Si l’on suit le cours de bourse de Unicredit du 12 juillet 2016 [10.52€], le jour où Jean-Pierre Mustier a été « rappelé » à la DG d’Unicredit, après avoir passé 3 ans au poste de DGA d’Unicredit de 2011 à 2014, puis parti chez Tikehau le « A » de DGA commençant probablement à le lasser, et la date de son départ en novembre 2020 où la banque semble-t-il d’après la presse avait pourtant été bien redressée, on s’aperçoit que l’actionnaire n’a rien gagné, et même perdu entre 20 et 30%, selon le jour que l’on prend comme référence l’annonce de son départ en novembre [8.00] ou son départ effectif en avril 2021 [9.00€], dont la littérature n’est pas très prolixe s’il a effectué ou non ces 4 mois de préavis.
10.50€ à son arrivée et 8.70€ à son départ. Par contre, depuis son départ, l’action s’est nettement ressaisie. Elle est désormais à 22.50€… L’intéressé rétorquerait que c’est grâce aux mesures qu’il a prise en 2020 que l’action est si haute aujourd’hui… Les anti dirons que c’est grâce au nouveau DG que le cours a remonté. Éternel débat…
Toujours est-il que les chiffres sont implacables. Celui qui aurait acheté le jour de l’arrivée de Mustier à la DG et vendu le jour de son départ de la DG aurait perdu 20%…
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Bonjour, « La deuxième banque italienne UniCredit vole de record en record : après une année 2022 déjà faste, le premier trimestre de 2023 a dépassé encore largement les attentes avec un bénéfice net dopé par la hausse des taux d’intérêt. Après avoir multiplié son bénéfice net par plus de sept à 2,06 milliards d’euros au premier trimestre, UniCredit a relevé mercredi ses prévisions pour l’ensemble de l’année. Ce résultat est nettement supérieur au consensus des analystes fourni par la banque, qui tablait sur un bénéfice de 1,3 milliard d’euros, et constitue selon la banque «le meilleur premier trimestre» de son histoire. ». Pas si mal que ça ! Cordialement.
Merci pour cette précision, mais ça fait presque trois ans qu’il est parti. Donc ce succès est plus à attribuer à ses successeurs.