Pour ceux qui ont déjà lu la partie 1, j’ai essentiellement rajouté en image, la page du site Casino concernant leur procédure de conciliation pour que vous voyiez ce que c’est qu’une communication normale sur une conciliation. Bon, je sais Naouri le fondateur de Casino a eu le bac à 15 ans et Mustier à 18 ans. Mais Mustier a fait polytechnique quand même… Je sais il n’a pas vu des appels de marge de la FIMAT de 3Md€ avec le n°SF581 correspondant au compte de Jérome Kerviel, mais il a fait polytechnique quand même…
On y voit que Casino a régulièrement mis à jour en téléchargement durant les 5 mois de la conciliation toutes les pièces du dossier avec une mise à jour environ tous les 8/10 jours avec pas moins de 33 pièces à télécharger et des synthèses visuelles en mode PowerPoint entre les différentes offres qu’Atos ne s’est jamais bougé le cul de faire. Par contre quand il faut nous vendre du rêve, il pleut des PowerPoint McKinsey/Dircom Atos.
Casino, eux, ils font des PowerPoint (voir ci-dessous) même quand ça va mal.
Chez Atos, on considère déjà que les PP ne font plus partie de la société… À eux de se démerder de lire 2 offres de 40 pages…
Pour que vous ne pensiez pas que je fasse de la critique gratuite, il m’apparaissait important que vous puissiez comparer une conciliation bien faite à la Naouri et une conciliation à la JP&P.
Ça serait si compliqué que ça dans la rubrique INVESTISSEURS de faire une sous-rubrique CONCILIATION vu que en principe y’en a qu’une dans une vie.
Là ça vient dans des points Marché u milieu des annonces de Microsoft Azure ou de Cyber Quantique, la moitié des informations manquent dans l’offre finale et en plus, on a choisi une offre puis on dit qu’on va la renégocier entièrement. Pour l’instant, niveau négo, silence radio.
Lors d’un call ce lundi avec la DG France, une commerciale a posé la question si on pouvait dire aux clients que tout serait réglé au 15 Juillet. Réponse embarrassée du DG France « je ne peux pas répondre par l’affirmative, désolé ».
Plus ça va plus, je comprends pourquoi Atos en est arrivé là avec une telle gouvernance et une telle dircom.
DÉTAIL ET TRANSPARENCE, on peut juste vous demander ça ??? Vous avez lessivé les PP vous pourriez avoir un peu de respect.
Et SVP mettez nous cette putain de dernière offre des créanciers en ligne avec des pages numérotés de 1 à 41 !!
Accéder directement à la page.
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La suite, y’a rien de changé avec la première version.
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Décidément le blog n’en revient toujours pas. 6 jours après le choix de l’offre des créanciers leur lettre définitive d’intention n’a toujours pas été mise en ligne, alors que celle de Daniel Kretinsky, qui n’a pas été retenue, elle, a été mise en ligne.
Je rappelle que l’offre qui a été mise à disposition des actionnaires est une offre « batarde » dans le sens ou c’est une offre « fusion », faite dans l’urgence dans la journée du dimanche 2 juin, avec un courrier daté du 2 juin des créanciers en consortium avec SPV et de deux autres lettres à entête Onepoint qui résume les conditions financières accordées aux créanciers et qui, si elles ont été jointes on se doute qu’elle représentait bel et bien la volonté des créanciers.
Puis ce courriel bâtard a été envoyé à Atos qui l’a imprimé sur une imprimante Xerox à 2h30 du matin dans la nuit de samedi à dimanche et l’a mise en ligne tôt le matin.
La décision était reportée au jeudi 6, on pensait que les créanciers feraient cette fois-ci un courrier unique avec des pages numérotées de 1 à 40 et non un gloubi-boulga (si Paul me lit, faites vous expliquer par un français ce qu’est un gloubi-boulga).
