Notre prévision de RN, les mensonges qu’Atos va dire demain et les informations capitales qu’Atos va omettre volontairement [Analyse-Blog]

 

Tout d’abord au vu des derniers rebondissements, nous avons eu un peu de temps pour affiner notre prévisionnelle de résultat net 2023, résultat qui en l’occurrence, ne va pas être un résultat, mais une perte et sera la plus grosse perte de l’histoire d’Atos avec un montant de 3.33Md€ de perte nette. Cette information étant publiée avant bourse, elle n’a pas l’intention d’influencer le marché et elle sera confirmé ou infirmé par Atos demain matin.

L’image d’illustration est tirée du serveur de streaming Atos SE sur lequel vous devrez vous connecter demain si vous voulez voir la conférence call en direct à 8H00.

https://edge.media-server.com/mmc/p/tppiw22z/

Devraient intervenir Paul Saleh et Carlo D’Asaro Biondo, ainsi que le nouveau CFO dont je ne sais pas le nom. Pour JP, je rappelle que le 4G ne passe pas super bien sur son bateau. Mais il vous salut bien.

JP sans sa cravate rouge, ça enlève un peu de charme, mais il compense avec ses solides jarrets.

En ce qui concerne les résultats. Nous savons déjà la triste MOP à 4.4%, le fait que la MOP du S2/2023 d’EVIDEN à 6.4% a sous-performé la MOP du S2/2022 d’EVIDEN à 6.7% et que TFCo a fait son meilleur semestre depuis 2020 avec un MOP a presque 4% sur le semestre.

Sur l’année la MOP de TFCo est supérieure, mais nous pensons qu’Atos a donné un peu de MOP de TFCo a Eviden pour que cette dernière ne soit pas trop ridicule et ça arrangeait tout le monde que la MOP du S1 à 2.5% soit basse pour TFCo. Selon nos informations internes, elle était déjà à 3% et c’est donc 50 points de base qu’Atos a pris à TFCo pour les donner à EVIDEN.

Le tableau ci-dessous est notre estimation la plus précise et consensuelle. Nous mettrons après une hypothèse très optimiste et une hypothèse plus conservatrice.

Nous sommes assez serain avec nos chiffres, avec une marge d’erreur de +/-5%, et si nous devions être démenti ce serait uniquement avec une erreur à la baisse, à savoir que le perte nette serait bien supérieure.

Hypothèse blog consensuelle. Celle que nous attendons demain : Perte nette de 3333M€

 

Hypothèse blog très optimiste et peu probable. Perte nette de 2853M€

 

Hypothèse conservatrice pas impossible du tout : Perte nette de 3640M€

Ce que l’on va vous dire demain à propos de ces pertes

Ce sont des simples écritures comptables sans débours pour que la comptabilité soit plus transparente (elle ne l’était donc pas ?)

Ce que l’on va vous cacher demain.

Que ces pertes comptables vont amener les capitaux propres à un niveau se rapprochant dangereusement de zéro.

Le niveau du cash actuel, c’est à dire au 26 mars, et le niveau de cash à la fin du mois précédent, le 29 février c’est-à-dire APRES le paiement des salaires. On va vous faire croire qu’il est assez similaire à celui du 31/12/2024.

Si le cash du 31/12/2024 est le même que celui évoqué, la logique voudrait que DELOITTE émette un avertissement dans le DEU que le niveau de cash tout en était réel (ce qu’il y a sur les comptes en banques au 31/12/2024) n’est pas sincère, car il ne représente pas le niveau moyen du cash quotidien des 45 derniers jours précédent la fin de l’exercice.

Ce cash est grossièrement manipulé et asincère. Nous avons le témoignage d’un cadre dans le top 20 du management d’Atos qui nous a expliqué que Atos avait arrêté de payer les Vendors (fournisseurs de solutions logicielles) à partir de mi-novembre et qu’en France, c’est considéré comme un retard, mais dans certains pays comme les USA c’est considéré comme un délit. Donc on se doute que cette pratique a été faite partout dans le monde hormis les USA.

