Nous n’allons pas faire durer ces moqueries éternellement. J.P Mustier n’est plus aux Antilles depuis mi-mars et si le bateau dont il est fréquemment l’équipier, TEAM 42, a bien participé à une régate aux iles vierges Britanniques la semaine dernière, selon nos informations, Jean-Pierre Mustier est rentré à Paris vers le 10 mars et n’a pas participé à ces régates. Nous l’avions un peu titillé pour voir s’il faisait une apparition publique sur le balcon de son bureau à Bezons. Mais non.
Néanmoins, l’histoire de la transatlantique et du télétravail à Saint-Martin durant quelques semaines, elle, n’est en rien inventé. La photo d’illustration a bien été prise le 24 janvier à l’ile de Grenade, archipel des Antilles, après que Team 42 a franchi la ligne d’arrivée et rentrait au port de Granada.
Jean-Pierre Mustier s’est bien absenté de Paris durant 2 mois pendant qu’Atos perdait 670M€ de cash par mois dont 3 semaines de vacances car avec mon expérience de la voile au large, quand on fait du 15 noeuds avec un peu de houle, pas question de faire pas faire du télétravail en mode régate. Dans une transatlantique, on est équipier et on fait ses quarts et quand on a un peu de temps pour soi, on se repose. Il n’y a qu’à voir sa figure à l’arrivée pour comprendre l’état d’épuisement de l’homme.
Je vous remets en gros plan le visage épuisé de JP pourtant ancien para et sportif.
De là à dire qu’il n’a pas pu passer des coups de fils avec Paul Saleh, je n’irai pas jusque-là, mais la disponibilité se limite à une heure par jour.
Même si le télétravail a montré son efficacité durant le covid, le blog continue à penser que le séjour à Saint-Martin et d’avoir maintenu cette régate transatlantique de 3 semaines sur le Solaris 55 « TEAM 42 » était un choix déplacé vis-à-vis des salariés se battant pour la survie de l’entreprise avec en parallèle le cash qui a fondu de 1323M€ en 1 mois et 29 jours.
Nous pensons que si ça avait été Bertrand Meunier les choses se seraient passées autrement et que nous sommes surpris du traitement de faveur réservé par la presse à Jean-Pierre Mustier qui a désormais démontré une incompétence égale à celle de Bertrand Meunier en particulier en nommant pour sauver Atos un pur financier, Paul Saleh, pourtant viré 2 fois en 4 ans, sans appliquer la jurisprudence Léo Apotheker. Alors que Léo Apotheker,lui, était encensé pour son travail d’administrateur référence à Schneider, après son départ de HP. Paul Saleh est vilipendé sur les réseaux sociaux sur son incompétence au poste de CEO à Gainwell, ayant fait toute sa carrière comme CFO et n’était semble-t-il pas fait pour ce poste puisqu’il en a été remercié au bout de 2 ans.
L’affaire RORC-GATE est donc close, pour des raisons que j’ignore, mais probablement liées aux relations de Mustier, la presse n’a pas bougé un orteil face à cette attitude désinvolte de Mustier en plein naufrage d’Atos. Moi elle me laissera un goût amer.
Et quand bien-même, il aurait prévenu tous ses coéquipiers qu’il aurait 3 heures par jours à consacrer à Atos, sur un plan symbolique ça n’est pas acceptable, encore une fois, les conditions à bord d’un bateau à 15 noeuds ne sont pas propices à un environnement de travail serain et encore moins à prendre des décisions capitales pour le devenir d’une multinationale. Si Mustier était resté sur Bezons, peut-être que la conciliation serait arrivée plus tôt.
C’est dit, on tourne la page.
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Si vous avez subi d’énormes pertes sur Atos, sachez qu’une action en réparation est en cours de constitution sur le site Upra.fr (l’Union Pour la Réparation des Actionnaires), pour recouvrer une partie de vos pertes par voie de justice. Cette action sera totalement gratuite pour les plaignants car nous la ferons financer auprès de fonds spécialisés qui prendront un pourcentage en rémunération et l’UPRA ne vous demandera aucun paiement ni cotisation ou autres. À ce jour, plusieurs fonds ont fait part de marques d’intérêts, mais nous n’avons pas encore de réponse définitive. La réponse dépendra du nombre de personnes pré-inscrits et des comptes audités 2023.
Afin de ne pas déstabiliser la société, cette action ne visera ni Atos, ni ses dirigeants ou ex-dirigeants, mais uniquement ses auditeurs (commissaires aux comptes) en particulier DELOITTE supposé être le n°1 mondial de l’audit, mais que l’UPRA soupçonne avoir été très complaisante vis-à-vis d’Atos avec les règles comptables en vigueur, et leur reproche d’avoir fait manquer une chance aux actionnaires de ne pas acheter l’action quand elle était surcotée vis-à-vis de sa réelle valeur et d’avoir fait manquer une chance d’avoir vendu, quand la société s’effondrait et que la comptabilité ne reflétait pas cet effondrement, en particulier une absence totale de dépréciation d’actifs en 2022.
Je rappelle qu’à la publication d’un jugement qui dirait le contraire, Deloitte est supposé avoir certifié les comptes d’Atos de manière totalement sincère, et l’avis exprimé ci-dessous est l’avis de l’UPRA uniquement et reste à l’état de soupçons tant que nos preuves n’auront été validé par un juge.
Pour des raisons de coûts de procédure, elle est réservée aux personnes ayant subi des pertes supérieures à 10 000€, sinon les coûts judiciaires, avocats, expertises, etc… en millions d’euros seraient supérieurs à la perte et ne seraient pas rentables pour le fonds qui financera ce recours. Soyez assuré qu’il ne s’agit pas de snobisme, mais réellement de contraintes financières.
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