D’autre part, sur ce document bâtard daté du 2 juin, mais dont la partie résumant les conditions financières est datée du 31 mai, figure en blanc les conditions de refinancement du pool bancaire, dont on se doute qu’elles seront aussi élevées voir plus que le pool obligataire car leurs échéances étaient très proches et là elle repartent avec 5 ans, contrairement à certains obligataires dont les souches avaient encore 5 ans à courrier (2028 et 2029).
Il était donc impératif d’avoir un document global où la page 4/41 dans l’offre actuelle,
ne soit pas à en-tête Onepoint, mais avec la même en-tête que la page 1, c’est-à-dire « Les créanciers avec Onepoint en Anchor Investor » comme ça l’est expliqué en page 1/2/3, MAIS SURTOUT que la page 4 soit la suite de la page 3 et non une nouvelle lettre qui repart de zéro… greffée à l’arrache sans réelle continuité avec la page 1/2/3 et des dates différentes.
Comme les taux sont usuriers, ça arrange la dircom qui se comporte comme un voyou pour tromper à dessein les actionnaires et protagonistes de la conciliation, de ne pas mettre en téléchargement la dernière offre des créanciers et faire du grand n’importe quoi et en mettant en téléchargement la dernière version à jour de l’offre PAS RETENUE, et de ne pas mettre en téléchargement l’offre retenue actualisée.
Le blog exclu totalement avec une probabilité de zéro, le fait que le consortium n’ait pas sorti, après avoir dormi quelques heures dans la nuit de dimanche à lundi, une offre révisée, propre, synthétique en un seul document avec des pages numéroté de 1 à 41, car dans l’offre en ligne du 31 mai/2 juin, il y a 41 pages mais aucune ne va au-delà du numéro de page n°20, donc il ne s’agit pas d’une offre globale, mais d’un agglomérat fait rapidement à 2h du matin.
Je rappelle que le coût de la dette des créanciers est énorme. Il était donc capital, avant de choisir, que tous les chiffres soient précisés.
Or il semblerait que chez les pieds nickelés Atos ont tire d’abord et on discute ensuite… On alors c’est qu’on pratique l’omerta. Donc soit trous du cul, soit voyous.
Je rappelle ci-après le coût de la dette ancienne, certes élevée et à maturité proche et en tableau 2 le cout de la dette nouvelle légèrement moins élevée de 1500M€ et à maturité plus éloignée, mais qui coutera pratiquement 400M€ par an, soit 4 points de MOP, donc si Atos améliore sa MOP de 2.5%, ça revient au même que avec l’ancienne dette. Donc pour améliorer 1 point de MOP, il faut en fait améliorer 3.5 points de MOP avec le coût supérieur de la dette usurière.
TABLEAU 2 – NOUVELLE DETTE
Il s’agit de chiffres pris dans la lettre d’intention des pages (du PDF) 27 à page 31.
La nouvelle dette est de 3362M€ là où Mustier avait fixé un objectif à 1600M€… et les taux à 11.78% contre 3%. No comments.
Ou si plutôt un gros commentaire.
Il s’agit d’une violente manipulation dans le but de tromper tout son monde de la part de la dircom avec la complicité de Mustier et de Ponce-Pilate-Bourbouloux (avec son sondage anonyme à 2 balles) en faisant croire que ces conditions sont négociables. Je cite le point de marché du 14 juin :
- Les porteurs d’obligations émises par Atos venant à maturité en 2024, 2025, 2026, 2028 et 2029 (les « Obligations»), se verraient offrir la possibilité de participer à ces Nouveaux Financements Sécurisés uniquement sous la forme d’un ou plusieurs emprunts obligataires d’Atos pour un montant total de 750 millions d’euros, et sous réserve de réaliser le prorata de leur participation au Financement Fonds Propres, les principaux termes et modalités de ces financements restant également à définir ;
Ca veut dire que celui qui aurait remporté le marché, accepterait de revenir en arrière. On marche sur la tête.
On est bien d’accord que c’est une offre de 8 obligataires en consortium avec SPV avec Onepoint comme Anchor Investor. Là tout le monde est d’accord je pense.
