COPRYRIGHTS « DECIDEURS JURIDIQUES » –
L’UPRA (www.upra.fr) publie après la présente introduction, une INTERVIEW de IVO CAPITAL PARTNERS, acteur majeur du financement DES PROCÈS DE GROUPE EN EUROPE, et partenaire financier funder du procès 4A « Action Against Atos Auditors », dans la revue « Décideurs Juridiques »
Un procès incroyable du petit Poucet contre Goliath, va démarrer la semaine prochaine, à savoir un groupe d’environ 1500 petits porteurs à minimum vont se porter plaignant contre le n°1 mondial de l’audit DELOITTE et le n°8 mondial de l’audit GRANT THORTON, respectivement l’ex-commissaire au compte d’Atos et le commissaire en compte en exercice aux côtés du nouveau venu Mazars.
Vu que vous, plaignants, participants à ce procès de groupe sans débours, car financé par notre partenaire fond de litige, vous allez signer non-seulement un mandat avec le Cabinet Vermeille & Co (voir article)
mais aussi un mandat avec la société spécialisée en financement de procès (litigation fund) qui finance cette action 4A, à savoir que dans un langage familier, tout le monde peut s’y inscrire gratuitement et seulement en cas de victoire une commission sera à payer à notre partenaire financier, partenaire, que désormais à quelques jours des inscriptions, nous avons décidé de vous présenter formellement, à savoir le Fonds français IVO Capital Parners, puisque vous allez de toute façon les connaitre en signant le mandat lors de l’inscription définitive, mandat qui les autorisera à prélever en votre nom la réparation qui sera attribuée par le juge, aux fins de prélever leur commission et de vous verser dans le foulée le solde vous revenant.
Il était donc désormais normal de vous les présenter.
IVO est un très gros fonds français puisqu’il gère environ 1.6Md€ d’actifs. C’est donc un partenaire ultra-solide. Il fait partie des 5/6 fonds de litiges Européen, avec a leurs actifs 36 procès financés et un taux de victoire de 80%.
https://en.ivocapital.com/litigation-finance-2
À l’UPRA, nous n’avons jamais caché aux plaignants que le litigation funding que c’était une activité lucrative et dans certains articles de presse présents sur la section Litigation Funding d’IVO Capital Partner, y figure même la rentabilité moyenne des fonds de litiges, qui est de 16%.
Or pour obtenir cette rentabilité, le travail des gérants, là où pour des actions ou obligation, il s’agit d’analyser le bilan de l’entrepris, est d’analyser la probabilité de gagner des stratégies juridiques des candidats au financement. Or si des gérants avec des profils juridiques hautement qualifiés, doctorat en droit, MBA, etc… veulent continuer à garder leur taux de procès gagnés de 80%, ils ne peuvent choisir que des procès, donc la probabilité d’être gagnés rentre dans ce % de 80%. Je précise que c’est un pourcentage théorique, une probabilité statistique et en aucun cas une certitude.
C’est aussi la garantie d’un extrême sérieux de l’action de groupe initiée par l’UPRA, car IVO Capital Parners/Litigation ne finance que 4% des dossiers qui leur sont soumis.
Ca veut dire que tout procès sélectionné par un fonds de contentieux a été examinée par une équipe interne de 3 gérants avec tous des CV longs comme le bras en droit, puis été audités par des cabinets d’avocats externes.
Je rappelle à toutes fins utiles que le principe du fonds de litige est que si le procès est perdu, le plaignant ne paie rien et le fond de litige, ici IVO Capital Parners [Branche Ligitation] perd 100% DES SOMMES INVESTIES.
Et là, juste pour la première instance, on parle de montants (je n’ai pas le droit de donner le chiffre exact pour des raisons de confidentialité) entre 1.2M€ et 1.6M€, nonobstant les éventuels frais d’appel s’il fallait aller jusqu’en appel pour gagner le procès, ce qui est une éventualité que nous tenons à préciser pour ceux qui espèrent le jackpot et récupérer des réparations en 15 mois.
Un procès, c’est toujours long et si appel, ça peut aller jusqu’à 4 ans. C’est d’ailleurs pour cela, que même si les avocats étaient autorisés à défendre des plaignants qu’en succès fees, alors que c’est interdit en France), c’est très compliqué à faire pour des gros procès, les avocats ne sont pas des banquiers.
