Ou « mensonges jusqu’au bout de la nuit… » Depuis que la présidente de l’AMF s’est déporté du dossier Atos, et Yves Bernaert trop rigoureux dégagé, c’est OPEN BAR chez Atos. Avec un vent de liberté retrouvé comme au bon vieux temps ! La pratique du mensonge est de nouveau redevenue le code éthique chez les hauts dirigeants et tout particulièrement chez Paul Saleh.
Disclaimer : Paul Saleh n’a jamais prononcé cette phrase fiction en titre. Il s’agit d’humour sarcastique vous l’aurez bien évidemment tous compris.
Selon des réseaux sociaux de société où Paul Saleh est passé j’ai eu confirmation qu’il est de type mythomane. Tel Cahuzac qui s’est enlisé jusqu’au bout du bout, avec le fameux discours à l’assemblée nationale « les yeux dans les yeux je vous déclare que je n’ai pas de compte en Suisse, ou pour faire plus américain, Lance Armstrong qui disait « je n’ai jamais eu recours au dopage de toute ma vie »; Paul Saleh continue à mentir et nier éhontément ne pas avoir eu recours à du Reverse Factoring, alors que Yannick Tricaud a dit dans un call enregistré mais qui a dû être détruit avec précaution depuis :
Question d’un salarié : « Comment expliquez-vous le passage de la dette de 2,4 à 3,6 M€ de juin à décembre 2023 ? »
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Le blog affirme avec certitude que les comptes non encore audités (à ce jour, je n’ai vu aucune signature de Deloitte) incluent du Reverse Factoring. Ce sera donc soit un coming out de Paul Saleh, avec la démission immédiate qui devra suivre, soit un procès en diffamation devant les tribunaux avec une demande d’expertise externe à charge du demandeur Atos s’il souhaite m’assigner.
Atos a fraudé les règles de l’ESMA et n’a mentionné ni en 2021 ni en 2022 ni aucune autre année le recours au Reverse Factoring dans son DEU.
Le blog affirme aussi que Atos a fraudé et n’a pas payé un nombre importants de fournisseurs en décembre, sauf aux USA où c’est un délit, pour optimiser son cash et tromper les banques avec des covenants bancaires « ingéniorisés ». Atos a manqué ses covenants bancaires et a simplement ajusté son cash pour que la dette nette soit en adéquation avec les covenants. C’est tout simplement de la fraude comptable. Un document de l’auditeur SYNCEA sera produit plus bas dans l’article.
Atos a eu cette année recours massif au Reverse Factoring et les comptes 2023 incluent 810M€ de dette de Reverse factoring. Bien-sûr si DELOITTE devait confirmer dans le DEU 2023 que Atos n’a pas eu recours à du Reverse Factoring, ce serait du pain bénit et l’action collective en justice de l’UPRA gagnée d’avance et la réputation de DELOITTE tellement mise à mal que nous n’imaginons même pas une seconde Deloitte ne pas mettre un avertissement très visible dans le DEU 2023 qui sortira cette année non pas mi avril mais début mai, que la ligne dette fournisseur inclue du Reverse Factoring pour un montant de 810M€.
Voici ce que Atos a écrit :
Le blog déclare qu’il s’agit tout simplement d’un faux en écriture.
Atos a au bilan 810M€ de Reverse Factoring A MINIMA !
Quand on dissimule 2.5Md€ de survaleurs durant 2 ans, on est plus à ça près… Il est même possible qu’Atos ait fait signer des clauses de silence à tous ses employés en charge du Reverse Factoring pour étouffer l’affaire.
LE REVERSE FACTORING C’EST PRÉCISÉMENT CA ALLONGER LE DÉLAI DE PAIEMENT CLIENT, mais pas par négociation, par l’intermédiaire d’un lender (prêteur) (des banques, filiales de banques ou autres établissements financiers spécialisés en relations clients-fournisseurs), donc via de la dette court terme (120 à 150 jours) et non via de la négociation client fournisseurs comme le laisse entendre le Communiqué de Presse Atos.