Pour Kretinsky on lui a fait comprendre qu’il fallait qu’il améliore son offre, et à deux reprises même.
Pour le candidat retenu, vous me direz si je me trompe, mais avez-vous lu et entendu quelque part qu’il fallait qu’ils améliorent leur offre et passent par exemple, les taux d’intérêts de 13% à 7%, puisque Kretinsky, lui dans son offre parlait de taux privilégiés ce qui sans trop faire de brainstorming veut dire entre 4.5 et 5.5%.
Donc si tous les pieds nickelés à la tête d’Atos n’étaient pas d’accord avec les taux. Si la Madone n’était pas d’accord non plus, et quand elle est pas d’accord en principe, elle elle nous a montré ces dernière semaines « qu’elle hurle à la mort ».
Quant à JP, il a les phalanges pétées tellement il a tapé les poings sur la table. Donc quand il est pas d’accord il sait le dire.
Rien que pas plus tard que vendredi, il tirait une tronche avec le minuscule chèque de 700M€ de l’état en écrivant : « rien ne dit à ce stade que l’offre sera acceptée ». Ça en langage Meunier/Mustier, ça veut dire « je suis furax ». Ca avait été pareil quand Airbus proposait que 1Md€ pour 30% d’Eviden. Meunier avait pris sa crise avec un communiqué lapidaire.
Résumons. Personne ne s’aperçoit des taux usuriers. Tout le monde côté créanciers se paluche, surement surpris.
Le blog s’en aperçoit et en parle.
Les Echos et Capital, soit ont lu le blog, soit s’en sont aperçu aussi.
Et là soudainement, comme par l’opération du Saint-Esprit Atos nous fait du : « rien n’est gravé dans le marbre, c’est le but des négociations à avenir de parvenir à un consensus ».
NON PUTAIN !
BANDE DE BRANQUIGNOLES. SI VOUS N’ÉTIEZ PAS D’ACCORD VOUS DEMANDIEZ UNE AMÉLIORATION DE L’OFFRE AVANT DE LA CHOISIR.
LA VOUS AVEZ JUSTE VOULU NOUS LA FAIRE A L’ENVERS ! ET, JE RAJOUTE TOUS ET TOUTES !
ET UNE FOIS DE PLUS VOUS NOUS PRENEZ POUR DES CONS.
L’AUTRE GROS PROBLÈME !!
Pour l’instant, ce qui a été fait, ce sont juste des élucubrations où Onepoint passe de 250M€ à 75M€ d’injection de capitaux propres. Interview Les Echos.
Maintenant il va falloir transformer tout ce bordel en conciliation. Or dans les banques, en plus de la BNP, y’en a plein qui ne font pas confiance au consortium créanciers/Onepoint.
Selon une source, il y avait hors BCE (10% de la dette) 45% pro Layani et 55% pro Kretinsky. Mais seulement 25% des créanciers dans les pro Kretinsky auraient dit ne pas voter Layani si Layani passait et 35% des pro Layani aurait dit voter contre Kretinsky si Kretinsky était choisi. Donc en faisant ce vote, le but de Bourbouloux était de créer une minorité de blocage en faveur d’un camp, alors que selon une source qui souhaite rester anonyme, Kretinsky avait plus de créanciers derrière lui.
Au début, j’ai trouvé ça une bonne idée, ce vote, je le confesse honnêtement. Je me disait que les obligataires qui bluffaient n’oseraient pas bluffer jusque dans l’urne. Mais comme la Madone a rendu possible l’anonymat, finalement ça a été une grosse perche tendue au bluff.
