Personne, aucun journaliste ne s’est intéréssé sur les taux usuriers demandés par les obligataires à Onepoint en échange de leur soutient et acceptés sans broncher par Onepoint : 13% !
Et ça c’est sur la New Money, mais la dette conservée passe de 1.5% en moyenne à 7% (voir plus bas dans l’article).
La charge de taux d’intérêts si les créanciers/Onepoint sont choisis, sera bien supérieure à la charge d’intérêts actuels de Atos avec pourtant 4800M€ de dette !!! C’est juste un truc de ouf.
Le seul avantage de la dette actuelle d’Atos, c’est que même si elle est très élevée, elle a des taux d’intérêts très bas sur la partie obligataire :
0% pour novembre de cette année (500M€)
1.75% pour juin de l’année prochaine (750M€)
2.5% pour 2028 (300M€)
1% pour 2029 (800M€)
Quand aux intérêts bancaires sur la partie 1500M€ on est sur du 5% et pour le RCF de 900M€ à 4.5%.
Or toute la partie conservée de cette dette obligataire va passer à 9% et je rappelle qu’il y a 850M€ de dette obligataire conservée et 850M€ de dette bancaire conservée (+100M€ pour ceux qui ne veulent participer ni au capital ni au refinancement) + 1500M€ de dette nouvelle.
Et là les 9% c’est juste sur la dette conservée, vous allez voir un peu après que sur la dette nouvelle les intérêts montant à 13%… On comprend mieux pourquoi ils font des courbettes à Layani !
Dette conservée, versus 0%/1.75/2.5/1% :
On comprend mieux pourquoi Onepoint trouve si facilement depuis 10 ans des financements disproportionnés face à sa taille. Il paie à priori des taux d’intérêts usuriers dont une partie en DIK (paiement en nature en augmentant la dette) et a choisi les mêmes recettes pour Atos. Les obligataires sont d’accord pour financer Atos de nouveau en échange de la conservation de 850M€ de leur dette à ratio 1:1. Page 29 du PDF de la lettre d’intention du 2 juin.
Mais si les créanciers ont accepté une telle offre, refinancer Atos et même avec la carotte de conserver 100% de leur dette sur la partie refinancée, c’est qu’il y a des grosses parts d’ombre.
Et dans nos saillies humoristiques, face à l’ogre Kretinsky maintenant ça n’est plus le Petit Poucet à qui on a affaire, mais au côté obscur de la force. L’OMERTA totale, tant pour le repreneur que pour les conditions du deal, qui remet De Facto Atos face à une asphyxie non pas de dette cette fois-ci, tout est décalé à meilleur fortune, dans 5 ans, mais face à la charge financière des intérêts post-sauvegarde accélérée, soit au closing.
Sur les repreneurs Créanciers Layani. Intéressons-nous à la seule partie de la New Money qui ne devra jamais être remboursée, les 250M€ d’apports en capitaux propres (contre 350M€, voir 500M€ de la première offre).
L’OMERTA est encore plus totale, que maintenant que Onepoint est simple « Anchor investor », il se dispense encore plus qu’avant de toute précision à son propos.
Je rappelle qu’on ne sait rien de la rentabilité de Onepoint. Il s’érigent en bon élève avec le Maitre Layani sauveur d’Atos mais qui ne veut ni donner son EBIDTA, ni sa Marge Opérationnelle, ni son RN, et ENCORE MOINS son endettement exact. Le blog a essayé de le reconstituer grace à l’intelligence artificielle et avec un certain succès, pour ceux qui n’ont pas eu le courage de lire les 7 Opus de la saga « La vérité si je mens« , nous les mettrons en annexe de cet article.
Donc Onepoint est une société où règne l’omerta la plus totale.
Grace aux entretiens entre David Layani et Yannick Tricaud, on a su que le ticket d’entrée pour être Partner chez Onepoint est de 500 000€ et 200 000€ pour être Associates. Quid du ticket pour être leader? Car chez David, 3 niveaux de hiérarchie maxi (voir interview vidéo). Partner, Leader et Associate. Et il faut payer pour faire partie de ces managers. Sinon, on est employé de base à la photocopie (pour là je caricature un peu!).
Normalement Layani a 77% du capital et 23% pour les salariés. Mais l’AI nous donne 6% pour des anciens dirigeants de sociétés rachetées et 4% pour Tikehau capital qui aurait converti 20M€ de créance en capital (toujours selon l’intelligence artificielle et croisés via plusieurs moteurs).
Les dots amenées par chaque Partner ou Leader ou Associate font l’object d’une petite AK qui chaque fois et gonfle le flux de trésorerie.
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On retrouve ce même système d’OMERTA dans l’offre.
