PARTIE 3 : La REMONTADA Atos – Un coup d’épée dans l’eau [Analyse-blog]

 

Le blog fait amende honorable. Pour une fois nous avons fait un article bâclé. La partie 2 de la saga « La Remontada Atos ».

Nous nous étions réjouis de 2 prises de guerre de Philippe Salle. Le CEO de la cyber Thalès Pierre Yves Jolivet et Michael Kollar identifié comme un des 4 talents qu’il fallait faire revenir au bercail pour Daniel Kretinsky.

Mais problème devant un article facile, nous avons cédé à la facilité. Nous n’avons pas fait quelques vérifications d’usage. En fait Pierre Olivier Jolivet s’était fait remercier de son post où il avait laissé un souvenir pas du tout impérissable et c’est Walter Cappilati qui avait pris sa place quelques mois avant et donc via le jeu des chaises musicales, laissé la sienne libre et c’est Thalès qui avait débauché Hélène Bringer. Donc la bonne opération a été faite par Thalès qui a récupéré Hélène Bringer très appréciée dans feu Eviden et qui avait préalablement mis dehors Pierre Yves Jolivet.

Donc Philippe Salle a récupéré un [apparemment] « canard boiteux » et en fin limier l’aurait selon certains ragots mis au Comex. Mais rien à ce sujet sur Atos.net

Quant à Michael Kollar, on m’a écrit que personne n’en voulait. Des proches de Nourdine Bihmane m’ont écrit pour me dire que jamais au grand jamais Nourdine Bihmane avait prévu de le faire revenir à la maison s’il avait hérité de la DG d’Atos racheté par Kretinsky et que c’était uniquement une volonté des équipes d’EPEI. Les avis que j’ai reçus de Michael Kollar étaient très critiques, que son départ avec soulagé et que ça va être le jour et la nuit à comparer de la science de Laurent Barbet, qui il faut le reconnaître vit un peu dans son monde technique, mais où il y excelle. Son remplacement par Michael Kollar va donc foutre un peu le bordel, mais sa volonté de partir à la retraite était sincère. Il aurait probablement fait les prolongations si Kretinsky avait racheté TFCo, car il faisait partie des piliers des cadres de l’équipe Bihmane, mais là dans les conditions actuelles, il n’avait pas envie de s’attarder outre l’âge légal de la retraite, son épouse l’ayant prise aussi.

J’ai essayé donc d’enquêter pourquoi Kretinsky l’avait mis dans la liste des 4 talents à faire revenir et personne n’a pu me donner d’explication. J’en déduis donc que c’était purement politique et que Kretinsky avait sondé Siemens et que Siemens avait dit OK pour continuer sur vous ramener Michael Kollar et que c’est pour cette même raison que Michael Kollar a été rattrapé au vol par Philippe Salle. Mais ça va être le bordel, car à part Siemens, chez le reste d’Atos, il n’est pas apprécié du tout selon mes contacts.

Donc un article pour rien. Un coup d’épée dans l’eau. Pas de prises de guerre. Juste deux seconds couteaux, qui viennent s’ajouter aux gestionnaires de syndic de copropriété, sans certitude absolue que Siemens restera jusqu’en 2027.

Errare Umanum Est.

D’ailleurs Atos va finir pas devenir une société de recyclage des cadres que Patrice Caine dégage. Déjà que le vice-président Laurent Collet Billon a été dégagé après 2 ans et demi de mandat d’administrateur au board de Thalès (départ anticipé en janvier 2018) tellement Patrice Caine n’en pouvait plus et ça allait en venir aux mains et pareil avec Pierre Yves Jolivet. En fait Laurent Collet Billon n’est au board que pour avoir les faveurs de la DGA.

Donc ça commence à faire vraiment usine de recyclage entres les « ex foncia » et les « ex Thalès » et les « ex-machine chose » … Toujours pas de cador à l’horizon !!!

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LIRE LA PARTIE 1 : Atos peut-elle faire une REMONTADA ??? [Analyse-blog]

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UN PROCÈS EN RÉPARATION DE PERTES BOURSIÈRES VA DÉMARRER EN AVRIL.

IL SERA GRATUIT sur le principe « NO WIN, NO FEES ».

L’association UPRA [Union Pour la Réparation des Actionnaires] vient d’obtenir un financement très conséquent auprès d’un fond de contentieux, pour un procès gratuit pour les plaignants en vue d’assigner les auditeurs d’Atos afin de recouvrer vos pertes boursières sur l’action Atos.

Si vous avez subi des pertes en tant qu’ancien actionnaire d’Atos, ou en tant que porteur d’options donnant droit à des actions, sachez qu’une action en réparation auprès de la justice française est sur le point de démarrer. Elle est ouverte à tous les actionnaires ou ex-actionnaires français, étrangers, et membres du FCPE.

Il s’agit d’une chance énorme pour les plaignants, car ce procès fonctionne sur le mode « no win, no fees », les plaignants n’auront aucune avance de fonds à réaliser. Le financeur, « le funder » sera rémunéré par une commission uniquement en cas de victoire.

Des informations complémentaires sont disponibles sur le site www.upra.fr . Il s’agit d’une première en France dans un dossier où des manquements à la réglementation boursière et comptable sont suspectés.

Que vous soyez actionnaire ou porteur d’options donnant droit à des actions, vous pouvez espérer recouvrer une partie significative de vos pertes et vous joindre à la cause. Plus nous seront nombreux, plus la part des réparations accordées ira aux plaignants, car elle permettra une meilleure « digestion » des frais fixes avancés par le fonds de contentieux. Nous espérons un ratio 70% plaignants et 30% pour le fonds de contentieux.

Si vous n’êtes pas encore préinscrit sur le site de l’UPRA, il est encore temps de le faire. Vous pouvez visiter le site ou cliquer directement ici pour vous inscrire.

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