Je rappelle aux nouveaux lecteurs du présent blog, que la catégorie d’articles « Rumeur-blog » a été créée pour la première-fois en décembre 2023, pour la distinguer des 3 catégories existantes extrèmement sérieuses et afin de matérialiser son côté ludique et non-journalistique. En effet, au moment de la création du blog le 9 octobre 2022 (bientôt 3 ans) nous avions 3 catégories d’articles :
1/ Brèves-blog : articles courts ou mono-sujet d’environ 3 à 4mn de lecture
2/ Articles-blog : articles plus longs ou multi-sujets, d’environ 5 à 10mn de lecture
3/ Analyse blog : articles de fonds avec graphiques, tableaux Excels, simulations d’environ 10mn à 15mn de lecture.
La rubrique « Rumeur blog, a été définie lors de sa création de la façon suivante, copier-collé :
Les articles intitulés « Rumeurs-blog », seront à prendre comme son nom l’indique comme des rumeurs, et pas comme des certitudes encore moins comme des informations privilégiées, même si nous nous réservons la possibilité de continuer à faire des exclus si nous sommes sûrs de notre coup et de nos sources et nous sommes par exemple sûr qu’il y aura un profit Warning au plus tard le 1er Aout 2025.
Les articles Rumeurs-blog ne sont en aucun cas des fakes générée à dessein de nuire, juste des informations non vérifiées par plusieurs sources. Pour l’instant notre taux de réussite sur ces articles rumeurs-blog est de l’ordre de 25% seulement, FIY.
En principe, je n’annonce pas de news si ne je l’ai recroisé via deux sources internes. La rubrique Rumeurs-blog peut aussi venir d’informations d’une source interne à un niveau modéré de la pyramide de management et/ou qui a pu se faire piéger.
Donc j’insiste sur le côté ludique de cette catégorie d’articles que nous n’utilisons que 2 à 3 fois par an.
Ces préliminaires étant dits, le blog a donc eu vents de rumeurs en provenance de Bezons comme quoi Philippe Salle serait sur le départ.
Plusieurs indices m’ont poussé à rédiger cet article :
1/ premier accrochage sur les HPC, comme pour le dossier Elior où Philippe Salle est resté 2 ans et demi et parti faché avec son actionnaire.
Philippe Salle ne voulait pas se séparer des HPC. Jusqu’à la fin il a dit « ça n’est pas moi qui décide ». Bien que lors du capital market day, le blog avait annoncé la veille en exclu que le deal était scellé, Philippe Salle a fait de la résistance et n’a pas voulu annoncer le deal (maintenant on comprend mieux vu le prix réduit de 200M€). Il a donc fallu à la fois la pression du board et des deux créanciers actionnaires DE Shaw et Melquart pour le contraindre d’accepter le deal.
2/ Deuxième erreur, des objectifs d’extra-terrestre et totalement irréalisable lors du CMD qui pourraient amener lors du Profit Warning qui devrait être annoncé, amener S&P à repasser la dette d’Atos en CCC+ pour la partie New Money. Quant à la dette conservée, je rappelle pour les ignares de Boursorama qui trouvent que Atos est décotée, qu’elle est toujours en CCC.
3/ Troisième erreur. Avec son égo démesuré, s’être attaqué à notre micro-blog et avoir embauché une avocate de quartier là où Meunier avait embauché le prestigieux cabinet Novagraaf il y’a 2 ans. Bilan, échec total de sa tentative de fermer notre blog, atteinte à la liberté d’expression, cyber harcèlement, harcèlement judiciaire. Face à des fonds comme DE Shaw ou Melquart c’est de l’amateurisme total.
4/ Du coup en représailles du (3), notre blog a augmenté sa vigilance et traqué encore plus que d’habitude tous les mensonges et incohérences des déclarations de Philippe Salle, ainsi que ses prévisions erronées, la dichotomie entre les déclarations de Paul Peterson sur le bon taux d’attrition et le DEU en page 419 qui dit que le taux d’attrition de dégrade. Sans cette agression de Philippe Salle, le blog aurait été peut-être moins vigilant et pas vu ces mensonges.
5/ La non-obtention à 3 mois de l’extension du contrat Siemens de résultats dans les négociations annoncées avec Siemens. L’annulation de la visite du 8 avril à Munich…
6/ L’hémorragie des Key talents que Philippe Salle devait garder et pour lequel il avait un intéressement.
7/ Le départ du CTO de l’Ai et la non-officialisation du nom du nouveau CTO qui doit, comme l’Arlésienne arriver en septembre. Comme si un CTO allait changer le futur de Atos. Pour l’instant l’important c’est de vendre des contrats. Recruter un CTO sans argent pour la R&D, ça rime à rien, si ce n’est qu’il a finalement compris que Michael Kollar n’avait pas la pointure pour remplacer Laurent Bardet (il est donc pas complètement débile) et qu’il fallait une autre pointure vu le départ à la retraite de Laurent Bardet le 1er octobre.
8/ La succession est déjà prévue avec la nièce de Philippe Salle arrivée chez Atos il y a 2 mois
9/ La maladresse de virer des Atos historiques pour faire venir sa nièce. Ça fait désordre quand même vis-à-vis des fonds créanciers !
10/ Nous avons eu confirmation que Philippe Salle était un choix par défaut et qu’il n’y avait aucun autre prétendant voulant accepter le job.
11/ L’obstination de Philippe Salle à ne pas nommer Clay Van Doren n°2 de Atos et Deputy CEO.
De là à penser que c’est Philippe Salle qui vend ses actions avant de partir et fait baisser le cours, il n’y a qu’à attendre les déclarations AMF. Sur Boursorama, les forumeurs vont bien trouver les délais légaux d’annonce, ils ne savent faire que ça, la paperasserie… 😀 😀
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UN PROCÈS DE GROUPE EN RÉPARATION DE PERTES BOURSIÈRES VA DÉMARRER EN JUIN.
IL EST GRATUIT sur le principe « NO WIN, NO FEES ».
L’association UPRA [Union Pour la Réparation des Actionnaires] vient d’obtenir un financement très conséquent auprès d’un fond de contentieux, pour un procès gratuit pour les plaignants en vue d’assigner les auditeurs d’Atos afin de recouvrer vos pertes boursières sur l’action Atos.
Si vous avez subi des pertes en tant qu’ancien actionnaire d’Atos, ou en tant que porteur d’options donnant droit à des actions, sachez qu’une action en réparation auprès de la justice française est sur le point de démarrer. Elle est ouverte à tous les actionnaires ou ex-actionnaires français, étrangers, et membres du FCPE.
Il s’agit d’une chance énorme pour les plaignants, car ce procès fonctionne sur le mode « no win, no fees », les plaignants n’auront aucune avance de fonds à réaliser. Le financeur, « le funder » sera rémunéré par une commission uniquement en cas de victoire.
Des informations complémentaires sont disponibles sur le site www.upra.fr . Il s’agit d’une première en France dans un dossier où des manquements à la réglementation boursière et comptable sont suspectés.
Que vous soyez actionnaire ou porteur d’options donnant droit à des actions, vous pouvez espérer recouvrer une partie significative de vos pertes et vous joindre à la cause. Plus nous seront nombreux, plus la part des réparations accordées ira aux plaignants, car elle permettra une meilleure « digestion » des frais fixes avancés par le fonds de contentieux. Nous espérons un ratio 70% plaignants et 30% pour le fonds de contentieux.
Si vous n’êtes pas encore préinscrit sur le site de l’UPRA, il est encore temps de le faire. Vous pouvez visiter le site ou cliquer directement ici pour vous inscrire.
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