Dans notre précédent article, nous expliquions que dans notre retracement de la traversée de l’Atlantique jusqu’à la mer des caraibles par Jean-Pierre Mustier durant les réunions de la dernière chance dont tout le monde a compris qu’elles n’ont jamais été prévues, que c’était un leurre pour les banques, nous avons imaginé un retour de JP à Paris vers le 5 février, soit un mois tout rond après son départ.
Meunier avait une propension inégalée à prendre les gens pour des cons. Même si cette réunion de la dernière chance, personne n’a jamais vraiment cru en son succès, personne n’aurait jamais été juste à croire qu’elle était fictive et qu’il n’avait jamais été envisagée une seule seconde qu’elle ait lieu.
C’était juste une fausse réunion organisée par la dir comm d’Atos, qui après avoir été titillée durant quelques mois par l’AMF, depuis que Mme Barba-Layani s’est déportée du dossier, savoure une liberté retrouvée et a repris ses mauvaises habitudes de mentir dans chaque communiqué, y compris dans le communiqué où elle déclare avoir saisi le PNF conte le blog bourse Atos. Blog qui n’existe pas bien sûr puisque notre URL n’est pas celle du communiqué d’Atos, à savoir atos.blog.bourse, mais notre URL à nous est atos.bourse.blog, mensonges jusqu’au bout des dents en utilisant une fausse URL… pour décrédibiliser le blog qui n’a jamais été aussi populaire que depuis ce communiqué.
Je remercie d’ailleurs chaleureusement tous ceux qui ont participé à la Tirelire, et remboursé d’ores et déjà 50% des frais 2023 du blog et m’ayant permis d’ores et déjà de migrer sur un serveur plus approprié en termes de taille de stockage (chaque photo est enregistré sous 4 tailles) et de pics de lectures lorsque plusieurs membres sont connectés en même temps.
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Pour revenir au retour de JP en France, nous l’avions estimé au 5 février, mais tout en précisant qu’aucun de nos contacts n’avait vu Mustier à Paris et que nous n’étions pas 100% certains qu’il était effectivement rentré en France.
Selon les informations de nos contacts, non seulement Mustier n’est pas rentré à Paris, cela fait donc 2 mois et 13 jours qu’il est absent et se soucie moyennement de son entreprise, car si le télétravail a montré son efficacité durant le Covid, en période de crise, voire de possible faillite, ça ne le fait pas, ne serait-ce que pour la symbolique.
Sur cette image du logiciel interne de messagerie Atos, il semble que JP soit connecté avec 8 heures de décalage, ce qui correspondrait à la partie Ouest des USA, en tout cas pas la France.
Enfin peu importe. « 16h – 1h » comme tranche de disponibilité, c’est pas des horaires de Paris…
Non seulement Mustier ne semble pas rentré des Antilles, ou du continent américain, mais il s’apprête à remettre ça dans 10 jours avec le fameux Soralis 55 « TEAM 42 » pour participer dans 10 jours à des régates dans les iles vierges Britanniques. Décidément Atos n’est apparemment pas le premier de ses soucis ou il s’est déjà fait à l’idée qu’il fallait d’abord avoir l’accord d’Airbus pour enlever les parties souveraines et que cet accord ne serait pas signé avant début Avril, ce qui lui laissait largement le temps de participer aux régates des iles vierges et que si Airbus ne donnait pas son accord, on entrerait immédiatement en sauvegarde et qu’il n’aurait plus trop son mot à dire, ce seraient les administrateurs judiciaires qui deviendraient les nouveaux leaders d’Atos.
Donc le principal souci actuel de JP, c’est de participer à la régate ci-dessous dans les Iles Vierges Britanniques, surtout connues pour être un paradis fiscal. Peut-être est-il allé dire bonjour à son banquier par la même occasion 😀
Si JP veut m’envoyer un démenti avec preuves à l’appui, il est bienvenu : admin@bourse.blog et sera immédiatement publié.
Attention, nous n’avons pas dit que JP ne travaillait pas. Loin de nous cette idée. C’est un hyper-actif. Et il y a dans ces iles de milliardaires tous les outils de visio-conférence et internet à haut débit.
