Zoom sur la mauvaise gestion des « Key Talents Atos » – Le grain de sable du plan Genesis – Trois talents qu’Atos a laissé partir récemment [Analyse-Blog]

 

A l’AG du 31 janvier Philippe Salle nous a expliqué en réponse à une question, que son variable était en parti lié à la rétention des Key Talents environ 3000 salariés identifiés par la RH sous cette appellation un peu ambiguë puisque cela sous-entend quelque parts que les autres sont des talents non essentiels.

Paul Peterson, lui a insisté sur le fait que malgré sa situation compliquée, Atos avait un taux d’attrition « incredible » (nombre % de salariés quittant l’entreprise chaque année hors licenciements), dans la norme de l’industrie.

Ça c’était le 31 janvier de cette année.

Deux mois et 10 jours plus tard, parait le DEU (document d’enregistrement universel) et dans la rubrique Facteurs de Risques, la société explique le contraire, que le taux d’attrition augmente. Voici ce qui est écrit page 419 :

« En effet, l’incertitude résultant du contexte actuel d’instabilité d’Atos influe défavorablement la fidélisation des consultants et les taux d’attrition augmentent. »

 

Certes il est dit dans le DEU que le taux d’attrition reste dans la moyenne du marché des ESN, mais Paul Peterson cache le fait que le taux d’attrition augmente en laissant penser qu’il est bon.

Or quand bien même il resterait dans la moyenne du marché, ce qui reste à prouver, le fait que le taux d’attrition se dégrade est donc une mauvaise nouvelle et non une bonne nouvelle. Mais comme on reste dans la moyenne des ESN on cache la mauvaise nouvelle et on la présente comme super exciting!! N’est-il pas Paul ? :-D!

DEU 2024 – Page 419

Pour illustrer ce mensonge de la direction, le blog en lanceur d’alerte des mensonges de la gouvernance d’Atos, ce qu’il a toujours été, a choisi d’attirer votre attention sur 3 départs récents de 3 cadres « fichés » comme « Key Talents Atos » par la RH. Désolés pour ceux qui n’ont pas été choisis, il est impossible d’être exhaustif en ce moment vu le nombre de départs. Malheureusement.

Le but de cet article n’est pas de faire du buzz en disant qu’il y a des départs pour dire qu’il y a des départs. On sait qu’il y a 14% de départs chaque année selon les stats Atos, mais simplement d’attirer l’attention des lecteurs et actionnaires, que ces talents voulaient pourtant rester chez Atos, mais on ne leur a pas proposé de postes, ou bien des rétrogradations.

Bien-sûr Atos est libre de droit de réponse et de faire parvenir au blog les propositions qui leur auraient été faites et le blog les publiera le cas échéant.

 

KEY TALENT #1 – Démarrons par la jeunesse – Maroin BENAHNINI

Il y a 15 jours dans un post, Maroin Benhanini annonçait quitter Atos. Nous l’avons donc interrogé. S’il n’a pas accepté de nous donner une interview sur son départ d’Atos à cause de sa NDA (non disclosure agreement), Maroin a cependant accepté de discuter de notre blog. Maroin nous a félicité sur la qualité de nos articles en nous précisant être un lecteur assidu du blog.

Aussi, nous lui avons demandé si en tant que fidèle lecteur, s’il pouvait nous donner le nom de sa future destination. Il a dit en rigolant « vous êtes perspicace Marc. Cherchez sur la fin de mon post, il y a un indice dans la dernière phrase avec l’expression « Feel the pulse».

Nous avons donc aussitôt demandé à Gemini « quelle pourrait être la destination d’un employé d’Atos qui donne comme indice « Feel the pulse ».

Nous annonçons donc que que le « key talent » Atos Maroin Benahini rejoint Nourdine Bihmane chez KONECTA. Belle prise pour cette étoile montante des centres d’appel avec des solutions hybrides « personnes physiques + Ai » et qui donc recrute beaucoup de profils IT, incluant son nouveau DG, ex-DG Atos, dont le Figaro vient de publier une interview.

L’attention sur ces deux talents « américains » a été porté à l’attention du blog par un de nos contacts à la RH particulièrement choqué qu’on laisse sur le banc deux talents, dans une zone géographique en difficulté, les USA. Voici ce que notre contact aux RH nous a rapporté sur le cas de Maroin :

Il a été nommé fin 2023 par Stéphane Richard responsable de TS Etats-Unis où cette division n’existait pas, avec à la clef, sur l’année 2024, 10M€ de CA from scratch (en partant de zéro).