Depuis la sortie du CAC40 et l’arrêt de l’obligation de publier des résultats trimestriels, Atos arrête de payer ses fournisseurs à partir de la 3ème semaine de novembre et la troisième semaine de mai, pour les payer les 2 et 3 janvier et le 1er et 2 juillet pour gonfler artificiellement le cash et la dette nette. Cette information vient d’un cadre d’Atos dans le top 30 du management.

Donc si l’on prend le cash vers le 5/6 janvier, une fois les fournisseurs payés ce cash est très très significativement inférieure. Cette manoeuvre délictueuse avait pour but de baisser la dette nette sinon les covenants bancaires n’aurait pas été respecté car à l’époque, ils étaient de 2.5. Donc quitter le CAC pour les magouilleurs tels Meunier c’est pas que des inconvénients. Breton en étant dans le CAC40 était obligé d’avoir un cash sincère, à savoir bon an mal an de 2000M€. Donc l’histoire de 2800M€ de cash minimum c’est une invention Meunier-McKinsey pour truander. D’ailleurs CAPGEMINI qui fait un CA 2.2X supérieur à Atos a un cash de 3600M€. Donc à CA égal ça ferait 1800M€ et pas 2800M€.

Je rappelle que la dette nette étant la dette globale moins le cash, si le cash augmente artificiellement, la dette nette baisse artificiellement.

Donc Atos durant l’année 2022 n’a jamais eu 3500M€ de cash en caisse. Or c’était la position de cash affichée au 31/12/2022. C’est le but de l’UPRA, le collectif de victimes ayant subit de grosses pertes, de demander via la justice des comptes à Deloitte pourquoi il a toléré ces pratiques. L’UPRA afin de ne pas déstabiliser Atos ne va attaquer que les auditeurs et ni la société ni les dirigeants je tenais à le rappeler.

Les mensonges que l’on va vous dire : LE BOOK to BILL à 108%.

C’est un demi mensonge. Pourquoi ?

C’est bien le chiffre au 31/12 pour l’année 2023, mais ce chiffre est totalement caduque depuis le 3 janvier. un client partner m’a dit : « ceux qui ont signé avant le 3 janvier c’est bingo pour eux. Ceux qui n’ont pas signé au 3 janvier ils pleurent ça signe plus rien ».

Un client partner m’a dit la chose suivante :

  • Coté commercial, je confirme qu’on est à la ramasse. Il  a 2 ans, je bossais sur un deal de plusieurs dizaines de millions et là, je bosse sur une migration de 200 mailboxes vers M365, un truc à 100 K€ avec 100 % de risques, avec un commercial qui me dit « tu sais qu’on n’a que ça ». En gros, je fais plus de services IT, je fais de l’assurance maintenant !

Un autre client partner m’a dit que  :

  • sur son secteur, sans que ça représente forcément une image fidèle de la totalité du groupe, le Book to Bill du 1er janvier au 29 février est de 10%, alors qu’il était dans la moyenne des autres zones géographiques en 2023 à la même période.

Dans ces conditions, ce que devrait faire légalement ATOS :

Un PROFIT WARNING, à savoir tout en annonçant le book to bill de 2023, préciser que le book to bill, au moins du S1 2024 sera plus de 50% en dessous de celui de 2023, et,

Un PROFIT WARNING sur le cash en précisant que le cash au 29 février est plus de 50% en dessous du cash du 31 décembre 2023.

Un PROFIT WARNING sur la croissance et prévenir le marché que la baisse du CA sera au strict minimum, mais très probablement bien inférieure à -10% du CA 2023 vu le trou qu’il y aura d’octobre à décembre. Pour l’instant la délivery est occupée jusqu’à mi-octobre (délivery = jargon ESN = comprendre la prestation des projets commandés).

À la place, on va vous faire de la mythomanie, ou la langue de bois classique de la dir comm Atos, vous dire que l’activité résiste, que la dégradation de la note S&P Ratings a affecté un peu le business, que les clients restent fidèles et ont simplement différé la signature des contrats et non pas signé à la concurrence et attendent simplement la confirmation des négociations avec les banques.

