Sous-titre : SCISSION MAUVAISE IDÉE, MAIS A LA RIGEUR; INTRODUCTION EN BOURSE d’EVIDEN: POURQUOI PAS, MAIS PARTIELLE; SPINOFF = HÉRÉSIE!
Cet article est la suite de SCISSION ATOS, Introduction et SCISSION ATOS, Partie 1.
Suite à ma Partie 1, qui explique que le contexte actuel est très différent du contexte de la génèse du plan de scission, j’ai écris un courriel à Bertrand Meunier et au Comex, email à ce jour resté sans réponse (même si courrier récent), où j’expliquais que le contexte qui avait donné naissance au plan de scission, n’était plus d’actualité et qu’un pause d’au moins quelques mois s’imposait, afin d’explorer des options alternatives, avec comme alternative principale une cotation en bourse partielle d’Eviden mais sans spinoff.
Contexte, pour ceux qui ne l’auraient pas lu, que je détaille dans l’article « SCISSON ATOS, Partie 1 – Il y a le feu au lac – La génèse du plan de scission« .
Cet article a été peu lu contrairement à l’introduction, et pourtant il est capital pour comprendre la scission à savoir que ça a été un plan créé à la hate dans un contexte de crise et de manque de liquidités, ce qui n’est plus le cas actuellement. Je rappelle l’article du Monde qui disait en avril 2022 que Atos « courrait après le cash ».
R. Belmer promet, pour le printemps 2022, un nouveau plan stratégique, mélange de relance commerciale, de rationalisation des coûts, de simplification et de cessions d’actifs. « Ces ventes sont la clé de voûte du redressement », prévient un fin connaisseur du groupe. Endetté, Atos a absolument besoin de cash pour mener à bien son plan. Et espérer échapper au démantèlement.
Publié par Map, le 19/04/2023
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Pour mieux comprendre le titre, de cet article j’aimerais faire une comparaison avec la scission IBM/Kyndryl, dans laquelle IMB a gardé les activités lucratives et mis les moins glorieuses dans Kyndryl. En effet il s’avère manifestement que McKinsey a juste réutilisé cette scision IMB pour faire celle de Atos et des ajustements à la marge. Scisson copier-coller, y compris les termes SpinCo…
- je dois confesser que je n’avais pas entendu parler jusqu’à récemment de cette scission, IBM ne faisant pas partie des GAFA et en y regardant de plus près, les 2/3M€ qu’on du toucher McKinsey, ne sont qu’un copier-coller du plan IBM, y compris dans les termes NewCo et SpinCo… Ca fait cher $3M le copier-coller…
- La scission IBM est un peu la même que celle d’Atos vu que c’est un copier-coller. Un long article sur McKinsey dans le Monde ou les Echos expliquent qu’ils ont une telle base de données de clients et dans tous les pays, que pour chaque cas de figure où leur expertise est demandé, ils utilisent leur base de donnée. Ainsi le plan covid n’est pas un plan covid français, mais le copier-coller des plans covids fait par McKinsey dans tous les pays clients de McKinsey
- La scission IBM n’a pas été un plan de sauvetage comme expliqué dans la Partie 1, mais un plan d’une société qui gagnait beaucoup d’argent pour essayer d’en gagner encore plus. IBM avait un RN de 5 milliards au moment où ils ont commencé à travailler sur le plan
- Pour l’instant cette scission est tout sauf une réussite, avec une action Kyndryl a $40 après l’introduction en bourse et aujourd’hui à $14.
- LA CHUTE VERTIGINEUSE DE KYNDRYL LORS DE SON INTRODUCTION, est la réplique de ce qui arrivera à EVIDEN et/ou New Atos, si la présidence ne suit pas les recommandations exposées dans mon courriel que vous pourrez lire un peu après.
- Avant le Spinoff en octobre 2021, le cours d’IBM seul est à 138€. Aujourd’hui IMB + KD = $141.
- Tout ça pour $3 !!!