1/ Butler a droit à 2 pages et demi sur ses faits d’armes, mais il n’est précisé à aucun moment quel sera son rôle dans l’organigramme. Pire il n’est pas précisé combien il amène en cash. Dans la première offre il était marqué « un groupe d’investisseurs dont Walter Butler amène 50M€ », donc on ne sait pas si c’est Walter Butler personne physique ou Butler Capital qui amenait l’argent.
2/ Dans la deuxième offre, ZERO référence au montant qu’amène Walter Butler qui a toujours droit à ses 2 pages d’éloge. Le blog l’estime à 20M€ soit peanuts. La présence de Butler c’est juste du marketing, de « l’endorsement » en anglais car Layani n’a jamais redressé de grosses entreprises malade. Juste Vision IT mais le CA n’était que de 90M€ et la société en difficultés mais pas au bord du dépot de bilan non plus.
3/ ECONOCOM avec sa MOP inférieure à celle d’Atos et le père Bouchard nous ont fait chier durant 8 jours à faire la une de la presse. On ne sait même pas s’ils mettent 1ct dans l’affaire. Le blog estime leur participation entre 0€ et 5M€, et encore moins leur role dans le future organigramme. La seule différence avec Butler c’est qu’ils n’occupent pas 2 pages et demi dans la lettre d’intention.
4/ David Layani personne physique qui mettait 20M€ s’est apparement retiré (supposition blog) car vu que le montant est passé de 350M€ à 175M€ c’est qu’il y a eu du sauve-qui-peut.
5/ La quinzaine de Partners qui non contant d’avoir payés leurs 500K€ de dot mettaient la main au pot en amenant 30M€ de leurs deniers personnels (ou empruntés je pense) se sont (apparement) aussi sauvé en courant.
6/ Le montant mis par Onepoint est aussi gardé secret, Omerta toujours, le blog l’estime à 150M€
Donc si l’affaire tournait mal, Onepoint aura misé au total seulement 150M€ et pourrait survivre à cet échec, même si la société en sortirait ébranlée et sa réputation affectée, c’est pour ça que j’utilise le conditionnel « pourrait survivre ».
7/ Du coup pourquoi Onepoint fait ça? Le consortium aura au total 21% et Onepoint directement environ 15%. Cela laisse une grosse suspission sur les intentions de Onepoint. Certitude de ne pas avoir de dividendes avant 5 ans. On sent un coup fourré à venir et pas l’intention de rester à 15%.
8/ Omerta sur le financement de la dette. Pas de bilan prévisionnel avec des TAUX D’INTERÊTS USUSIERS.
Page 29 du PDF : https://atos.net/wp-content/uploads/2024/06/Revised-Offer-_-Onepoint_Butler-_Econocom_creditors.pdf
Je rappelle que l’offre Obligataires Onepoint est si brouillon que plusieurs version sont mélangées finalement c’est 850M€ pour les obligataraire A UN TAUX D’INTERÊT DE 13%, soit presque 3 x la charge d’intérêt proposé par Kretinsky et son taux à 5%.
C’est à dire que l’offre Créanciers/Onepoint, va payer JUSTE SUR LA PART OBLIGATAIRE l’équivalent en intérêts de 2210M€ de dette en comparaison du taux d’intérêt de Kretinsky.
MAIS CA C’EST JUSTE SUR LA NEW MONEY
9/ La dette obligataire conservée passe d’un taux moyen de 1.5% à 9% et sur 5 ans.
Donc ma conclusion et je vais probablement étoffer cet article d’ici 19H, C’est qu’en dette conservée, il y a un niveau acceptable, du fait qu’il a tout axé sa dernière offre sur la conversion en capital, mais sur les intérêts de la dette, ILS SERONT SUPÉRIEURS A LA DETTE ACTUELLE.
ET PERSONNE NE DIT RIEN, LA CFE-CGC APPLAUDIT MÊME A BATTONS ROMPU !!!
J’espère que c’est pas vous qui tenez la compta de la fédération CFE CGC Mr De La Force ? Parce que les taux d’intérêts apparemment vous ne savez pas ce que c’est !! Pathétique personnage…
De manière surprenante, la CFDT, semble un peu plus prudente et tout en affichant un penchant pour David Layani, s’est abstenu de
A plus tard pour la version finale avec les interêts du RCF qui sont à priori de 7% mais c’est tellement le bordel dans leur offre que je dois revérifier…
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Certains on pu penser que la déclaration de Kretinsky que la déclaration de Kretinsky que l’offre de Layani serait immédiatement classée en Junk Bund était de la propagande électorale. En fait je pense et j’ose imaginer que Mustier en tant que ex-banquier l’a compris, si la conciliation était entérinée pour l’offre Créanciers/Layani, la dette serait selon notre opinion, dégradée à CC.
En effet, toute amélioration de la MOP serait littéralement laminée par le coût usurier de la dette.