Début 2025, Philippe Salle pousse dehors Stéphane Richard en décidant de régionaliser TS.

TS USA disparaît. Maroin passe soudainement sur le bench (ou en inter contrat comme on dit), puisque TS dépend maintenant des unités régionales et l’unité régionale, C’EST LUI 😀

Bon, là je crois que ça se passe de commentaires sur la stratégie de régionalisation de TS…

Selon mes infos en provenance de mon contact de la RH, Maroin pour tuer le temps appelait ses clients le matin pour voir si tout allait bien et attendait un coup de fil des ressources humaines Atos pour une réaffectation sur une autre mission aux USA. Toujours selon cette même source il aurait eu plusieurs des propositions de concurrents américains, mais son permis de travail USA avait été verrouillé par Atos et surtout il était très attaché à Atos, cette société où il a démarré sa carrière.

Maroin est citoyen français et n’a pas de carte verte, un simple visa de travail pour la filiale US d’Atos. Il se plait aux USA et n’a pas envie de revenir en France. Il le fait savoir à la RH selon ce qui m’a été rapporté par ce même contact. Toujours selon ce même contact, son épouse avait trouvé un travail aux USA et il avait donc des impératifs familiaux de surcroît.

Normalement tout aurait du être très simple sur le cas Maroin Benahnini. Les USA ont un gros besoin de talents en ce moment où l’activité US part en couilles.

En effet, cette zone reste sur deux grosses années de décroissance en 2023 et 2024, son CEO s’était fait viré il y a 8/9 mois. On pourrait presque parler « d’hémorragie US » avec juste sur Syntel, la réduction du scope de AMEX, la perte du très gros contrat de FedEx (120M€), et sur le reste des filiales US, la perte de Disney, Johnson et Johnson, Wilson Towers et bien d’autres,… je ne vais pas tirer sur l’ambulance.

A priori, toujours selon ma source, il attendait patiemment qu’on lui propose un nouveau challenge vu le dynamisme et la volonté de Remontada affiché par la nouvelle gouvernance.

Toujours selon mon contact de la RH qui a attiré mon attention sur ces 3 talents, on lui aurait fait une proposition en France, mais très peu en relation avec son expérience passé et le niveau du challenge qui lui avait été confié et réussi aux USA.

Pendant un mois je surveille donc le profil LinkedIn de Maroin et il y a 8 jours, voyant qu’il annonce son départ d’Atos, je le contacte et c’est là qu’il m’explique et me fait la gentillesse de m’annoncer en avant-première, via cet indice « Feel the Pulse », sa future destination. Pour ceux qui n’auraient pas compris la réponse de ChatGPT, Feel the Pulse est le slogan de Konecta.

Franchement, c’est du gachis quand je sais que y’a des clients-partners junior qui font 5M€/an de CA en France et là faire 10M€ à l’étranger t hors de son pays d’attache, en partant de zéro… du vrai gachis…

A la lecture de l’article, il semble que l’intéressé ait décidé de confirmer :

 

KEY TALENT #2 – Le talent des Key talents – Arnaud LANGER

Le « deuxième américain », c’est le monsieur à droite, le charme et l’élégance de Yannick Tricaud avec le talent en plus, puisque, restez assis, parmi 1.6 millions de candidats, il a été choisis en 2025 comme « Distinguished Leader », selon un podium établi chaque année par le « Marquis Who’s Who » et présenté dans un article du Wall Street Journal au côté de 16 autres lauréats. Si des lecteurs ont gardé le PDF de l’article du WSJ, je suis preneur. Ou si l’intéressé peut me l’envoyer, merci d’avance.

Donc en résumé un « talent des key talents ».

 

Voici ce que notre contact nous a rapporté sur Arnaud Langer :

Étant donné que Arnauld Langer dépendait de « Atos global » et non de Atos USA, il reportait à Stéphane Richard et pas à Maroin Benahini.

Stéphane Richard parti, il s’est retrouvé non seulement sans manager, mais aussi sans mission. Donc sur le banc (le fameux bench).

Ce qui est carrément ouf, c’est qu’une des spécialités d’Arnaud Langer, c’était l’Ai .