Simplement on est dans le symbolique face à 105 000 employés. Quand le bateau coule et qu’il fait 10 degrés à Paris on ne boit pas des cocktails sur la plage, on sauve le navire et on discute avec Hélène Bourbouloux face à face et pas en visio.
Quant à L’UDAAC, Hervé Lecesne et Christian Nicol ont fumé du LSD et apportent leur plein soutient à Atos.
À la dernière Visio de L’Udaac à laquelle j’ai assisté et enregistré pour avoir des preuves des nombreux délits commis, désinformations massives, incitation à se renforcer aux cours actuels, affirmations gratuites qu’Atos vaut 10€, que la baisse n’est due QUE à la VAD, … pour ceux qui avaient besoins de preuves que l’UDAAC est infiltrée par Atos ou ses conseils il suffit désormais de lire leur communiqué, ils ne s’en cachent même plus :
L’UDAAC ne demande rien d’autre qu’un truc jamais vu dans l’histoire du capitalisme moderne, la suspension de l’action Atos, alors que même durant la pire phase du Covid la bourse n’a pas été fermée. Ils sont devenus fous à lier à l’Udaac.
Et ceux qui sont entrés à hauteur de 100 000€ à 2.50€ pour faire du trading et qui ont besoins de l’argent pour un investissement. Hervé Lecesne à l’EPHAD direct ! Et Christian Nicol à l’asile ! J’ai déjà vu des boursicoteurs du dimanche dérangés, mais à ce point…
Au fait, hormis les membres du bureau, il y avait 28 participants à la dernière visioconférence de l’UDAAC et le chiffre du compteur est truqué. Après discussions avec Mohamed Farhat l’ex-secrétaire de l’Udaac, celui estime le nombre de membres qui ont encore des actions Atos entre 90 et 110.
Mais surtout, L’UDAAC est en banqueroute après son procès perdu. En effet, l’UDAAC a ruiné ses membres puisqu’il a été condamné à un très gros article 700. Hervé Lecesne va-t-il passer à la caisse pour garder l’assoc en vie ou va-t-il sucer JP pour que celui-ci ne réclame pas la somme ?
Nous avons demandé à un cabinet d’avocat de demander copie du délibéré et nous le mettrons en ligne, mais Atos avait demandé 20 000€ d’article 700 et le board 50 000€. A priori le juge des référés aurait fait sienne les requêtes du cabinet Darrois. Donc l’UDAAC est virtuellement en faillite en plus de nager en plein délire de collaboration et d’hallucinations suite à l’abus de substances non vendues en pharmacie.
Quant au second et actuel conseil de l’UDAAC, avec qui j’avais pu avoir durant un temps des discussions fort sympathiques, il m’avait dit ceci le 3 janvier :
Pile dans les temps.
Et ça l’UDAAC ne l’a pas dit à ses membres qui pendant ce temps-là se sont reforcés…
Mais le principal fautif c’est moi. J’ai fait une totale erreur de casting. Je n’ai pas mis les bonnes personnes à la tête de l’UDAAC avant de partir et ça fera l’objet d’un article d’excuses aux membres qui ont pris peur face à ces fous.
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Si vous avez subi d’énormes pertes sur Atos, sachez qu’une action en réparation est en cours de constitution sur le site Upra.fr (l’Union Pour la Réparation des Actionnaires), pour recouvrer une partie de vos pertes par voie de justice. Cette action sera totalement gratuite pour les plaignants si nous arrivons à trouver le financement auprès de fonds et l’UPRA ne vous demandera aucun paiement ni cotisation ou autres.
Mais pour des raisons de couts de procédure, elle est réservée aux personnes ayant subi des pertes supérieures à 10 000€, sinon les coûts judiciaires, avocats, expertises, etc… en millions d’euros seraient supérieurs à la perte et ne seraient pas rentables pour le fonds qui financera ce recours. Soyez assuré qu’il ne s’agit pas de snobisme, mais réellement de contraintes financières.
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