Atos informe le client que le Reverse affactureur réalisera le paiement. Le fournisseur livre Atos, le reverse affactureur paie le fournisseur soit immédiatement contre escompte, soit à l’échéance prévue, puis facture Atos 120 jours plus tard et crée donc artificiellement du cash
Yves Bernaert que l’AMF devrait questionner au plus vite pour résoudre ce manquement d’Atos à ses obligations de loyauté et transparence vis à vis de ses actionnaires.
Yves Bernaert souhait régulariser le Reverse Factoring et le transférer des dettes fournisseurs aux dettes financières court terme.
« Yves and Paul want to be transparent with this ». Apparemment surtout Yves…
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Mail de Lucien, salarié d’Atos :
Il voulait dire « Meunier » et pas « Mustier » mais c’est vrai que les M&M’s on les confond souvent… Moi le premier.
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Il existe de multiples preuves de l’utilisation du Reverse Factoring. Dans le DEU 2022, Atos déclare un encours fournisseurs de 86 jours. Or Atos a 4700M€ d’achats et 2100M€ de dettes fournisseurs. 2100M€ ne représente absolument pas 86 jours, mais 160 jours d’encours. Un tel encours ne peut être obtenu que via une utilisation MASSIVE du Reverse factoring.
Un cadre de la DAF nous a dit « Le Reverse factoring, avec Thierry, on en faisait, mais c’était très encadré. Meunier est parti dans une dérive. »
Le tout récent passage de 2423M€ de cash à 1100M€ de cash en 2 mois, du 01/01/2024 au 29/02/2029, déclaration de Paul Saleh au Figaro que nous avons « double checké » avec le journaliste du Figaro pour éviter toute négation d’Atos. Ce dernier nous a bien confirmé le montant de 1100M€ de cash prononcé par Paul Saleh avec de vagues excuses que ça avait pas été audité, comme si le solde d’un compte en banque avait besoin d’être audité. Pire débilité que j’ai entendu d’un DFA avec des médailles d’or du concours agricole des DAF de télécommunications.
Seul le débouclage du Reverse Factoring, [comprendre l’arrêt soudain du Reverse Factoring] après le 3 janvier peut expliquer un tel brulage de cash. A savoir qu’Atos a du payer les 810M€ (minimum c’est surement bien plus) de Reverse Factoring en plus des factures fournisseurs usuels.
Tout le blabla de la conférence call sur le BFR pour tromper l’ennemi c’est de l’enculage de mouches à grande échelle, c’est masquer de l’ingénierie financière qui s’écroule telle une pyramide de Ponzi, c’est masquer 3 ans de fonctionnement MAFIEUX de la gouvernance d’ATOS et d’un Bertrand Meunier qui devrait aller en taule.
ATOS EST EN CESSATION DE PAIEMENT, CAR SES FACTURES DUES SONT BIEN SUPÉRIEURES A SON CASH ET N’A PLUS QUE 40 JOURS POUR ALLER EN SAUVEGARDE, car il ne faut pas avoir été en cessation de paiement depuis plus de 45 jours pour demander une sauvegarde. C’EST SURTOUT CA QU’ESSAIE DE MASQUER PAUL SALEH EN S’ENLISANT DE MENSONGES EN MENSONGES PLUS GROS LES UNS QUE LES AUTRES. On saluera quand même son coming out sur le cash au 29 février à 1100M€.
On va pas me faire croire que Monsieur le Ministre de l’Economie et des finances n’aurait pas pondu un communiqué en urgence si Atos n’était pas en cessation de paiements. Même pour Orpéa et Casino il ne l’a pas fait.
C’est pour cela que l’état va intervenir pour injecter un tout petit peu de cash, pour sortir Atos de l’état de cessation de paiement. C’est le résultat aussi de l’échec des politiques, d’un premier ministre incapable de faire venir des masques de Chine en plein Covid et qui se les fait piquer sur le tarmac des aéroports par les ricains qui les ont payés plus cher, et qui n’est pas capable en 3 ans de voir qu’Atos était en train d’aller à la faillite. Ou alors, il préparait ses discours à la mairie du Havre durant les séances du board en visio. Car il allait quand même pas faire 3 heures de déplacement pour un conseil d’administration. Donc 100% de distanciel pour Monsieur Philippe et 100% de peau de sauss devant les yeux durant 3 ans. Collette Neuville de l’ADAM présente 10 ans au board est autant complice qu’Edouard Philippe.