Raoul Roth le DG France de TFCo dans un de ses meetings a expliqué que les négociations avec les banques aboutiraient au mieux en juin 2024. Et encore parce que c’est pas un spécialiste et qu’il a été Brainwashé par Paul Saleh. Il n’y aura pas de négocation, mais une restructuration de la dette où les créanciers vont devenir les actionnaires d’Atos. Je vous rappelle qu’elles devaient être bouclées en oct-novembre 2023. Donc s’il y avait même 1% de chance, ça se serait déjà fait…

Ce que va dire Atos :

Cette perte nette est principalement liée à des dépréciations d’actifs et une simple écriture comptable, qui étaient mots pour mot ceux de Jean-Marie Messier en mars 2022 quand il a passé une perte de 13Md€ et que la société 2 mois après était en état de faillite et le sieur Messier éjecté du conseil d’administration.

Seuls les analystes peuvent tirer les vers du nez de Paul Saleh. Ils vont être triés sur le volet et si ça dépasse les 3 analystes je serais surpris. Je peux d’ores et déjà garantir qu’Hélène Coumes d’Alpha-Value n’aura pas la parole, que quasi plus aucun analyste ne suit la valeur à part Alpha Value et SG qui s’est réveillé ce jour et le seul qui est assuré d’avoir la parole est le loyaliste Nicolas David avec son objectif à 4.70€.

Voici le mail que j’ai écrit à Nicolas David de ODDO AM à 18h. C’est un des analystes qui connait le mieux le dossier d’Atos, mais qui curieusement le 28 février dernier a été d’une délicatesse sans noms avec Paul Saleh :

Le 1er mars 2023 votre collègue Mohammed MOAWALLA de Goldman Sachs avait été couillu. Il avait demandé à Nathalie Sénéchault si le bon niveau de cash était du à des retards de paiement fournisseurs (late payments) et Nathalie Sénéchault, tel Cahuzac qui à l’assemblée nationale « les yeux dans les yeux » avait dit aux députés « je n’ai pas de comptes en Suisse », N. Sénéchault avait répondu : « there are no late payments ». Mais bon, pour une avocate, c’est relativement naturel de mentir (N.Sénéchault était ex-avocate fiscaliste avant d’entrer à la DAF d’Atos).

Mais là, on à affaire à des spécialistes, car Paul Saleh niveau mensonges, c’est pas du second choix. Plutôt premium comme qui dirait. Il renvoyait Mustier en CFA2 ! Réécoutez le call du 19 janvier…

Ce que va aussi dire Atos :

que les problèmes de cash sont momentanés et principalement liés à la dégradation soudaine et « injustifiée » de S&P Ratings. Ce qui est amusant c’est que quand ils diront ça, ça sera spontané et ils auront oublié qu’ils viendront de dire qu’il n’y avait pas de problème de cash.

Leur principale voie de recovery niveau cash c’est de rétablir le plus rapidement le Reverse Factoring, technique très nébuleuse qui consiste à affacturer non pas les factures clients, mais les factures fournisseurs. Ainsi Atos passe d’un encours de 86 jours à un encours de 160 jours. Mais ça c’est fini de puis le B- et encore plus depuis le CCC. Et Atos est très nostalgique de cette technique apprise grace à Thierry Breton et qui avait déjà en 2017 contrarié l’analyste du Crédit Suisse.

Voilà le retour d’un camarade Atossien francophone après un call avec un Mr Gunther :

