Atos : la BNP aurait tranché pour l’offre Kretinsky. Et plusieurs s’apprêteraient à suivre sous réserve qu’EPEI relève son offre [Article-blog]

Apparemment, et selon nos informations, tous les créanciers n’auraient pas fait la fine bouche sur le plan Kretinsky et en particulier la BNP.

Et ce n’est pas la seule.

Déjà ce mercredi 15 mais, les 150 000 postiers de la Royal Mail ont cédé au charme slave en acceptant, via son board, l’offre améliorée de 20% de Daniel Kretinsky sur l’action Royal Mail au LSE, avec une belle prime de 76%, sur un cours néanmoins descendu très bas. La Royal mail n’étant pas en dépot de bilan, le prix lui est de 4Md€. Pour ceux qui douteraient de la solvabilité de Kretinsky, ça rassure.

 

 

Outre manche, on aime les investisseurs qui ont du cash.

En France, on hait les riches.

Ce n’est pas étonnant que la CGT Atos au lieu de s’intéresser à l’instart de ses confrère de Casino qui avaient vanté son sérieux tout au long des négociations, en soit à désespéré à faire des pétitions ou s’associer avec l’UDAAC. Ils n’ont apparemment pas compris, ni la CGT, ni l’UDAAC que c’était Kretinsky ou le dépôt de bilan et continuent à croire avec une naiveté déconcertante qu’il y aurait une solution alternative alors que Me Bourbouloux a incendié Paul Saleh lors d’un call avec les différents acteurs sur le fait d’avoir fait perdre 2 mois à Atos dans sa survie avec ses promesses à la con de « zero liquidities problems for all our near tearm obligations ».

Par sûr que la croisière transatlantique en Solaris 55 de Mustier entre le 5 janvier et le 5 mars ait aidé à accélérer les choses !!

Et à priori, toujours le même problème chez Atos, un board d’incompétents incapable de virer les deux.

En ce qui concerne le dossier Atos, et connaissant la propension de Kretinsky à affiner ses offres, tout le monde n’aurait pas regardé le plan Kretinsky d’un œil si suspicieux et la BNP aurait cédé au charme slave.

C’est un point capital, car si les obligataires avec un PRU beaucoup plus bas que les banques (les obligations changent de main des dizaines de fois entre leur émission et leur échéance) n’ont besoin que d’un petit relèvement de l’offre Kretinsky pour rentrer dans leurs frais, tous les membres du pool bancaire vont y laisser des plumes.

On imagine donc que ces grosses banques du pool bancaires ont reçu la visite des cadres de EPEI et qu’elles se sont fait expliquer plus clairement l’opération.

D’autre part, Kretinsky a proposé une option de seniorisation des créances pour ceux qui voudraient participer à la New Money et comme cette New Money est sous forme de RCF (revolving credit facility) cela concerne plutôt les banques qui avaient vraiment à coeur quitte à être écraser, de senioriser la partie restante.

Prenons l’exemple d’une banque qui a 100M€ de créance et qui ne voit pas d’obstacle à participer à la new money. Le traitement de la partie écrasée va être seniorisé une base passi paru. Seniorisé, ça veut dire adossé à un collatéral, une sorte de nantissement.

Et compte tenu du faible montant demandé  (400M€ max) c’est du super senior. Chez  Onepoint, y’a tellement de seniorisation, que s’il arrivait malheur à One Atos il n’y aurait plus assez de collatéral, donc c’est une seniorisation totalement fictive. Je rappelle que dans le cas Casino une partie importante de la dette était séniorisé et ça n’a pas empêché les détenteurs de cette dette de s’assoir sur 50%. Donc avoir une grosse partie de la dette seniorisée et en  l’occurrence il s’agit de 1600M€ chez Layani, c’est une semi-seniorisation qui risquerait de faire comme Casino de reperdre 50% d’ici 2 ans.