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Continuons dans l’OMERTA. L’offre créanciers/Layani, pour ceux qui ne veulent ni réinvestir dans la New Money, ni de conversion en capital, est de 80% d’écrasement, mais limité à 400M€ de créances, donc s’il y a plus de 400M€ de créanciers qui ne veulent que de la conversion en cash, alors ils ne peuvent pas sortir, Là où Kretinsky offre une sortie en cash de 21%, mais partie immédiate au closing et partie sous 2 ans maxi.
Les créanciers qui ne veulent pas réinvestir dans l’offre Layani, vont toucher 1% de moins que Kretinsky et devoir attendre 8 ans pour revoir le moindre centime !!!
Donc l’offre créanciers/Onepoint est purement et simplement du racket pour ceux qui veulent tourner la page et quitter le navire Atos. Donc en l’état et sans même l’attribution de 20% du capital, l’offre Kretinsky est BIEN PLUS FAVORABLE pour les créanciers qui ne veulent que du cash.
En fait c’est un véritable racket car il y a seulement 1% d’intérêt en cash, le reste est en PIK (payé en nature par augmenation de la dette) et donc récupéré à la fin des 8 ans.
En résumé, avec Layani IL N’Y A AUCUN MOYEN DE TOURNER LA PAGE ATOS. Encore prisonnier pendant 8 ans.
Aussi on peut dire que même en l’état, même sans les 20% du capital en bonus et en cours de discussion, l’offre Kretinsky est bien plus rassurante.
Enfin même sur ces 100M€ de dette conservés durant 8 ans, le taux d’intérêt est prohibitif à 7%
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Pour les banques, je vous ai dit pour ceux qui ont lu la première version que je ne trouvais pas, en fait il y avait une raison à cela, ça n’est pas marqué. Là où il y a des points noirs c’est que les données n’ont pas été décidées. En fait le 1er délai jusqu’à mercredi soir, c’est parce que l’offre créanciers/Layani n’était pas terminée
Si les banques ont moins suivi, c’est que le taux doit être moindre que les obligataires, je vais donc supputer et prendre 10%.
Donc durant 5 ans, le consortium va devoir rembourser :
La dette conservée de 1500M€, la dette conservée de 100M€, la nouvelle dette de 1500M€, soit 3100M€ de dette contre 4800M€ aujourd’hui on est bien au dessus de 50%, normal puisque les liquidités demandées par Mustier sont amenées uniquement à 250M€ en fond propres chez Layani et consors.
Donc à un taux moyen de 10% dont 6% en cash + 4% PIK, le cout annuel de la dette est de circa 300M€ dont 186M€ en cash, soit l’équivalent de 3% de marge opérationnelle. Donc ce qui serait gagné en opérationnel sera redonné aux créanciers! Bravo les artistes. Ca se passe comme ça c’est Onepoint. Au final à quelque chose prêt, la dette est juste différée de 6 ans, mais il n’y a pas grand chose de changé dans le plan Onepoint. C’est reconciliation sous moins d’un an après le closing…
Donc quand je reprense à ce journaliste m’a rapporté les propos de l’analyste d’un fonds lui avait dit : « c’est peut-être OnePoint qui va devoir être restructuré », j’ai tout de suite compris qu’il faisait allusion à un niveau de dette préoccupant de Onepoint. Car si Onepoint fonctionne de la même façon avec sa propre dette que la façon dont il envisage de gérer celle d’Atos, je comprends désormais mieux l’inquiétude de l’analyste ». D’ailleurs l’un n’empeche pas l’autre, les deux pourraient se retrouver en difficulté !
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ANNEXES :
Estimation de la dette Onepoint via l’intelligence artificielle et recoupement dans la presse et Google
Estimation CA Onepoint via l’intelligence artificielle et recoupement dans la presse et Google
Estimation blog du CA 2024 Onepoint en tenant compte du ralentissement du secteur : entre 505 et 515M€
Selon ce tableau nous estimons le chiffre de 20% de croissance organique figurant dans la lettre d’intention de Onepoint dans la description de sa société est inexact et très optimiste par rapport à notre tableau.
Le chiffre de croissance organique selon le blog est entre 13% et 16% (estimation selon notre simulation), soit bien moins que Google Cloud, AWS ou Microsoft Azure qui ont pourtant des tailles sans commune mesure.
La raison pour laquelle nous insistons sur ces chiffres n’est en aucun cas pour nuire à Onepoint, mais vu que Atos sera dirigé par David Layani de montrer qu’il n’y a rien d’exceptionnel dans le parcours de Onepoint qui laisse penser que David Layani serait un Steve Jobs des ESN.
