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ENQUÊTE – Au bord de la faillite, le géant français de l’informatique a multiplié pendant quatre ans les recours à ses divers conseils stratégiques, financiers et juridiques. Certains s’interrogent sur la pertinence de ces dépenses colossales.
C’est l’histoire de deux courbes qui se croisent. L’une, qui voit le cours de Bourse d’une des plus grandes entreprises d’informatique du pays, Atos, s’enfoncer inlassablement. L’autre, représente l’accélération sans bornes des frais de conseils stratégiques, financiers et juridiques payés par l’entreprise lourdement endettée. Selon des documents issus d’un fichier interne issue d’une fuite et obtenus par Le Figaro ainsi que d’autres médias, Atos a payé depuis 2019 des montants conséquents à ses avocats et conseils en tout genre. Cumulés par nos soins, la somme dépasse les 900 d’euros en l’espace de quatre ans. Un montant énorme, même pour un groupe aux 10 milliards de chiffres d’affaires annuels. Ce fichier, obtenu par lanceur d’alerte qui a fait un signalement au parquet de Paris, mentionne parfois plus d’un millier de prestataires à travers le globe. Peu étonnant, vu l’empreinte internationale du groupe informatique et ses centaines de filiales.
Parmi eux, certains s’arrogent une part plus importante du gâteau. Le cabinet américain E&Y a ainsi touché près de 190 millions d’euros depuis 2019. Son compatriote américain, McKinsey, aurait encaissé plus d’une centaine de millions d’euros, rien que depuis 2022. PwC, un des « Big Four » de l’audit et du conseil, a perçu 28 millions d’euros en quatre ans, contre 20 millions environ pour Deloitte. Les conseils juridiques ne sont pas en reste. Le cabinet d’avocats français Darrois Villey Maillot Brochier a facturé 37 millions d’euros en trois ans, contre 47 millions pour son confrère américain Paul Weiss Rifkind Wharton & Garrison et 31 millions pour Baker McKenzie. Du côté des banquiers d’affaires, Rothschild a bénéficié de près de 18 millions d’euros entre 2023 et 2024.
«Des dossiers extrêmement lourds à gérer»
Cette avalanche d’honoraires a été déclenchée dans un contexte particulier. Il faut rappeler qu’Atos, ces cinq dernières années, n’a guère connu de semaine de répit : dégradation rapide des résultats financiers, valse de directeurs généraux (huit en cinq ans), enchaînement des plans de réorganisation, projet de scission de l’entreprise, processus de vente avortés ou réussis, plan de sauvegarde accélérée s’achevant par la prise de contrôle du groupe par ses créanciers. Peu d’entreprises tricolores ont connu de telles secousses sur un laps de temps si réduit. Pour éviter de sombrer, le patient Atos a multiplié les consultations et traitements en externe, ce type de pathologie ne se soignant pas avec de simples ressources internes. « Il y a eu un nombre de dossiers extrêmement lourds à gérer depuis 2022, martèle un proche d’Atos. Le groupe considère qu’il est resté dans les standards du marché. »
Certains acteurs et observateurs de ce dossier sensible sont plus circonspects : ils se demandent si le remède, très coûteux, ne s’est pas révélé pire que le mal. « Les syndicats ne décolèrent pas face à l’ampleur des montants dilapidés, assène, sous couvert d’anonymat, une syndicaliste très amère. C’est une belle bande de sangsues qui a saigné Atos sans scrupule et avec un bilan lamentable. »
Interférences
La plupart des critiques se concentrent sur la scission en deux du groupe, regroupant d’un côté ses activités de maintenance de parc informatique dans une entité baptisée TechFoundations, de l’autre ses activités data, cloud, cybersécurité dans un ensemble nommé Eviden. Ce projet, censé donner un nouveau souffle à l’entreprise, a été acté le 14 juin 2022. « C’est là qu’on a commencé à sentir que les conseils venaient interférer de façon massive avec la stratégie de l’entreprise, se souvient Karine Dran, coordonnatrice pour le syndicat CFE-CGC. La direction nous présentait des slides mal réappropriés avec des logos pas masqués de McKinsey ou EY. »
Le premier de ces deux cabinets, qui conseillait régulièrement Thierry Breton lorsqu’il dirigeait Atos, avait disparu des radars après son départ en 2019. Mais il fait son retour dans le groupe à la faveur de la nomination de Rodolphe Belmer, un ancien de McKinsey, à la direction générale, en janvier 2022. Objectif : poser son diagnostic sur Atos et proposer des options stratégiques. Le conseil d’administration retient celle de la scission. McKinsey empoche des honoraires de 44 millions d’euros en 2022. « Le conseil d’administration, dans un dernier éclair de lucidité, a tapé du poing sur la table pour faire baisser le niveau des honoraires, qui devait atteindre 70 millions d’euros », assure l’un des dirigeants de l’époque.