Pour une boite qui mise toute sur l’Ai jamais Arnaud Langer n’aurait du partir. En plus il n’était pas partant. Mais le banc, que ce soit au foot ou en ESN, personne n’aime cirer les bancs…

 

Donc quand on voit notre nouveau héro des syndics de copropriété nous dire que « l’Ai c’est pas trop tard » et « qu’il faut foncer foncer foncer, acheter des start-up d’Ai », alors qu’il a chez lui un mec spécialisé sur l’Ai et il le laisse sur le banc durant 3 mois. Hé Oh Philou, si tu arrêtais le one man show malgré la petite phrase « je ne suis pas ici pour faire un one man show » [et si ! ] et que t’occupais un peu de ce qui ne va pas dans ta boite au lieu de prévoir des Fusions et Acquisitions en 2026…

Malgré mes conseils répétés, tu n’a pas viré Paul Peterson, et en plus tu le fais monter sur scène à ton show, commettre un délit, puisqu’il diffuse des informations mensongères aux actionnaires à savoir qu’il que le taux d’attrition est bon alors que le DEU paru 34 jours auparavant dit qu’il se détériore.

Tu as des conseils 99.995% moins cher que Bain [moi] et tu ne les utilises même pas. J’espère que tu vas au moins virer Rakesh pour sauver Syntel ! Deux conseils simples. C’était pas dur à suivre pourtant ?? Bon pour Rakesh, il a déjà bien rétrogradé dans l’organigramme et il est dorénavant sous la tutelle d’un top 10 manager. Donc si tu as fait ça, c’est que je ne dis pas que des conneries. Je rappelle que y’a encore 6 mois, quand tu étais seulement président, il était encore CEO de tout Digital et il y a 7/8 mois encore au COMEX !

 

Enfin, le clou du spectacle, le truc qui n’arrive que chez Atos :

KEY TALENT #3 – Le recruteur des Key Talents – Jaime CARRILLO (à gauche sur la photo)

J’imagine, que tellement il est découragé par la nouvelle gouvernance et le fait que Paul Peterson reste à board, que le dénicheur de talents, le « chef des Key talent » s’en va !

C’est le monsieur à gauche de la photo d’illustration. Jaime Carrillo.

Là franchement ça la fout mal !

Pour ceux qui pensent que j’affabule, la preuve par Linkedin

Donc les talents s’en vont et celui qui avait 17 ans d’expérience pour les trouver s’en va aussi.

On est pas dans la merde les gars… et la prime de Philou aussi…

OK, je sais, 3 talents qui partent ça peut paraître anecdotique. Mais c’est 3 en 15 jours, vu que les 3 ont démissionné presque en même temps ça fait + tous ceux que j’ai pas cité, on doit arriver à facile à 10/15 par mois soit 150 par an. Jusqu’à 300, Philippe garde sa prime de rétention. La ça chauffe un peu quand même…

Ce mot « talent » ça m’a toujours déranger un peu car voudrait dire que les autres salariés d’Atos ne sont pas talentueux. C’est une sémantique Atos. Juste que selon les critères de la RH, 3000 salariés se démarquent du lot par leurs résultats. J’aurais préféré « les pépites Atos ».

Il n’y en a désormais plus que 2997 puisque ces 3 dernières semaines ces trois là ont quitté Atos et si des salariés me lisent et sont au courant du départ d’autres talents qu’ils m’écrivent [email protected] .

Donc tout ça ne va pas aider la prime variable de rétention des talents de notre cher PDG. Déjà que le pauvre, il perd 146 000€ sur ses 9M€ investis au cours de clôture de l’action Atos de ce vendredi soir et ça juste après son One Man Show. Le marché a donc peu gouté de ces prévisions fantaisistes sans aucun détail sur l’année 2026 et 2027. On en conclue donc que c’est :

Chiffres irréalistes et intenables, ça fait peur au marché. De l’humilité avec un zest d’ambition aurait pu soutenir le cours. Mais là les acteurs ont eu l’impression de revivre le 14 juin 2022 mais sans votre démission à la fin… (malheureusement…).  La démagogie, ça marche, mais pas en bourse, sauf avec un seule action. Tesla. Mais n’est pas Tesla qui veut…

Enfin comparaison avec Altran c’est juste honteux !