Article de la presse amércaine mettant en évidence un plus pas de 1 an sur Kyndryl
Pour comprendre pourquoi la scission Atos a été baclée et pourquoi Meunier n’est pas la personne qui peut redresser Atos; qu’il n’a ni l’expérience, ni la compétence, il suffit de comparer la génèse des deux plans.
Et le pire en parlant de compétences, c’est que nous avons dans Atos LA PERSONNE, qui peut redresser le groupe. Et cette personne chez Atos depuis 21 ans n’est même pas au conseil d’administration et d’après des informations internes on n’a même pas prévu de l’y nommer pour l’AG du 30 juin.
LE PLAN IBM
En 2019, le DG d’IBM et le Comex d’IBM discuttent de l’opportunité d’une scission. Je rappelle que Warrent Buffet vient de dégager après seulement 5 ans l’action IBM de sa Holding Berkshire Hattaway, et à perte, chose que ne fait quasi jamais l’oracle d’Ohama Warren Buffet.
C’est donc une humiliation vécue très douloureusement chez IBM d’être dégagé de Berkshire Hattaway, là ou Apple représente 25% de la Holding de Warren Buffet.
Pendant plus de 6 mois, dans un climat serain et sans urgence, Comex et CA discutent de différentes options, consultent des cabinets et en arrivent à la conclusion qu’il pourrait être opportun de scinder IBM avec un SpinCo portant l’infogérance et IBM gardant les activités « tendances ».
Comex et CA arrivent à la conclusion qu’une telle scission serait opportune mais veulent en chiffrer le coût et les synergies plus précisemment. Il missionnent McKinsey et Deloitte pour effectuer un audit et des budget prévisionnels et leur donnent un an pour rendre leur rapport, soit une deadline pour juin 2020.
En juin 2020 les cabinets livrent leur rapport qui est positif en terme de valorisaton boursière et RN cumulé post-scission. Ils chiffrent à l’euro près le coût de la scission et le timing pour la mettre en oeuvre : un an à partir du feu vert de l’AG. Ils conseillent à IBM de garder 20% de SpinCo qui portera le nom de KYNDRYL et ce advis Eternam afin de garder le controle de Kyndryl.
Donc dans la scission IBM, c’est IBM qui garde les pépites et Kyndryl qui « récupère la merde ». Excusez-moi, c’est une expression familière mais pas grossière, mais ces deux scissions sont tellement archétypales et caricaturales qu’il convient de faire un peu d’humour.
Les dirigeants discutent encore quelques mois puis la scission est soumise au vote des actionnaires en Septembre 2020. Les procédures syndicales sont alors lancées, les procédures de filialisation sont lancées le spinoff réalisé et les actionnaires IMB récupèrent des actions KYNDRYL, et finalement le 4 novembre 2021, l’action Kyndryl est cotée au NASDAQ sous le ticker KD… Puis s’effondre tel un ballon de baudruche qu’on aurait persé 🙂
Je rappelle le timing de la scission Atos.
Les premières discussions autour de la scission démarrent dans les derniers jours de mars, dixit Diane Galbe dans la conférence call du 26/10/2022 et elle est figée le 16 mai, lendemain du refus par Meunier d’une dernière contre-proposition de Rodolphe Belmer, qui explique sa mine d’enterrement à l’AG alors que Bertrand Meunier plus hypocrite fait comme si de rien n’était, tout sourire avec son DG. (revoir l’AG)
Il faut ensuite un mois à McKinsey pour finaliser les 106 slides PowerPoint de présentation du CMD du 14 juin (Capital Market Day).
Bien qu’IBM leader mondial des ESN, ait créé « une sorte de jurisprudence » en montrant qu’une telle scission se faisait en 2 ans et demi, Mr Meunier, lui est bien plus pressé. Normal, son mandat se termine en Juin 2024. il sait qu’il ne sera pas renouvelé par les actionnaires, il joue donc un terrible contre-la-montre. Pour arriver à ses fins, il offre une prime de 120 000€ à Madame Galbe et Messieurs Bihmane et Oliva (source: document d’enregistrement universel 2021 amendé en juillet 2022) si la scission est faite en mode « Speedy Gonzales », c’est à dire mise en bourse d’Evidian à l’automne 2023.