La branche litigation funding n’est pas la plus grosse partie du Fond IVO Capital. Selon les années et le nombre de procès, l’UPRA estime que ça représente entre 5% et 8% de leur activité. En effet, des gros procès, avec 80% de probabilité d’être gagné, ça ne court pas les rues, donc certaines années, il y a moins de financements. C’est une activité cyclique car les fonds ne descendent pas en dessous de cette probabilité estimée de victoire de 80%. Ils préfèrent dans certains cas ne pas financer et faire des « petites années ».
Cet article avait aussi pour vocation de faire taire les Cassandre notamment une ultra minorité hystérique anti-blog parce que nous ne disons que la vérité aussi dure soit-elle à entendre, là où des PP naïfs croient que la Bourse c’est Walt Disney, comme la membre débile légère, officiant sur le forum Boursorama sous le pseudo Bravo22, ainsi que 4/5 compères de cette demeurée.
Le 10 février IVO Capital a donné son accord oral au cabinet Vermeille & Co pour financier le procès contre les auditeurs d’Atos et le 12 février par écrit. Il a ensuite fallu de nombreuses semaines pour rédiger la totalité de ce que l’on appelle « la documentation » dans le langage des contrats.
Certains d’entre vous n’y ont pas cru, ne se sont pas encore inscrits, mais vous le savez désormais,
1/ Le procès est officiellement financé par IVO un des leaders Européens du litigation funding avec 36 procès à son actif dont 80% de gagnés. https://en.ivocapital.com/litigation-finance-2
2/ Les 8 mois d’analyse de la stratégie de nos conseils, l’équipe du cabinet Vermeille & Co qui a été passé au peigne fin par non seulement IVO Capital, mais aussi des équipes externes de Due Diligence, sont une preuve de l’argumentaire ultra-solide du Cabinet Vermeille & Co
3/ Comme nous l’avons dit dans un récent article, il ne s’agit pas du procès de l’UPRA mais du procès de tous les actionnaires pré-inscrits ou non sur l’UPRA. LA SEULE DIFFÉRENCE c’est que les préinscrits sur le site UPRA pourront s’enregistrer dès jeudi 12, tandis que que les non-préinscrits pourront s’enregistrer le vendredi 20 juin. Il s’agit d’offrir la priorité de la hotline d’inscription à ceux qui nous ont fait confiance dès le début.
Documents nécessaires pour s’inscrire définitivement :
1/ Carte nationale d’identité ou passeport.
2/ avoir été actionnaire dans les périodes citées, février 2018 et mars 2024 en France comme à l’étranger. Pas de minimum de perte.
3/ avoir en main le relevé vous permettant d’entrer pour chaque achat et pour chaque vente, la date, la quantité d’actions achetées et le cours exact.
Exemple le 17 mars 2022, 1058 actions à 30.52€.
En ce qui concerne les justificatifs à Uploader sur la plateforme, nous reviendrons vers vous sous 2 mois après votre inscription une fois avoir vérifié que vos pertes sont éligibles ou au moins en partie. Il n’y a pas de conditions pour s’incrire, si ce n’est l’éligibilité de la perte qui correspond à une période durant laquelle nous avons des preuves à présenter au juge que nous estimons que la compta a été asincère.
Ceux qui veulent visiter la plateforme encore en version béta 1.2, vous pouvez y aller à cette adresse 4A.claims
Merci par avance :
1/ ne ne pas vous enregistrer avant d’avoir reçu l’emailing de l’UPRA, car les contrats à signer par Docusign n’ont pas encore été enregistré sur la plateforme. Si vous souhaitez faire par de remarques, notamment des questions à ajouter dans la rubrique FAQs, vous pouvez écrire à [email protected] , l’adresse contact [email protected] n’est pas encore active.
2/ de bien prendre en compte que IVO Capital ne traite qu’avec des « grands comptes » et n’a jamais de contact direct avec les plaignants Petits Porteurs. Si vous leur écriviez directement vous n’auriez pas de réponse. Je souhaite être clair, mais un peu ferme sur ce point, ils ont accepté de financer ce procès, on peut leur en savoir gré, mais ne leur demander pas à des docteurs en droit de faire la hotline. Ils financent notamment le cabinet Vermeille & Co pour le faire. Pour les « petits malins » qui voudraient ne pas respecter cette consigne, vous n’auriez tout simplement pas de réponse.
En résumé, vous savez tout :
Nous avons la chance d’avoir un partenaire solide et expérimenté, une plateforme informatique de la filiale IT du n°1 européen de la litigation, la plateforme « mydeminor » éprouvée dans plus de 100 procès avec respect ultra-strict de la vie privée et des règles AMF.