L’écroulement d’Atos c’est aussi ça. Un système MAFIEUX depuis 3 ans qui perdure avec Paul Saleh. Quant à JP, il est caché sur son bateau aux iles vierges Britanniques à J-3 de sa régate et est bien content de laisser Paul se démerder avec ses mensonges.
Je rappelle à titre isolé 5% des mensonges 2023 :
Il n’y aura pas d’AK (AG2023)
Il n’y aura cession de TFCo que si création de valeur (AG2023)
Je peux vous dire que votre board a déjà reçu deux offres pour TFCo et les a refusé car non créatrices de valeur. FAUX : Zéro offre reçues à part celle de Kretinsky.
Communiqué du 3 juillet : le cession d’EcoAct met fin en avance au plan de cession annoncé en juin 2022. Puis 25 jours plus tard nouveau plan de cession de 400M€.
TFco est cédée pour une valeur d’entreprise de 2Md€. Puis après passage de l’AMF, cette mention a disparu dans le communiqué du 16 octobre.
La vente à EPEI va générer un flux positif de 100M€. Puis le 16/10 : TFco est cédée pour 1€ symbolique.
etc… Il me faudrait une semaine entière pour lister tous les mensonges d’Atos juste sur 2023. Le pire c’est que les PP continuent à croire tous ces bobards.
Le pire c’est que sur son site dans la rubrique new. Atos accuse un blog similaire dont nous n’avons jamais trouvé trace, le blog atos.bourse.blog de dire des mensonges grossiers sur Atos.
Récemment le blog a dit dans un article avoir une certitude de 100% que le cash au 29/02 était au minimum de 50% inférieur au cash du 31/12. 24h après Paul Saleh confirmait dans le Figaro, face à un journaliste malicieux que nous félicitons, Lucas Mediavilla qui certainement n’a pas voulu lâcher le morceau, et a fait cracher le chiffre à Paul Saleh, que la trésorerie au 29/02 est de 1100M€, et celle au 31 mars après salaires, sera de 500 à 600M€ environ. Donc c’est Paul Saleh lui-même qui donne raison au blog. Mais la dir comm va surement nous faire un communiqué que Paul Saleh s’est trompé ou que le journaliste n’a pas bien compris…
Messieurs et Mesdames de la dir comm, Kretinsky ou CGI va tous vous mettre dehors, alors faites vous oublier pour une fois !!!
PARTIE 2 : FRAUDE AUX COVENANTS BANCAIRE
Le cabinet d’audit indépendant SYNCEA a calculé le delta qu’il aurait fallu pour ne pas respecter les covenants bancaires :
On voit donc dans le rapport SYNCEA qu’avec seulement 275M€ de moins dans les caisses, ATOS n’aurait pas respecté ses covenants bancaires et serait passé en CCC- ou CC de la part de S&P Ratings.
Donc Atos n’a simplement pas payés ses fournisseurs en décembre pour augmenter son cash de 275M€. En ayant payé ses fournisseurs aux délais convenus, les covenants bancaires ne sont pas respectés, Atos a donc utilisé des méthodes frauduleuses. Tout est dit, il n’y a rien à rajouter. Relisez l’article Atos stole the vendors avec le témoignage d’un top 30 head manager d’Atos.
Gouvernance de mafieux, et compta de voyous. On va voir si Deloitte cautionne tout ça. S’il cautionne, encore une fois ce sera gagné d’avance pour l’UPRA.
Conclusions tous les financiers dehors et place au repreneur, à des industriels qui savent comment fonctionne une société. La taule pour Meunier et l’extradition pour Saleh ! Grand nettoyage de printemps !