Je me mets à la place des trois intéressés. 120 000€, même en brut, c’est pas rien.
Donc reprenons les dates. Premières discussion durant les tous derniers jours de mars 2022, disont au 1er avril pour faire un compte rond. Mise en bourse prévue de Eviden : 1er septembre 2023.
Donc là où IBM a mis deux ans et demi, Atos va mettre un vent à IBM en lui mettant un an dans les dents. KO le IBM. Atos aura bouclé une scission encore plus complexe avec migration de la dette d’Atos dans Eviden en seulement 1 an et demi, et tout cela sous la houlette d’une avocate fiscaliste (très sympathique au demeurant) devenue DAF de Atos depuis 9 mois.
Voici le courrier que j’ai écris au Comex, où bien qu’étant profondément anti-scission, je ne propose pas d’annuler la scission, mais de profiter du cash flow à l’équilibre pour faire une petite « pause Kit-Kat », respirer profondément et faire un point pour être sûr de ne pas faire d’erreur. Et cette « pause Kit-Kat », ce serait de faire une AGE pour voter la scission début septembre avec en main toutes les informations clefs, plutôt que de se précipiter dans une fuite en avant et de faire une scission par obstination et surtout PRÉCIPITATION avec des comptes qui seront connus seulement 15 jours avant l’AG.
LETTRE AU COMEX
Le 17 avril à 06h00.
Mesdames, Messieurs,
Monsieur le président Meunier,
administrateur d’un blog pour lequel lequel votre conseil, Novagraaf nous a dit que vous aviez le plus grand respect sur sa liberté d’expression, vous vous doutez que ma position, me permet via des messages privés, en plus des threads, de recueillir les avis de nombreux membres y compris des membres salariés de votre entreprise, sur la scission.
Ainsi grace aux informations de vos employés qui se retrouvent en consensus avec notre blog, nous avons pu annoncer 15 jours avant les résultats 2022 que TFco sous le dynamisme de Nourdine Bihmane avait selon nos informations, au moins un an d’avance par rapport au CMD et à priori nous étions même en dessous de la réalité.
Notre blog s’efforce à mettre essentiellement en valeur les forces de l’entreprise, tout en s’autorisant parfois par pluralité, à être critique quand il le faut, et en particulier au niveau du plan de scission.
Selon nos informations, 2 à 3 jours avant l’AG2022, Rodophe Belmer fondamentalement contre le plan de scission a fait une dernière contre-proposition au président Meunier, contre-proposition refusée, on peut donc dire que le plan de scission a été figé seulement le 16 mai 2022 et qu’il a été finalisé dans ses détails, en un mois seulement, là ou IMB a pris un an et demi pour décider et concevoir sa scission IBM/Kyndryl + un an pour la mettre en œuvre avant le spinoff définitif.
Nous, actionnaires, pensons que ce délai de conception, et le climat de genèse de ce plan, dont certains d’entre vous ont du lire mon article « La génèse, le feu au lac » à savoir un plan fait dans l’urgence pour rassurer banques, actionnaires et clients, n’est plus d’actualité aujourd’hui. C’est également la position affichée publiquement par plusieurs fonds. Le fait qu’il n’y a plus d’urgence, mais au contraire besoin de se poser et de réfléchir si l’on va vraiment dans la bonne direction.
Parmi les témoignages que j’ai reçu, une trentaine, + ceux écrits directement sur le forum, on distingue 3 catégories d’actionnaires:
1) ceux dont je fait parti, farouchement opposés au plan de scission ou, plus précisément au plan de scission en l’état.