Je prends un exemple stupide d’actualité. Vous êtes un gentil bobo parisien, bien élevé et non violent. Vous allez voter Renaissance ou NUPES. Et au dos du bulletin, il y a une case avec écrit : « si le RN est élu, irez vous manifester dans les rues et casser des vitrines. » Vous n’allez pas le faire, mais d’un autre côté, on vous explique que si 35% cochent la case « j’irai casser des vitrines, le RN sera disqualifié. Vous pensez au bon Dieu qui vous regarde, vous vous dites que c’est « un pieu mensonge » et vous cochez la case « j’irais casser les vitrines » alors que vous ne le ferez pas. Le RN passe, mais il y a 35% de minorité de blocage qui a coché la case, donc il est éliminé et on met la NUPES à la place.
C’est un peu trivial, mais vous avez compris l’idée.
Bourbouloux a fait un petit plan sympa à « Ponce-pilate » style « avec Kretinsky ça aurait été le chaos ».
D’autre part, chers lecteurs, j’ai besoin de votre aide.
Pour l’instant, je n’ai que des indices. Mais je soupçonne Hélène Bourbouloux d’être très ami avec Walter Butler, ce qui normalement aurait du l’amener à se dessaisir. Je ferais un article à cet effet. Mais je vous invite à m’écrire à ce sujet admin@bourse.blog . Je sais deux choses à ce stade. C’est que dans le passé Hélène Bourbouloux a déjà attribué plusieurs plans de reprises à Walter Butler et que dans un article un poil people à son sujet dans Challenges en 2018, Hélène Bourbouloux est citée 2 fois et on m’a expliqué à Challenges que dans la rubrique de fin d’article « ce qu’ils disent de lui », l’interviewé était invité à donner une dizaine de noms contacts pro. Et Donc Walter Butler a donné le nom d’Hélène Bourbouloux. Vous imaginez aisément que s’il a donné son nom, c’est qu’il était CERTAIN, qu’elle allait dire du bien de lui. Donc s’il était certain, c’est que leurs rapports sont TRÈS BONS.
En plus, normalement un officier judiciaire à un devoir de réserve et ne pas parler de ses clients publiquement.
Ils se sont aussi croisés dans des pique-niques à l’Elysée (2023), fait des conférences ensemble (2017, 2018) « Retournement des entreprises ». https://www.lesechosleparisien-evenements.com/evenements/retournement-des-entreprises-2018/
J’insiste sur le fait qu’à ce stade la seule chose que l’on peut dire c’est que ces deux personnes se connaissent très bien, personne ne peut nier ça, mais qu’il n’y a, pour l’instant, aucune preuve de relations amicales.
Mais avouez que quand dans le Figaro le 25 mars, David Layani présente son plan pour sauver Atos pas le moindre mot à propos de Butler Capital.
Puis soudainement, Hélène Bourbouloux est nommée conciliatrice le 26 mars et le 7 avril apparait dans Les Echos, et en fanfare Walter Butler. Un peu comme si quelqu’un avait dit à Layani « je vais te présenter Butler, il connait très bien Bourbouloux et elle l’a à la bonne… ».
Son plan » Symphonie » il date du printemps 2023 donc il y a un an. Et Butler, il arrive dans le temps additionnel au moment où Hélène Bourbouloux est choisie… C’est un poil louche non, pour quelqu’un qui prépare le truc depuis un an ?
Vous avez tous en mémoire l’arbitrage Tapie, où l’arbitre Estoup avait oublié de dire qu’il connaissait l’arbitre choisi par Tapie.
Par exemple, dans le dossier Casino, Hélène Bourbouloux avait été conciliatrice du dossier Rallye où les créanciers avaient l’impossibilité de récupérer leur argent et n’ont bizarrement pas fait jouer leur nantissement, donc victoire totale pour Naouri. Donc pour la conciliation Casino, le tribunal a considéré qu’elle était en conflit d’intérêt puisque ayant pris une décision en faveur de Naouri. Donc les conflits d’intérêt ça existe, je les invente pas.
Merci d’avance de m’aider dans ces recherches.
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AUTRE PROBLÈME :
Les soutiens de Layani sont quasiment tous des obligataires.
Beaucoup de banques ne croient pas au projet et veulent se retirer. Que proposent les créanciers pour ceux-là qui veulent tourner la page et sortir ?