PLAN CRÉANCIERS KRETINSKY 1.0

Exemple :

La BANQUE A, possède 100M€ de dette

Cette banque va se faire écraser 100M€ selon les règles suivantes et assez rudes en version 1.0.

-Écrasement 90%, donc 10% conservés = 10M€

-Bonus si vente actifs avec minimum garanti de 350M€. Le montant de ce minimum garanti n’est pas marqué dans la lettre d’intention, mais il y est écrit « fair amount ». Un fair amount ça ne peut pas être moins que 50% donc, je prends 50% du bonus comme minimum.

Ce qui nous fait 100/4500 x 350M€ de bonus = 7.77M€

Soit au total 17.77M€ de dette conservée soit en % 17.77% et donc 82.23% de dette écrasée.

S’il y a des ventes d’actifs et que le bonus passe à 700M€, ça rajoute 7.7M€ soit 25.47M€ et dans ce cas on passe à un écrasement de 74.53%. C’est déjà plus acceptable. Mais rien ne peut garantir que des actifs seront cédés. On sent que cette option est plus pour sécuriser les créanciers qui se diraient il va vendre plein d’actifs pour rembourser son achat et aura eu Atos gratos. 40% du prix des cessions à venir s’il y en avait, c’est en effet fair play.

La banque A accepte de refinancer à nouveau 17.77M€. Cette nouvelle créance va être seniorisée, donc garantie à 99%. Le 1% c’est au cas où Atos fasse faillite et que plus aucun actif ne vaille rien.

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Disclaimer : Ce plan n’a pas été présenté par EPEI.

Il s’agit d’une simulation blog d’après les précédentes offres de Kretinsky dans les dossiers Editis, Casino, TFco,  Acier Thyssen, et Royal Mail.

 

PLAN CRÉANCIERS KRETINSKY 2.0

-Écrasement de la dette : amélioration de +300M€ pour passer de 450M€ à 750M€ de dette conservée.

Cela fait 750/4500=16.7% de dette conservée.

-Bonus. idem précédemment : maximum de 700M€, mais minimum garanti relevé à 400M€, soit 57% du bonus éligible et faisant 8.9% de la dette

Je rappelle que la présente offre fait déjà part d’un minimum garanti, si ce n’est que le montant de ce minimum garanti avait été qualifié de « fair » mais non précisé.

Entre l’écrasement systématique et le bonus garanti, cela fait une dette conservée de 25.6% et écrasement maximal de 74.4%.

C’est déjà moins massif comme rouleau 😀

Si 3Md€ d’actifs étaient cédés [je rappelle que ce chiffre inclue les 900M€ d’actifs souverains et 350M€ de Worldgrid, donc c’est 1800M€ de cessions en plus du souverain et Worldgrid], cela ferait 31.3% de dette conservée et un écrasement de 68.7%

MAIS, ceci, sans avoir à réinvestir un centime de New Money contrairement au plan Layani qui oblige pour conserver 30% de dette ou plus à soit réinvestir soit à convertir des obligations en actions. La plan Layani contrairement au plan Kretinsky 2.0 un peu austère, oblige de rester dans le circuit Atos, soit en New Money soit en capital.

Le plan Layani ne propose la New Money que pour sénioriser la nouvelle créance, mais elle n’est pas obligatoire. Et c’est compréhensible, pas mal de gens veulent tourner la page Atos et ne plus en entendre parler.

Donc les 700M€ de bonus seraient obtenus en vendant 1800M€ d’actifs supplémentaires à ceux déjà prévu, Worldgrid et le souverain.

La grosse différence dans le plan Kretinsky 2.0 est que TOUS les obligataires récupèrent 25.56%, là où pour pour récupérer 5% de plus dans le plan Layani, ils doivent convertir au minimum 50% de leur créance en capital, si ce n’est plus.