« Salut Map,

Quelques nouvelles du front  …

  • nous avons eu un call, cette semaine, avec, de manière très inhabituelle, un Gunther machin chose, apparemment co-CEO central Europe d’ATOS. Très très inhabituel
  • le Gunther a été très bon, bien plus que le pauvre XXXXXX qui ne savait que lire son script. Je pense que la dir com ATOS a dû réagir, après la prestation catastrophique de XXXXXX. 
  • Gunther a dit des choses très intéressantes, comme par exemple ceci :
    • oui, on se bat pour le cash, et on se bat avec nos fournisseurs et clients pour ça et c’est très chaud. Perso, je vois ces tensions tous les jours, Microsoft Azure, et pleins d’autres …
    • il y a eu des pratiques de « Factoring » (très répandues chez ATOS) qui ont disparues (contre le gré d’Atos) et on se bat pour qu’elles reviennent. Il faut lire: le cash manque et on se bat pour le rétablir aux dépens de nos clients et fournisseurs. C’est la première fois que ce terme de « Factoring » est utilisé dans un call …
    • Gunther a expliqué comment le groupe compte s’en sortir et c’est fort intéressant :
      1. vendre BDS à Airbus (y a pas d’autre projet de vente)
      2. après cet apport de cash, les banques seront mieux enclines à renégocier les termes de la dette et les repousseront (peut-être)
      3. après cet apport de cash, aussi, la notation S&P du groupe remontera et le cash reviendra donc « à la normale » grâce au retour du Factoring
      4. tout ira bien après tout ça

Ce que ne va pas vous dire Atos

C’est quand dans les dépréciations, il y a aussi des dépréciations d’immobilisations corporelles logicielles de R&D dont une grande partie est fictive.

En effet, il y a une technique très répandue chez Atos, initiée par Thierry Breton, car feu Bernard Bourigeaud, lui, n’y aurait même pas pensé.

Exemple concrêt :

Vous avez pris un marché à vil prix en espérant vous récupérer par l’ensemage, c’est-à-dire vendre des prestations non prévues dans le contrat initial pour relever la marge. Manque de bol le client reste ferme. Prenons un exemple encore plus précis, la DGA. Vous êtes en compétition avec deux belles maisons, Thalès et Sopra, et le client partner obtient l’autorisation d’être le moins disant. Le chantier est pris et à la fin, il est méga déficitaire. Qu’ont inventé les financiers hors pair de Breton puis transmis ce savoir aux hommes à Meunier :

On dit aux auditeurs que la solution logicielle installée chez le client va pouvoir être revendu à un autre client. On passe 30% des dépenses OPEX (opérationel expenses) en CAPEX (capital expenses) à savoir des dépenses que l’on immobilise et que l’on amortit sur 5 ans.  On fait croire à DELOITTE que le logiciel installé pourra être revendu à un client et DELOITTE très complaisant ferme les yeux.

Pourtant c’est un contrat militaire. Donc bien-sûr il totalement hors de question à revendre ce logiciel, quand bien même, il conviendrait à un autre client. Donc au lieu d’une perte, on engrange un bénéfice sur ledit contrat puisque 30% des dépenses sont retirées et amorties sur 5 ans. Cool non ? En plus ça augmente le RN et permet de distribuer plus de dividendes aux actionnaires.

Sauf que le système marche tant qu’il y a de la croissance, car chaque année les immobilisation intellectuelles augmentent et il faut donc du bénéfice supplémentaire pour les amortir. Et si le système s’enraye, ce qu’il s’est passé en 2020 quand la croissance s’est arrêtée avec le COVID, la pyramide de Ponzi s’écroule. Vous comprenez pourquoi l’UPRA va avoir à causer avec DELOITTE.

Donc il y a dans le bilan de la fausse R&D et comme il y’a maintenant une loi qui fait que une société ne peut rester plus de 10 ans avec le même commissaire au compte, c’est la dernière année de DELOITTE (il en reste encore un peu pour Grant Thorton), donc qu’Atos soit content ou pas, ils ne seront plus les auditeurs d’Atos l’année prochaine. Aussi ils veulent virer du bilan tous ces faux CAPEX, à savoir ces pseudo logiciels enregistrés en propriété intellectuelle et amortis sur 5 ans alors qu’ils étaient à usage unique.

Vous comprendrez mieux pourquoi, selon une source anonyme, les première personnes tierces qui se seraient penchés sur le berceau Atos ces dernières semaines, auraient parlé de « CHARNIER COMPTABLE ».

