Atos : Comme par hasard, tout comme le blog, OnePoint souhaiterait faire des vérifications approfondies des CAPEX [Brève-blog]

 

Il s’agit d’un des points clefs de l’action en réparation que projette l’UPRA. Vérifier tous les CAPEX des 5 dernières années. Nous avons la quasi certitude que les équipes de Bertrand Meunier et possiblement Thierry Breton, mais il y a prescription, on mis des dépenses d’OPEX artificiellement en CAPEX.

C’est un des points importants que demande Onepoint à vérifier dans les élements de Due Dilligence. Qu’il a listé.

Pour faire simple quel est ce possible procédé frauduleux :

Vous avez un gros chantier à 50M€. Vous avez mal chiffré, vous êtes en pertes. Vous dites aux auditeurs que le développement de la solution pour le client va être revendu à d’autre clients, et que donc c’est assimilé à du logiciel. Vous passez 15M€ de charges opérationnelles (OPEX) en CAPEX (charges de R&D ammortissables), et vous amortissez les 15M€ sur 5 ans ou 7 ans.

Du coup, au lieu de perdre 5M€ sur ce chantier vous êtes en bénéfice de 10M€. Nous pensons, en ayant à ce stade que des indices très probants et des témoignages orals de cadres, que cette technique aurait permis à Thierry Breton d’afficher une superformance de 60 à 80% des RN. Et que sur les 2980M€ de pertes de 2021, seulement 1490M€ sont des dépréciations de goodwill, donc l’autre partie sont des dépréciations de Capex et que 1500M€ divisé par 5 = 300M€, donc il faut retrancher 300M€ de RN sur les 3 derniers exercices Breton.