2) les hésitants. Ce sont des actionnaires pas convaincus outre-mesure, mais qui se disent « on est allé trop en avant pour faire marche arrière » et qui vont prendre leur décision « dans l’isoloir »
3) les pro-scission, d’accord avec le plan en l’état.
Il y a 6 mois, la catégorie (3) représentait 70% de nos membres et auraient donné un vote acquis.
Aujourd’hui la répartition est d’environ 1/3 pour chaque catégorie, donc ce sont les (2) les indécis qui vont faire basculer le spinoff vers le succès ou l’échec de son vote lors de l’AG du 30 juin et plus le temps passe, plus le cours de bourse stagne, moins les (2) sont rassurés.
Même si je ne me considère pas comme un influenceur, je suis le plus gros contributeur en termes d’articles, et je vais terminer mon triptyque où je présente ma vision négative de la scission CMD, et je pense que l’amorce de redressement qui s’est dessinée le 28 février, ne nous interdirait pas, Comex et actionnaires, de nous entendre sur une pause de quelques mois pour mettre la scission en standby et en rediscuter en impliquant les actionnaires, via une AGE par exemple fin juillet ou début septembre où plusieurs solutions seraient proposées et non une seule « imposée ». Le CA en incluant le président représente SEULEMENT 0.3% du capital tandis que notre forum représente 2% du capital. Je me considère donc en vous écrivant, plus légitime que le CA et vous recevrez dans les semaines qui viennent les procurations de nos membres à titre de preuve, ainis que les résolutions proposées.
En effet, tout d’abord et pour paraphraser mon article, nous ne sommes plus dans la situation d’urgence de juin 2022, où le niveau de cash était préoccupant et idem pour les covenants.
Je ne suis pas convaincu que le périmètre des deux entités soit optimal et peut-être aussi, au vu de cette année écoulée, quelques ajustements sur les périmètres seraient nécessaires et même s’il ne s’agissait que d’ajustements à la marge. Sans vouloir vous faire offense, un mois à un mois et demi est une durée bien trop courte pour pondre en un premier jet un périmètre de scission optimal.
Enfin, le point le plus important et même capital, est que pour mettre en valeur via une cotation de Eviden à Euronext, il n’y a AUCUN besoin d’un spinoff. Le spinoff n’est en rien consubstantiel avec la scission. Ils peuvent se faire l’un sans l’autre et la présidence n’a toujours RIEN communiqué sur l’aspect fiscal du Spinoff à 2 mois de l’AG. Quel amateurisme monsieur le président. A quand votre démission…
La vente des 30% d’Eviden à Airbus, réduisait considérablement la dette nette et la direction y semblait favorable, même si apparemment exigeante sur le prix proposé.
Donc pourquoi Atos ne ferait pas l’inverse (je ne m’appelle pas McKinsey, mais ils n’ont pas le monopole des bonnes idées), à savoir conserver 70% d’Eviden et mettre en bourse 30%, et ce en deux phases.
Un premier 15% rapidement pour tester le marché et la valorisation qu’il attribue à Eviden et malheureusement la Cyber qui a été citée pour des montants de l’ordre de 2.5Md€, au sein d’un ensemble type Holding, ne sera valorisé qu’en multiples de l’Ebit et non en tant que « pépite ». Je table sur une valorisation moins optimiste que la direction et plus de l’ordre de 1.5Md€ (sur 100% du capital) avec la dette totalement portée par Eviden, on serait donc sur une rentrée de 300M€ pour ces premiers 15%.
Si c’était le cas, cela voudrait dire qu’il faudrait différer la mise en bourse des deuxièmes 15% jusqu’à ce que le marché valorise Eviden au moins 2.5Md€.
A terme, Atos pourrait à l’instar de Bouygues qui possède 51% de TF1 et la consolide dans ses comptes, faire la même démarche, à savoir ce que Thierry Breton aurait été bien avisé de faire avec Worldline, donc la vente reste toujours un mystère pour les collaborateurs Atos ou ex-collaborateurs Atos entrés en contact avec nous.