80% d’écrasement de la dette et paiement dans 8 ans. Là où Kretinsky proposait seulement 78% d’écrasement et pairement de 50% cash et 50% à deux ans.
Vous imaginez la BNP et consorts accepter 80% d’écrasement et d’être remboursé dans 8 ans, soit le temps de faire 8 fois faillite…
IMPOSSIBLE !!
Si la BNP signe ça, je me les mange.
Le maximum que peuvent accepter les banques c’est un an de plus que 2025, soit 2 ans post closing et 30%. Et là ça va tout changer pour les obligataires. Car ça va faire de la dette en plus !
Vous allez voir que cette conciliation est très très loin d’être signée, surtout si la dircom d’Atos se comporte en voyou et prend tout le monde pour des cons en faisant croire que tout est à négocier alors que le processus normal était de demander le 3 juin l’amélioration de l’offre.
De plus, je rappelle le titre de l’article. ATOS a en main une dernière version, car s’ils n’ont pas demandé une version propre entre le 2 juin à 2h30 du matin et le 10 juin, là, il faut s’inquiéter beaucoup pour les 6 mois de sauvegarde accélérée à venir, ça veut dire qu’ils sont juste bons à gérer une PME de 20 personnes. Donc, ils ont une dernière version et ILS NOUS LA CACHENT !!
Donc pour l’instant que je n’ai que des suspicions et aucune preuve, donc c’est juste un avis perso, mais je pense que cette conciliation, ça a été magouilles à gogo comme jamais.
Ou, dernière hypothèse, comme ça s’est déroulé en parallèle des élections européennes, Kholer a pris peur que ce soit utilisé comme argument de campagne par ses adversaires et a donné des instructions autoritaires de dernière minute. La 5è république reste et restera un régime présidentiel.
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Si vous avez subi d’énormes pertes sur Atos, sachez qu’une action en réparation est en cours de constitution sur le site Upra.fr (l’Union Pour la Réparation des Actionnaires), pour recouvrer une partie de vos pertes par voie de justice. Cette action sera totalement gratuite pour les plaignants car nous la ferons financer auprès de fonds spécialisés qui prendront un pourcentage en rémunération et l’UPRA ne vous demandera aucun paiement ni cotisation ou autres. À ce jour, plusieurs fonds ont fait part de marques d’intérêts, mais nous n’avons pas encore de réponse définitive. La réponse dépendra du nombre de personnes pré-inscrits et des comptes audités 2023.
Afin de ne pas déstabiliser la société, cette action ne visera ni Atos, ni ses dirigeants ou ex-dirigeants, mais uniquement ses auditeurs (commissaires aux comptes) en particulier DELOITTE supposé être le n°1 mondial de l’audit, mais que l’UPRA soupçonne avoir été très complaisante vis-à-vis d’Atos avec les règles comptables en vigueur, et leur reproche d’avoir fait manquer une chance aux actionnaires de ne pas acheter l’action quand elle était surcotée vis-à-vis de sa réelle valeur et d’avoir fait manquer une chance d’avoir vendu, quand la société s’effondrait et que la comptabilité ne reflétait pas cet effondrement, en particulier une absence totale de dépréciation d’actifs en 2022.
Je rappelle qu’à la publication d’un jugement qui dirait le contraire, Deloitte est supposé avoir certifié les comptes d’Atos de manière totalement sincère, et l’avis exprimé ci-dessous est l’avis de l’UPRA uniquement et reste à l’état de soupçons tant que nos preuves n’auront été validées par un juge.
Pour des raisons de coûts de procédure, elle est réservée aux personnes ayant subi des pertes supérieures à 15 000€ minimum, sinon les coûts judiciaires, avocats, expertises, etc… en millions d’euros seraient supérieurs à la perte et ne seraient pas rentables pour le fonds qui financera ce recours. Soyez assuré qu’il ne s’agit pas de snobisme, mais réellement de contraintes financières.