Bref, au procès haut de gamme, avec des financeurs haut de gamme, une infrastructure informatique haut de gamme et un cabinet leader à Paris du droit Boursier, Vermeille & Co.
L’UPRA n’a aucune vocation de démarchage, simplement plus nous serons nombreux plus la part des réparations accordées par le juge ira aux plaignants. Cet article est dans votre propre intérêt et bien entendu ni l’UPRA ni les membres de l’UPRA ne reçoivent d’avantages financiers quelconques sur le nombre de plaignants. Par contre une partie de la commission de IVO est fixe, donc mieux cette commission sera « digérée », c’est l’unique intérêt de l’UPRA de vous expliquer, vous porter propre intérêt à vous porter plaignant.
Dernière question qui est très souvent posée et à laquelle nous ne pouvons pas répondre, mais vous donner des points de repère, voici ce qui m’a été dit par des employés de Deminor, dont la filiale informatique nous fourni la plateforme d’inscription sécurisée MyDeminor :
1/ Pour un claim boursier, on considère que 25% à 30% de réparation est un très bon résultat.
2/ prétendre récupérer 50% des pertes boursières ou au delà serait une faute déontologique et éthique grave, ça n’arrive jamais, sauf pour des escroqueries majeures, style un produit qui n’a jamais existées, ou des commandes fictives de pseudo clients…. ce qui n’est absolument pas le cas sur le dossier Atos.
3/ Sur les 20 dernières années, la moyenne des réparations boursière [calculée uniquement sur les procès gagnés] est de 19%.
Il s’agit ici d’indicateurs, à chacun de se faire votre propre idée. Nous ne voulons en aucun cas donner aucune indication ou objectif qui, s’il n’était pas atteint, nous serait reproché.
Maintenant pour vous faire votre propre idée, je laisse la place à un interview du directeur et d’un des gérants de la branche litigation funding de IVO, et les curieux, pourrons jeter un oeil sur les CVs…
Et voici le lien pour se PRÉINSCRIRE SUR LE SITE DE L’UPRA. C’est encore temps, vous recevrez un email de confirmation mercredi 11 pour pouvoir vous inscrire de devenir officiellement plaignant.
Email : [email protected]
Tel/whatsapp : +66618218859 (tel/whatsapp uniquement pour les pertes supérieures à 20 000€, merci de votre compréhension SVP).
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L’ARTICLE-INTERVIEW DU 3 JUIN DERNIER
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UN PROCÈS DE GROUPE EN RÉPARATION DE PERTES BOURSIÈRES VA DÉMARRER EN JUIN.
IL EST GRATUIT sur le principe « NO WIN, NO FEES ».
L’association UPRA [Union Pour la Réparation des Actionnaires] vient d’obtenir un financement très conséquent auprès d’un fond de contentieux, pour un procès gratuit pour les plaignants en vue d’assigner les auditeurs d’Atos afin de recouvrer vos pertes boursières sur l’action Atos.
Si vous avez subi des pertes en tant qu’ancien actionnaire d’Atos, ou en tant que porteur d’options donnant droit à des actions, sachez qu’une action en réparation auprès de la justice française est sur le point de démarrer. Elle est ouverte à tous les actionnaires ou ex-actionnaires français, étrangers, et membres du FCPE.
Il s’agit d’une chance énorme pour les plaignants, car ce procès fonctionne sur le mode « no win, no fees », les plaignants n’auront aucune avance de fonds à réaliser. Le financeur, « le funder » sera rémunéré par une commission uniquement en cas de victoire.
Des informations complémentaires sont disponibles sur le site www.upra.fr . Il s’agit d’une première en France dans un dossier où des manquements à la réglementation boursière et comptable sont suspectés.
Que vous soyez actionnaire ou porteur d’options donnant droit à des actions, vous pouvez espérer recouvrer une partie significative de vos pertes et vous joindre à la cause. Plus nous seront nombreux, plus la part des réparations accordées ira aux plaignants, car elle permettra une meilleure « digestion » des frais fixes avancés par le fonds de contentieux. Nous espérons un ratio 70% plaignants et 30% pour le fonds de contentieux.
Si vous n’êtes pas encore préinscrit sur le site de l’UPRA, il est encore temps de le faire. Vous pouvez visiter le site ou cliquer directement ici pour vous inscrire.
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