 

Altran ne sortait pas d’une procédure collective Mr Le président, et n’était pas noté en Junk Bond, ni en CCC pour la « old debt ». Au risque de me répéter c’est la new money qui est B-, la old money est toujours CCC.

Enfin vous avez bénéficié entre 2011 et 2012 de la grosse reprise de sortie de crise des subprimes et vous êtes très très loin d’être la seule companie sur cette période à être passé de 9% à 11.5% de MOP…

En plus nous l’avons vu, vous ne partiez pas de 2% de MOP, mais de 9%. (voir article complet)

Je rappelle que l’histoire des 4% de MOP c’est une rumeur totale, un truc propagé de bonne foi, mais par erreur, par quelques journalistes donc ceux de BFM, qui ont cru que Philippe Salle parlait de le MOP de 2024 durant le CMD alors que les 4% c’est un chiffre inventé pour 2025 et qu’on ne connaitra que le 31/12/2025 ! Et on est le 15 mai !!

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L’autre P du duo « des P&P » c’est le désastreux Paul Peterson, présent dans l’entreprise depuis 27 ans. Il aime à le rappeler. La dernière fois qu’il nous l’a sorti c’était 25 ans et c’était il y a 3 ans à l’AG du 18 mai 2022. Donc quand je vous disais que Paul avait toujours 2/3 verres dans le nez quand il monte sur scène, ça n’était pas une vue de l’esprit… Comme disait un analyste faisant remarquer à Philippe Salle durant le CMD qu’il avait prévu dans le FCF le résultats d’économies de restructuration, mais pas les dépenses des restructuration, « it’s math » a-t-il dit. A 3 ans d’écart, Paul n’a que 2 ans de plus dans l’entreprise. Cherchez l’erreur…

L’erreur c’est que Paul soit toujours là. Il a été sur tous les mauvais coups. La nomination de Meunier, la nomination d’Elie Girard, la nomination de Philippe Oliva, la nomination de Paul Saleh, la nomination d’Yves Bernaert, la nomination de Philippe Salle, la non-nomination au poste de CEO de Pierre Barnabé, responsable du départ de Nourdine Bihmane, etc.,. etc…

Donc résumons :

1/ Nourdine Bihmane et Yannick Tricaux poussés vers la sortie par Mustier. Les deux débauchent à mort chez Atos pour le compte de Konecta et Alten, car ils connaissent, EUX, les talents d’Atos.

2/ Hélène Bringer poussée vers la sortie par vous et qui débauche à mort chez Atos pour le compte de Thalès car elle connait, ELLE, les talents d’Atos. D’ailleurs au jeu de chaises musicales, elle a pris la place du gars qui a pris la place de Pierre-Yves Jolivet remercié et que vous avez mis à la tête de la cyber Thalès. Oups pardon, de la cyber Atos.

 

3/ Stéphane Richard poussé vers la sortie et Raoul Roth remercié après le même nombre d’année de services que Paul Peterson, qui lui malgré conneries sur conneries est conservés. Stéphane Richard débauche à mort car il connait, LUI, les talents d’Atos et Raoul Roth fera de même dans son futur poste.

4/ Arnaud Langer recrute déjà :

5/ Dans son post de départ (voir ANNEXE en fin d’article), Jaime Carrillo donne à la concurrence le nom des talents des talents. Et hop petit tacle par devant, c’est autorisé 😀

 

Mais à part ça Paul Peterson est super excited ! Normal, il pensait prendre la porte de suite et il est toujours là 😀 😀

 

Seul lot de consolation, la perfide Liz Tinkham a été mise dehors par le board. Enfin encouragé à ne pas se représenter pour un nouveau mandat et merci pour les services rendus, blablabla…

Ouf ! À quand le tour de Laurent Collet-Billon ? 😀 

Encore un an je crois ?

ANNEXES 

Post de départ de JAIME CARRILLO sur LinkedIn

After nearly 20 years, I’m closing a meaningful chapter of my career at Atos. This journey has not only shaped my skills but also my perspective on what truly drives an organization forward: its hashtagpeople.

Some transitions take time to fully process—not because they’re difficult, in this case, they’ve meant so much. I will carry with me the incredible memories of the talents and leaders I met, the meaningful work we did together, and the feeling of having been part of creating something truly hashtagpurposeful.

