représentation des salariés et la meilleure défense de leurs droits. La CFDT, à la fois premier syndicat en France, premier du secteur privé, premier chez les cadres et premier au sein du groupe Atos, grâce à la confiance que lui portent les salariés du groupe, est fière de faire son travail et de bien le faire ! Notre travail vous intéresse ? Vous voulez vous investir et faire changer les choses ? Travaillons ensemble et rejoignez-nous ! La CFDT lutte pour obtenir de nouveaux droits ! |
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