On notera cependant que le cabinet SYNCEA a lu un peu vite les DEU. La dette nette de -467M€ en 2020 est en prenant pour acquis que les détenteurs d’obligations convertibles en actions Worldline exerceront tous la conversion et qu’il n’y aura pas de débours. En gros les 475M€ enlèvent les 500M€ d’emprunt obligataire. La suite, on la connait, Worldline s’est écroulée, aucun porteur obligataire ne demandera la conversion, donc la dette nette de SYNCEA en 2020 est fausse elle est de 975M€. C’est d’ailleurs le truc le plus folklorfique que j’ai jamais vu et y’a que chez Atos que un truc de dingue comme ça peut arriver, amputer une dette nette de 500M€ sous spéculation que 5 ans après elle sera convertie en action. Que DELOITTE ait validé une telle présentation des choses donne de grandes chances à l’UPRA dans son recours, lire ci-dessous en fin d’article, qui sera pour ne pas affaiblir la société, uniquement conte DELOITTE et pas contre ATOS. Car quand on est le n°1 mondial de l’AUDIT c’est IMPARDONNABLE de cautionner des conneries pareilles, de la comptabilité de fête foraine ! Ils doivent même pas s’en souvenir. Ce graphique leur fera du travail pour le week-end.
Note : OEB = Option Embeded Bond ou en français obligation convertible en actions (ici en action Worldline avec conversion sur la base de 53€ par action Worldline). En résumé si à ce jour l’action Worldline valait 60€, il était plus intéressant pour les porteurs d’être payés en action Wordline et comme à la date du slide, 1er mars 2020, comme l’action cotait 60€ personne ne s’était imaginé ni chez Atos, ni chez Deloitte qu’en novembre 2024 l’action Worldline pourrait valoir 9.50€. Et comme Worldline c’est de la construction mécano 100% Thierry Breton avec le même aggloméra d’acquisitions non intégrées, allez savoir ce qui va arriver à Worldline dans un an… Je peux juste vous donner un indice. La VAD monte sur Wordline…
Voilà le dette la seule, l’unique et la vrai, la voici :
La dette nette n’a qu’une seule et unique utilité, calculer les convenants bancaires. Car le cash vous l’aurez compris article après article est manipulé par des artiste type Breton ou Meunier bien plus que Xi ou Poutine ne manipulent leur population. Prendre comme indicateur la dette nette avec dette nette = Dette – cash est un indicateur purement virtuel qui dépend entièrement de la sincèrité du cash et vous aurez compris qu’on manipule le cash comme on veut chez Atos…
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Si vous avez subi d’énormes pertes sur Atos, sachez qu’une action en réparation est en cours de constitution sur le site Upra.fr (l’Union Pour la Réparation des Actionnaires), pour recouvrer une partie de vos pertes par voie de justice. Cette action sera totalement gratuite pour les plaignants car nous la ferons financer auprès de fonds spécialisés qui prendront un pourcentage en rémunération et l’UPRA ne vous demandera aucun paiement ni cotisation ou autres. À ce jour, plusieurs fonds ont fait part de marques d’intérêts, mais nous n’avons pas encore de réponse définitive. La réponse dépendra du nombre de personnes pré-inscrits et des comptes audités 2023.
Afin de ne pas déstabiliser la société, cette action ne visera ni Atos, ni ses dirigeants ou ex-dirigeants, mais uniquement ses auditeurs (commissaires aux comptes) en particulier DELOITTE supposé être le n°1 mondial de l’audit, mais que l’UPRA soupçonne avoir été très complaisante vis-à-vis d’Atos avec les règles comptables en vigueur, et leur reproche d’avoir fait manquer une chance aux actionnaires de ne pas acheter l’action quand elle était surcotée vis-à-vis de sa réelle valeur et d’avoir fait manquer une chance d’avoir vendu, quand la société s’effondrait et que la comptabilité ne reflétait pas cet effondrement, en particulier une absence totale de dépréciation d’actifs en 2022.
Je rappelle qu’à la publication d’un jugement qui dirait le contraire, Deloitte est supposé avoir certifié les comptes d’Atos de manière totalement sincère, et l’avis exprimé ci-dessous est l’avis de l’UPRA uniquement et reste à l’état de soupçons tant que nos preuves n’auront été validé par un juge.
Pour des raisons de coûts de procédure, elle est réservée aux personnes ayant subi des pertes supérieures à 10 000€, sinon les coûts judiciaires, avocats, expertises, etc… en millions d’euros seraient supérieurs à la perte et ne seraient pas rentables pour le fonds qui financera ce recours. Soyez assuré qu’il ne s’agit pas de snobisme, mais réellement de contraintes financières.
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