Nouveau départ d’un Key Talent Atos : Mélanie de Vigan, CCO de Digital Workplace [Brève-blog]

 

Nouvelle prise de guerre de Nourdine Bihmane ?? incompatibilité d’humeur avec Philippe Salle ?? Toujours est-il que le cadre supérieur d’Atos qui m’a récemment parlé de « bain de sang » dans les talents Atos, était dans le coeur du sujet…   Perso, mon avis c’est qu’elle a été la collaboratrice durant 2 ans de Nourdine Bihmane, donc je la vois bien en partance vers Konecta. Aucune info à ce jour.

Pour ceux qui l’ignorent, Digital Workplace est une division de l’ex-entité TFCo qui était la deuxième plus profitable après TS. De toute façon, vu que Philou a ressuscité à la dernière minute Eviden, autant parler comme avant. C’est juste une société siscionnée en pratique, mais sans scission officielle 😀

Je ne connaissais pas cette charmante dame, mais après vérification, elle était chez Atos depuis 25 ans et a travaillé en tout et pour tout que pour Atos, puisqu’elle a démarré sa carrière chez Sema, et vu que Atos a racheté Sema en 2002, on peut dire qu’elle est une pure Atossienne, dès la sortie de l’école 🙂

Voici ce qu’on m’en a dit : 

Je ne sais pas comment Atos va continuer prétendre pouvoir vendre du workplace.
Tu trouves que Mischa van Oijen est une grosse perte (et c’est vrai et légitime), mais ce n’est rien comparé à Mélanie de Vigan. 

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UN PROCÈS DE GROUPE EN RÉPARATION DE PERTES BOURSIÈRES VA DÉMARRER EN JUIN.

IL EST GRATUIT sur le principe « NO WIN, NO FEES ».

L’association UPRA [Union Pour la Réparation des Actionnaires] vient d’obtenir un financement très conséquent auprès d’un fond de contentieux, pour un procès gratuit pour les plaignants en vue d’assigner les auditeurs d’Atos afin de recouvrer vos pertes boursières sur l’action Atos.

Si vous avez subi des pertes en tant qu’ancien actionnaire d’Atos, ou en tant que porteur d’options donnant droit à des actions, sachez qu’une action en réparation auprès de la justice française est sur le point de démarrer. Elle est ouverte à tous les actionnaires ou ex-actionnaires français, étrangers, et membres du FCPE.

Il s’agit d’une chance énorme pour les plaignants, car ce procès fonctionne sur le mode « no win, no fees », les plaignants n’auront aucune avance de fonds à réaliser. Le financeur, « le funder » sera rémunéré par une commission uniquement en cas de victoire.

Des informations complémentaires sont disponibles sur le site www.upra.fr . Il s’agit d’une première en France dans un dossier où des manquements à la réglementation boursière et comptable sont suspectés.

Que vous soyez actionnaire ou porteur d’options donnant droit à des actions, vous pouvez espérer recouvrer une partie significative de vos pertes et vous joindre à la cause. Plus nous seront nombreux, plus la part des réparations accordées ira aux plaignants, car elle permettra une meilleure « digestion » des frais fixes avancés par le fonds de contentieux. Nous espérons un ratio 70% plaignants et 30% pour le fonds de contentieux.

Si vous n’êtes pas encore préinscrit sur le site de l’UPRA, il est encore temps de le faire. Vous pouvez visiter le site ou cliquer directement ici pour vous inscrire.

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