Je rappelle que le cours moyen de la dette Atos depuis 3 mois est à environ 20% du nominal et qu’elle est descendue le jour de l’abandon d’Airbus à 12% du nominal. Donc quasi tous les obligataires sont soit gagnants, soit ils rentrent dans leurs frais.

Bien-sûr dans les obligataires, il y a l’équivalent « des » Hervé Lecesne, les obligataires non prudents, qui ne mettent pas d’ordre stop ou ne surveille pas la solvabilité de l’entreprise et qui ont même oublié qu’ils avaient des obligations Atos en portefeuille, style AG2R l’assureur vie qui a gardé leur dette depuis l’émission en faisant confiance à Titi Breton, alors qu’ils pouvaient sortir à 80% cet été après l’annonce des pertes, eux, on ne va pas les plaindre s’ils ne savent pas gérer des obligations, qu’ils changent de métier. Gérant obligataire, c’est suffisamment bien payé pour qu’on ne se lamente pas sur les pleureuses.

Sur le graphique ci-dessous, on voit que même le 3 janvier, « les pleureuses obligataires » pouvaient sortir à 80% du nominal. Ceux-ci méritent leurs pertes. Les gérants obligataires sont payés pour surveiller leurs portefeuilles, pas pour se tourner les pouces ni pour chouiner. Qu’ils pensent aux salariés du FCPE, qui eux ont 5 ans d’obligations de conserver leurs titres. Donc messieurs les obligataires, mettez là en sourdine. Ceux à plaindre ce sont plus les banques qui ont participé au financement quotidien et même si une créance est cessible, ça ne se fait pas comme pour une obligation avec un clic de souris.

Donc 90% voir 95% des obligataires sont acquis à Kretinsky, avec l’offre relevée vu que entre du cash et du capital d’une société qui conserverait 1800M€ de dette, un FCF négatif et aucune garantie de réussite, à part vendre du rêve et un prédateur 20 fois plus petit que la proie, le prédateur a zéro expérience au-delà de 500M€ de CA.

Ce serait à ma connaissance le seul exemple dans toute l’histoire d’Euronext d’un tel différentiel de taille entre le prédateur et sa proie.

 

Si malheureusement Kretinsky ne relevait pas son offre, ça veut dire que probablement Carlyle suspendrait son financement à Layani et voyant que tout le monde se retire, les banques prendraient peur et, on serait dans un scénario à la Quentin Tarentino ou tout le monde meurt à la fin et la société démantelée, d’abord par un redressement judiciaire que je situerais vers le 15 juillet puis une liquidation judiciaire pour les actifs non cédés, essentiellement infrastructures et infogérance ainsi que le cloud qui est très déficitaire.

Non chers lecteurs franchouillards qui rampent devant Layani, on ne confie pas un groupe de cette taille à une toute petite société, c’est le meilleur moyen de se retrouver en conciliation entre 18 mois et deux ans après.

Comment s’organisera le nouveau groupe ?

Un new Atos qui serait rejoint par Managed Secured Services et quelques petites divisions de cyber non souveraine, un périmètre de 500M€

Le Cloud, un périmètre de 400M€

Digital France, environ 400M€

Soit au total un périmètre de 6M€ à 6.5M€ en pleine propriété, bien au-dessus des 3.3Md€ initialement prévus par Mustier (Atos moins TFco moins BDS)

Enfin, le reste du périmètre serait sous forme de joint-venture.

Hypothèse tout à fait cohérente, développée dans la lettre d’intention et en route avec Thyssen Krup Acier où après s’être mis d’ores et déjà d’accord sur une participation de l’ogre tchèque de 20%, un projet de JVT 50/50 est en discussions.

Il semble assez probable, compte tenu des discussions engagées durant 2 mois avec CGI, compte tenu des termes de la lettre d’intention, que Syntel soit vendu à CGI groupe ou à Bain, et que Digital hors Syntel soit apporté à CGI sous forme de Jointe Venture CGI-Eviden ou Atos posséderait 30 % du nouvel ensemble.

