À force d’ingurgiter des pages et des pages de propositions de chaque candidat, je suis allé un peu vite sur les slides de Daniel Kretinsky et j’avais loupé la page 25 qui parle du retour à la maison des talents « with exceptionnal track record« , on parle bien-sûr de talents qui ont été poussé à partir dégouté par l’incompétence de Meunier et l’incompétence encore pire de Mustier.
De gauche à droite :
Michael Kollar, ex-Directeur Technique produits digitaux et CEO Cloud.
Jose Manuel, Diego Sainz, ex-Directeur stratégie financière
Valérie Kornen, ex-Directrice financières des filiales
Et notre « TFCo is back », Nourdine Bihmane, ex-CEO de TFCo, et ex-DG groupe, mais auquel Bertrand Meunier n’a jamais vraiment laissé exercer la fonction de DG groupe, raison de l’effondrement de Eviden laissé sous la responsabilité entière de l’inexpérimentée Philippe Oliva complètement dépassé par la fonction.
Avec deux experts financiers sur le retour, je serais Jacques-François De Prest, je me ferais du mauvais sang 🙂 .
Au moins il aura acquit une expertise en procédures collectives préventives 😀 . Ca fait toujours un plus sur le CV « expert en conciliations exa-compliquées » : -D
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Vous vous doutez bien, que si Kretinsky dit ça dans ses slides,et connaissant le côté carré de l’homme, c’est pas pour faire du Bisounours à la Layani qui lui s’est pris un méga-vent par Stéphane Richard. S’il a cité ces personnes, c’est que bien-entendu qu’il a d’ores et déjà l’accord des personnes citées.
En effet, le blog vous annonce avec une certitude de 99.9% que si Kretinsky est choisi, ces 4 personnes reviendront chez Atos.
« Oui, mais ils ont été embauché ailleurs… »
Le blog vous annonce avec une certitude de 99.9% que si Kretinsky est choisi, ces 4 personnes reviendront chez Atos. La seule chose que j’ignore c’est s’ils reviendraient au closing ou dès la signature de la conciliation.
Il y aurait apparemment d’autres personnes en sus de ces quatre, mais les si les autres ne sont pas cités, c’est qu’ils n’ont pas encore donné leur accord définitif.
Pour Pierre Barnabé, là par contre je peux rien vous promettre 😀 . Ne soyez pas trop gros gourmand, Kretinsky, c’est pas un mage non plus 😀 Et avec le tout petit bout de Cyber qui reste, je le vois pas quitter le poste de CEO de Soitec. En même temps, Pierre, si d’aventure vous me lisiez, c’est pas trop chiant de vendre du sable en plaquette thermoformées quand on a vendu des Léonardo en pétaflopés ? 🙂
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Si vous avez subi d’énormes pertes sur Atos, sachez qu’une action en réparation est en cours de constitution sur le site Upra.fr (l’Union Pour la Réparation des Actionnaires), pour recouvrer une partie de vos pertes par voie de justice. Cette action sera totalement gratuite pour les plaignants car nous la ferons financer auprès de fonds spécialisés qui prendront un pourcentage en rémunération et l’UPRA ne vous demandera aucun paiement ni cotisation ou autres. À ce jour, plusieurs fonds ont fait part de marques d’intérêts, mais nous n’avons pas encore de réponse définitive. La réponse dépendra du nombre de personnes pré-inscrits et des comptes audités 2023.
Afin de ne pas déstabiliser la société, cette action ne visera ni Atos, ni ses dirigeants ou ex-dirigeants, mais uniquement ses auditeurs (commissaires aux comptes) en particulier DELOITTE supposé être le n°1 mondial de l’audit, mais que l’UPRA soupçonne avoir été très complaisante vis-à-vis d’Atos avec les règles comptables en vigueur, et leur reproche d’avoir fait manquer une chance aux actionnaires de ne pas acheter l’action quand elle était surcotée vis-à-vis de sa réelle valeur et d’avoir fait manquer une chance d’avoir vendu, quand la société s’effondrait et que la comptabilité ne reflétait pas cet effondrement, en particulier une absence totale de dépréciation d’actifs en 2022.
Je rappelle qu’à la publication d’un jugement qui dirait le contraire, Deloitte est supposé avoir certifié les comptes d’Atos de manière totalement sincère, et l’avis exprimé ci-dessous est l’avis de l’UPRA uniquement et reste à l’état de soupçons tant que nos preuves n’auront été validé par un juge.
Pour des raisons de coûts de procédure, elle est réservée aux personnes ayant subi des pertes supérieures à 10 000€, sinon les coûts judiciaires, avocats, expertises, etc… en millions d’euros seraient supérieurs à la perte et ne seraient pas rentables pour le fonds qui financera ce recours. Soyez assuré qu’il ne s’agit pas de snobisme, mais réellement de contraintes financières.