Par contre, je crois que les hommes ont 4 ans d’écart, lui ne laisse pas de place au doute. Le groupe de Daniel Kretinsky fait 200 fois plus de CA que Onepoint et la valeur du groupe est 150 fois plus élevée que celle de Onpoint. Donc en termes de réussite dans la vie, ça fait plus envie côté Kretinsky que coté Layani qui a du faire appel à un ami Frédéric Triguier auteur du classement des 500 fortunes françaises pour y entrer en prenant une valorisation de Onepoint à 1Md€… No comment quand on oublie d’enlever la dette de la valorisation.
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Si vous avez subi d’énormes pertes sur Atos, sachez qu’une action en réparation est en cours de constitution sur le site Upra.fr (l’Union Pour la Réparation des Actionnaires), pour recouvrer une partie de vos pertes par voie de justice. Cette action sera totalement gratuite pour les plaignants car nous la ferons financer auprès de fonds spécialisés qui prendront un pourcentage en rémunération et l’UPRA ne vous demandera aucun paiement ni cotisation ou autres. À ce jour, plusieurs fonds ont fait part de marques d’intérêts, mais nous n’avons pas encore de réponse définitive. La réponse dépendra du nombre de personnes pré-inscrits et des comptes audités 2023.
Afin de ne pas déstabiliser la société, cette action ne visera ni Atos, ni ses dirigeants ou ex-dirigeants, mais uniquement ses auditeurs (commissaires aux comptes) en particulier DELOITTE supposé être le n°1 mondial de l’audit, mais que l’UPRA soupçonne avoir été très complaisante vis-à-vis d’Atos avec les règles comptables en vigueur, et leur reproche d’avoir fait manquer une chance aux actionnaires de ne pas acheter l’action quand elle était surcotée vis-à-vis de sa réelle valeur et d’avoir fait manquer une chance d’avoir vendu, quand la société s’effondrait et que la comptabilité ne reflétait pas cet effondrement, en particulier une absence totale de dépréciation d’actifs en 2022.
Je rappelle qu’à la publication d’un jugement qui dirait le contraire, Deloitte est supposé avoir certifié les comptes d’Atos de manière totalement sincère, et l’avis exprimé ci-dessous est l’avis de l’UPRA uniquement et reste à l’état de soupçons tant que nos preuves n’auront été validé par un juge.
Pour des raisons de coûts de procédure, elle est réservée aux personnes ayant subi des pertes supérieures à 10 000€, sinon les coûts judiciaires, avocats, expertises, etc… en millions d’euros seraient supérieurs à la perte et ne seraient pas rentables pour le fonds qui financera ce recours. Soyez assuré qu’il ne s’agit pas de snobisme, mais réellement de contraintes financières.
Bj, votre analyse est certainement non contestable. Après il y a choix financier et le choix politique. Qui l’emportera. Cdt
Il y a des sujets sur lesquels tu raconte n’importe quoi, du coup ça décrédibilise tout ton blog puisque tu ose à priori affirmer des chose comme des vérités sur des sujets que tu ne maitrises pas.
Concernant l’actionnariat de Onepoint, seuls, les partners doivent obligatoirement devenir actionnaire. Assez logique, puisque ce sont des partners.
Les leader ont la possibilité sur la base du volontariat de rentrer dans le capital. Les montants sont infiniment inférieur aux 200 k€ que tu attribus pour les associates. Quant aux associates, justement, Il ne peuvent rentrer au capital, sur la base du volontariat, uniquement dans le cadre d’un plan d’épargne entreprise comme n’importe quelle boîte. Les montants étant Max de 5k€ au bout de plusieurs années.
Signé : un ancien employé de onepoint
Eh ben Zorro, si c’est si génial que ça Onepoint, peux-tu nous expliquer pourquoi tu n’y est plus.
Et si tu n’y est plus comment connais-tu les chiffres actuels. J’ai précisé que je ne faisait que reporter les propos de Yannicaud Tricaud à des collègues et que je n’avais pas la prétention, moi, d’être dans le secrêt des Dieux.
Après tu te disperse complètement. L’important c’est que y’a bien des partners qui paient 500K€ leur ticket d’entrée, et aussi des leaders qui paient même si ce serait optionnel. En gros j’ai fait quelques approximations, mais tu confirme à 100% le principe global du système. Dans en croyant démentir tu légitime totalement mon article…
Merci pour cet article de fond.
En tant que chef d’entreprise dans l’informatique, je peux le dire avec certitude : Layani est « toast » dans les 2 ans avec OnePoint, sauf si l’effet intelligence artificielle prolonge un peu la magie.
Le secteur de l’informatique a mangé son pain blanc. Et pour les boites endettées, ce sera la bérézina. On va revivre ce que j’ai vécu en 2001-2002 suite à l’explosion de la bulle télécoms (que tout le monde a oublié) qui faisait suite à l’explosion de la bulle des dot coms.