Il y a de nombreux exemples de joint-ventures très performantes. SAFRAN-GE dans les réacteurs d’avions 50/50, Thalès Aliena Space dans les Satellites 70/30 et puis bien-sur Airbus qui à la base était une joint-venture avant de devenir un consortium.

Lorsque l’on regarde le portefeuille géographique du Canadien CGI Groupe :

On s’aperçoit que CGI a des points faibles dans des régions où Digital, lui est très présent, tels qu’Allemagne, Belgique-Hollande, Espagne, Pologne, Danemark, etc…

À l’inverse CGI est déjà bien implanté en France.

Donc soit Kretinsky garde Digital France à l’intérieur de New Atos, et hors de France  vent les prestations digitales via la venture, soit si les relations DK/DL se réchauffent, Atos intensifie le partenariat commencé sur Digital et apporte Digital France dans Onepoint qui deviendrait « One Digital » et prendrait 35% de l’ensemble One Digital, Layani descendrait à 50% et les salariés Onepoint à 15%.

Je pense que les stratégies s’affineront fin 2024 en fonction des besoins de cash.

Et niveau cash, CGI a su devenir depuis 10 ans une cash machine. Les salariés qui seraient dans la Joint Venture CGI-Eviden on plus à rêver qu’à craindre :

500M$ de FCF opérationnel TRIMESTRIEL, et 2.1Md$ de FCF annuel. Soit 1.42Md€ de Free Cash Flow opérationnel. Du temps de Thierry Breton, le record de FCF opérationnel a été de 950M€. À vous de choisir salariés de Digital Europe (hors France), si vous voulez être dans un groupe qui a 15% de marge opérationnelle, là où Digital en a actuellement 4, tout en étant encore lié via des liens capitalistiques et appels d’offres communs au groupe Atos. Et pourquoi pas CGI-Atos ? La marque Atos a ramassé depuis 3 ans. La marque Eviden est inconnue, mais elle n’a pas de connotation négative. Il est néanmoins possible que la Joint-Venture ait un nom spécifique qui soit utilisé uniquement en Europe.

Sur un CA CGI groupe de 10 Md€ en 2024, on peut estimer l’Europe à 4.5Md€. Cela ferait de CGI-Eviden un acteur majeur en Europe avec 6Md€ et un des 3 premiers au Royaume-Uni.

Les filiales Européennes opéreraient donc sous l’enseigne CGI-Eviden, et permettraient des synergies avec Atos sur l’infogérance et vice versa.

Voilà comment le blog sent les choses si Kretinsky ne gardait pas la totalité de Digital.

Enfin, nous rappelons que l’ensemble des sociétés de Monsieur Daniel Kretinsky, avant le rachat de Thyssen Krupp branche Acier et avant le rachat de Royal Mail dépensent 2 Md€ par an. On peut donc estimer le nouveau total à 2.2 Md€ par an.  Ce qui une fois les contrats en cours expirés, feraient un CA de 8.5 Md€ à 9 Md€.

Pourquoi ce slogan « La Force Tranquille » que j’ai rajouté sur l’image et que seulement les quinquagénaires avancés ou les seniors se souviendront (voir Google pour les autres).

Parce que c’est cela Kretinsky, du concret, du pragmatisme, du calme, de la sérénité et de la discrétion. Pas de communiqués de presse tous les trois jours ou interviews dans la presse.

Le seul et unique projet entièrement financé. Pas de conglomérats hétéroclites. Un industriel EPEI et un Financier Attestor qui va laisser l’industriel travailler en paix.

Quand au joint-venture potentiel partenaire, CGI groupe c’est une marge Opérationnelle de 17%.

Donc ils ont les reins solides et une expertise exceptionnelle pour redynamiser Digital hors France.