Although I began my international career as a Strategy and Innovation consultant (thanks to your trust in me Francisco Valverde, Marc-Henri Desportes, and Luc Barbier RIP), in Talent Management (Marc Meyer and Solange Moret, you gave me this opportunity), I found my true calling: helping people hashtaggrow, shaping learning environments, connecting talent development to business impact, …

I’ll carry with me most of the stories, conversations, and moments of growth shared with so many of you. Thanks to:

🙏 those leaders who invested their time, energy, and passion in developing Atos talents over these years with me via Atos Talent Academy, hashtagGOLD and hashtagFUEL Programs:
Nourdine Bihmane, Leon Gilbert, Rik Robarts, Alexa Van Den Bempt, Ligia Ardelean, Larisa Tatarcan, Wim Los, Yannick Tricaud, Udo Littke, Pierre Barnabé

🙏 The colleagues with whom I collaborated across borders to create a strong talent function:
Valérie Caillaud, Peter Kersten, Ramon van Knippenberg, Ian Boyton, Patricia Eugercios Suárez, Aritz Etxaniz Orbegozo, Karen Macgregor, Helene Marot 🐢, Neellesh Shrikant Dhopatkar, Lipika Singh, Anja Lilienthal, Delphine AGOSTINI, Florence GUITARD, Bilyana Lyubomirova, PhD, but also Susan, Sid, Vladi, and so many many many others….

🙏 To the strong Talent & Leadership team with whom I have worked so closely in recent years:
Prasanna Shivakamat, Anelia Spassova, Swati Valsangkar, Mihaela Deleva, Iva Zlateva, Bogdana Valcheva, Shouvik, Marina, Balaji, …

🙏 To those who teach, as you touch the future of organizations.
Randall P White, Hélène Musikas, Prescilla Loo-Myot, Claudia Peverini, Judith Shawcross, Thijs Westerink, Sophie Bricage, Jaspar, Irina, Laura, Celia, Simona, Laurence, Ludo, … and other fantastic professionals I had the opportunity to work with at HEC Paris Exec Education, IfM Engage, and FranklinCovey.

🙏 And the talent alumni network we built, especially over the last couple of years, including the unforgettable GOLD Intakes 27 & 28, and FUEL 10 & 13. Creating environments where others can learn and grow is one of the most impactful things you, as leaders, can do.

As I look ahead, I do so with gratitude and curiosity, open to the next opportunity to help shape cultures where people can do their best work.

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UN PROCÈS EN RÉPARATION DE PERTES BOURSIÈRES VA DÉMARRER EN JUIN.

IL EST GRATUIT sur le principe « NO WIN, NO FEES ».

L’association UPRA [Union Pour la Réparation des Actionnaires] vient d’obtenir un financement très conséquent auprès d’un fond de contentieux, pour un procès gratuit pour les plaignants en vue d’assigner les auditeurs d’Atos afin de recouvrer vos pertes boursières sur l’action Atos.

Si vous avez subi des pertes en tant qu’ancien actionnaire d’Atos, ou en tant que porteur d’options donnant droit à des actions, sachez qu’une action en réparation auprès de la justice française est sur le point de démarrer. Elle est ouverte à tous les actionnaires ou ex-actionnaires français, étrangers, et membres du FCPE.

Il s’agit d’une chance énorme pour les plaignants, car ce procès fonctionne sur le mode « no win, no fees », les plaignants n’auront aucune avance de fonds à réaliser. Le financeur, « le funder » sera rémunéré par une commission uniquement en cas de victoire.

Des informations complémentaires sont disponibles sur le site www.upra.fr . Il s’agit d’une première en France dans un dossier où des manquements à la réglementation boursière et comptable sont suspectés.

Que vous soyez actionnaire ou porteur d’options donnant droit à des actions, vous pouvez espérer recouvrer une partie significative de vos pertes et vous joindre à la cause. Plus nous seront nombreux, plus la part des réparations accordées ira aux plaignants, car elle permettra une meilleure « digestion » des frais fixes avancés par le fonds de contentieux. Nous espérons un ratio 70% plaignants et 30% pour le fonds de contentieux.

Si vous n’êtes pas encore préinscrit sur le site de l’UPRA, il est encore temps de le faire. Vous pouvez visiter le site ou cliquer directement ici pour vous inscrire.

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