Il n’est jamais trop tard pour réaliser qu’on a fait des erreurs d’analyse. Cela grandit même ceux qui font cette démarche. En l’état il y a des chances importantes que le spinoff soit rejeté, de justesse certes, mais soit rejeté.
Si les plans du CMD sont respectés pour Evidian, même si tout laisse à penser pour l’instant qu’à l’inverse de TFco, on soit plutôt entre un à deux ans de retard sur le plan du CMD; dans 4 ans, les 33% d’Eviden (49-15% à l’introduction) vaudront entre 1.5 et 2Md€.
En terme de désendettement la société pourrait mettre sur le marché tous les 6 mois des tranches de 2.5% soit 5% par an pour écarter toute AK et arriver sous 5 à 6 ans à ne conserver que 51% d’Eviden dont la valorisation par le marché avec l’action Eviden cotée séparément mais toujours consolidée dans le groupe sera bien plus visible que via un spinoff et se répercutera mécaniquement sur le cours de l’action Atos autant, voir plus que via le spinoff qui sera très lourd fiscalement pour les PP (30% d’impôt sur l’action Eviden).
Ainsi, ce que je vous propose c’est le modèle Bouygues/TF1 plutôt que le modèle IBM dont il nous faudra attendre au moins 4 exercices fiscaux pour savoir s’il aura été fructueux ou non, et créateur de valeur pour les actionnaires sur le long terme; car seul le long terme pourra dire si cette scission aura été une réussite ou un échec. La bourse, surtout en ce moment est extrèmement volatile. Pour l’instant cette scission ne semble avoir rien apporté de particulierement positif.
Enfin la scission IBM a prévu de garder au long court 20% de Kyndryl dans IBM afin que IBM garde le controle de Kyndryl et que Kyndryl soit « forcé » à vendre des solutions IBM, alors que Atos a prévu de se désengager des 30% d’Eviden pour financer la restructuraion d’Eviden.
Avec mes salutations respectueuses,
Map (signé avec mon Patronyme)
CONCLUSION
A donner des primes de rapidité de 120 000€ pour la scission, le Comex est accaparé par la scission, devant préparer en même temps l’était du T1, deux CMD, des états financiers au 31 mai pour TFco et Eviden (Nathalie Sénéchault doit faire des nuits blanches et tourner au café le matin et au valium le soir…) et enfin une AGO riche en résolutions comme il n’en a jamais été organisée dans l’histoire d’Atos. Donc l’AG a été fixé (sources internes, exclu atos.blog) au dernier jour autorisé par le code du commerce et des sociétés à savoir dans les 6 mois suivant la fin de l’exercice, soit le 30 juin.
Si vous êtes d’accord avec tout ou partie des idées développées dans ce courrier, envoyez moi un mail très simple avec vos points d’accord ou des idées alternative. Je rassemblerai tous ces témoignages et les enverrai au Comex.
Autre citation appropriée: « il est urgent de prendre son temps »
La logique voudrait donc que les CMD et l’AG servent de présentation finale de la scission, que les états financiers des deux entités y soient présentés et laisser du temps aux actionnaires pour les examiner, et donc, qu’une AGE soit réalisée fin Juillet ou première semaine de septembre pour voter pour la scission et que plusieurs schémas de scission soient proposés et mis au vote, et qui incluent une simple mise en bourse d’Eviden sans spinoff, car à mon humble avis toute autre solution sera plus destructrice que créatrice de valeur pour les actionnaires et génèrera un fort flux vendeur lors des premières semaines de cotation.
Je vous avais promis cette partie 2 pour il y a une semaine. C’est plus un entracte qu’une partie 2, la « vraie » Partie 2 deviendra « Partie 3 – Un jeu à somme nulle ».
Partie 3 à suivre. prévue au plus tôt ce dimanche, sauf si des co-rédacteurs veulent se joindre à moi.
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