A l’inverse ECONOCOM, ce serait une association de pieds Nickelés, la marge d’ECONOCOM étant inférieure à celle d’ATOS.

 

On aurait un beau quatro, un petit poucet, une ESN looser et à 2 doigts d’être en perte nette, tant sur 2022 que 2023, une société proche du dépot de bilan, ET un tueur de tigres à la retraite nostalgique de son passé (dans la lettre d’intention, il y a marqué que Walter Butler était jusqu’à peu le deuxième actionnaire de Econocom.

Jusqu’à peu, ou en anglais until recently…  Moi, ça ne me viendrait pas de dire jusqu’à peu, j’avais… Le passé, on s’en fou. Ce mec Butler il vit dans le passé apparement. C’est que son présent doit être bien triste…

D’ailleurs le jusqu’à peu… le voici : 

Dans le DEU 2023 (et 2022) pas de trace de Walter BUTLER.

Résumons :

On nous vend un consortium avec un Butler dont le plus grand fait d’arme est d’avoir été jusqu’il y a peu 2è actionnaire (mais trace nulle part) de ECONOCOM qui fait encore moins de MOP que Atos en 2023. 4.3% pour Atos et 4% pour Econocom.

Et en face Onepoint qui n’a jamais publié un seul compte hormis les années 2013 et 2014 avec 5% de MOP, allez ça relève un peu le niveau par rapport à ECONOM.

 

Et enfin le futur P-DG auto-proclamé de One Atos qui nous dit on ne peut plus clairement en octobre 2022 que 50% de l’activité d’ATOS, c’est-à-dire TFCo, IL NE SAIT PAS FAIRE !

 

Et en face, EPH et EPT qui cumulé font 7.3Md€ d’EBIDTA et environ 3Md€ de FCF…

LA FORCE TRANQUILLE…

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Si vous avez subi d’énormes pertes sur Atos, sachez qu’une action en réparation est en cours de constitution sur le site Upra.fr (l’Union Pour la Réparation des Actionnaires), pour recouvrer une partie de vos pertes par voie de justice. Cette action sera totalement gratuite pour les plaignants car nous la ferons financer auprès de fonds spécialisés qui prendront un pourcentage en rémunération et l’UPRA ne vous demandera aucun paiement ni cotisation ou autres. À ce jour, plusieurs fonds ont fait part de marques d’intérêts, mais nous n’avons pas encore de réponse définitive. La réponse dépendra du nombre de personnes pré-inscrits et des comptes audités 2023.

Afin de ne pas déstabiliser la société, cette action ne visera ni Atos, ni ses dirigeants ou ex-dirigeants, mais uniquement ses auditeurs (commissaires aux comptes) en particulier DELOITTE supposé être le n°1 mondial de l’audit, mais que l’UPRA soupçonne avoir été très complaisante vis-à-vis d’Atos avec les règles comptables en vigueur, et leur reproche d’avoir fait manquer une chance aux actionnaires de ne pas acheter l’action quand elle était surcotée vis-à-vis de sa réelle valeur et d’avoir fait manquer une chance d’avoir vendu, quand la société s’effondrait et que la comptabilité ne reflétait pas cet effondrement, en particulier une absence totale de dépréciation d’actifs en 2022.

Je rappelle qu’à la publication d’un jugement qui dirait le contraire, Deloitte est supposé avoir certifié les comptes d’Atos de manière totalement sincère, et l’avis exprimé ci-dessous est l’avis de l’UPRA uniquement et reste à l’état de soupçons tant que nos preuves n’auront été validé par un juge.

Pour des raisons de coûts de procédure, elle est réservée aux personnes ayant subi des pertes supérieures à 10 000€, sinon les coûts judiciaires, avocats, expertises, etc… en millions d’euros seraient supérieurs à la perte et ne seraient pas rentables pour le fonds qui financera ce recours. Soyez assuré qu’il ne s’agit pas de snobisme, mais réellement de contraintes financières.

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