Si les dépréciations vont être si grosses cette année, c’est non pas parce que le cours de bourse a baissé, ce que Paul Saleh a essayé de faire croire à ses naïfs managers le 19 janvier, les dépréciations n’ont strictement rien à avoir avec le cours de bourse. Une société avec un cours de bourse élevé peut être amené à passer beaucoup de dépréciations et vice versa. Mais c’est parce que DELOITTE va devoir nettoyer à la fois les survaleurs (Goodwill), les dépréciations d’actifs traditionnels et dans ces dépréciations d’actifs traditionnels, virer tous les CAPEX imaginaires… Raison pour laquelle les dépréciations d’actifs vont être entre 2500M€ et 3000M€.

Donc je ne sais pas si la compta d’Atos est un charnier, mais ce que je sais, c’est que si vous arrivez demain à lire entre les lignes, ça va être sanglant pour le cours de bourse…

Aussi, ma Recomap amateur à but ludique est inchangée, Il y a un mois je me suis aligné sur Alpha Value à 30cts et ce lundi SG qui ne suivait plus le titre et s’est réveillé d’un coup bizarrement avant les résultats, c’est donc qu’ils sont accessoires pour eux et la dilution massive acquise, puisque le nouvel objectif est à 20cts.

PARIS (Agefi-Dow Jones)–Société Générale a abaissé lundi sa recommandation sur l’action du groupe de services numériques en difficulté Atos de « conserver » à « vendre », tout en diminuant son objectif de cours de 10 à 0,20 euro. Par ailleurs, Atos a annoncé prendre note des propos tenus par le représentant de son actionnaire Onepoint, David Layani, au sujet d’un plan de redressement, tout en précisant que le spécialiste de la transformation numérique n’avait pas présenté de tel projet à son conseil d’administration. Dans un entretien accordé au Figaro et publié dimanche, David Layani a présenté un plan de redressement pour Atos qui exclurait notamment tout projet de cession. Après ces annonces, le titre Atos progresse de 4,6%, à 1,84 euro. Le groupe a en outre indiqué qu’il communiquerait mardi matin sur ses résultats 2023 et sur ce qu’il appelle les « prochaines étapes », sans fournir d’autres indications. (ddelmond@agefi.fr et adore@agefi.fr) ed: VLV

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Si vous avez subi d’énormes pertes sur Atos, sachez qu’une action en réparation est en cours de constitution sur le site Upra.fr (l’Union Pour la Réparation des Actionnaires), pour recouvrer une partie de vos pertes par voie de justice. Cette action sera totalement gratuite pour les plaignants car nous la ferons financer auprès de fonds spécialisés qui prendront un pourcentage en rémunération et l’UPRA ne vous demandera aucun paiement ni cotisation ou autres. À ce jour, plusieurs fonds ont fait part de marques d’intérêts, mais nous n’avons pas encore de réponse définitive. La réponse dépendra du nombre de personnes pré-inscrits et des comptes audités 2023.

Afin de ne pas déstabiliser la société, cette action ne visera ni Atos, ni ses dirigeants ou ex-dirigeants, mais uniquement ses auditeurs (commissaires aux comptes) en particulier DELOITTE supposé être le n°1 mondial de l’audit, mais que l’UPRA soupçonne avoir été très complaisante vis-à-vis d’Atos avec les règles comptables en vigueur, et leur reproche d’avoir fait manquer une chance aux actionnaires de ne pas acheter l’action quand elle était surcotée vis-à-vis de sa réelle valeur et d’avoir fait manquer une chance d’avoir vendu, quand la société s’effondrait et que la comptabilité ne reflétait pas cet effondrement, en particulier une absence totale de dépréciation d’actifs en 2022.

Je rappelle qu’à la publication d’un jugement qui dirait le contraire, Deloitte est supposé avoir certifié les comptes d’Atos de manière totalement sincère, et l’avis exprimé ci-dessous est l’avis de l’UPRA uniquement et reste à l’état de soupçons tant que nos preuves n’auront été validé par un juge.

Pour des raisons de coûts de procédure, elle est réservée aux personnes ayant subi des pertes supérieures à 10 000€, sinon les coûts judiciaires, avocats, expertises, etc… en millions d’euros seraient supérieurs à la perte et ne seraient pas rentables pour le fonds qui financera ce recours. Soyez assuré qu’il ne s’agit pas de snobisme, mais réellement de contraintes financières.

www.upra.fr

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