Le cabinet EY, qui réalisait avant 2022 des prestations de conseils financiers et a travaillé sur un précédent plan de réorganisation par métier (Spring), est associé à cette nouvelle étape. En 2022, ses honoraires atteignent 40 millions d’euros. « Ils ont été mobilisés à la conception mais également à la mise en œuvre de la séparation, sur des prestations diverses mais très nombreuses », indique-t-on dans l’entourage d’Atos. Interrogé par Le Figaro sur la nature des missions menées, McKinsey refuse tout commentaire. EY, de son côté, assure qu’il lui est « impossible de répondre à des questions visant des opérateurs économiques nommément désignés » pour des raisons de « déontologie professionnelle ».
L’entreprise a fait volte-face sur le projet de scission et les conseils se sont enrichis à l’aller comme au retour.
Un ancien membre du comité exécutif d’Atos
« À partir du moment où les cabinets sont assis sur une réalité du terrain, ils peuvent être utiles, insiste Karine Dran, jugeant que toutes les dépenses chiffrées ne sont pas illégitimes. L’impression que nous avons est que tout a été fait sur des PowerPoint sans prendre en compte la réalité opérationnelle. » Un ancien membre du comité exécutif d’Atos, de son côté, parle d’un « scandale ». Et d’ajouter : « Ces recommandations ont été utilisées à l’appui d’une scission absurde sur laquelle le conseil d’administration est revenu plus tard. L’entreprise a fait volte-face et les conseils se sont enrichis à l’aller comme au retour. » Loin de sauver Atos, l’opération ratée accélère le délitement du groupe, déjà mal en point. Pour commencer, elle lui coûte une fortune en frais de conseil : 500 millions selon le CSE, et jusqu’à 700 millions d’euros, selon le rapport d’enquête sénatorial sorti en avril.
Sans dénoncer cette « pratique courante » et la « liberté d’une entreprise de recourir aux prestations de conseil », les rapporteurs soulignent que ce montant représentait « plus de la moitié du besoin de financement global de 1,2 milliard annoncé par Atos pour 2024 et 2025 ». « Une moindre dépense en réorganisation aurait permis de contribuer au désendettement de l’entreprise », estiment-ils après avoir audité tous les dirigeants du groupe de ces cinq dernières années.
Recours accru à des prestataires
Pour ne rien arranger, ce projet de scission, auquel nombre de cadres n’ont pas adhéré, occasionne une vague de départs, une désorganisation générale… et donc un recours accru aux consultants extérieurs. « En l’espace d’un an, le groupe perd la moitié de son comité exécutif, indique un ancien de la maison. Dans mes propres équipes, dans l’année qui suit, on enregistre 20 % de départs dans le management intermédiaire. Et c’est le cas partout ailleurs. Il n’y avait plus personne pour faire tourner la boutique. » La direction du groupe doit alors recourir aux prestataires pour continuer à opérer, ce qui distend encore les liens avec les équipes. « Ceux qui restent n’ont plus confiance en eux. Vous désapprenez à travailler, et vous vous mettez à payer 5000 euros la journée pour des consultants alors que vous avez la même matière grise en interne », assure un acteur de l’époque.
Selon deux sources, dont l’une travaillait alors au département achats, le recours aux cabinets a été massif, parfois sans passer par les canaux traditionnels et la mise en concurrence. Ainsi, à ses yeux, les tarifs ne faisaient pas l’objet de négociations sérieuses. Un des huit directeurs généraux passés au gouvernail ces cinq dernières années évoque auprès du Figaro un dérapage qui aurait nécessité « des mesures drastiques ». « Bien entendu que vous dépensez plus en médecine quand vous êtes malade, précise-t-il. Mais si, en plus des grosses opérations, vous demandez de l’aide pour un rhume, ce n’est plus normal. »
Face à l’instabilité managériale, le conseil d’administration aurait dû jouer son rôle de contre-pouvoir. Au contraire, son président de l’époque, Bertrand Meunier, est pointé du doigt par nombre d’acteurs du dossier. À les entendre, il s’est isolé du management et, plus encore, du terrain. Certains l’accusent d’avoir laissé le contrôle de l’entreprise aux conseils, expliquant cette dérive par son profil personnel et professionnel. « C’est un ancien du “private equity”, indique un ancien du comité exécutif. Ce sont des structures qui travaillent sans arrêt avec ces acteurs-là pour minimiser le risque de leurs investissements. »
Des dysfonctionnements dénoncés
Le projet de scission divise, tout comme l’entrée en négociations exclusives avec l’homme d’affaires Daniel Kretinsky à l’été 2023 pour lui céder le contrôle de TechFoundations. Les conditions de cet accord, qui n’a pas été à son terme, seront estimées plus tard désavantageuses pour Atos. En octobre 2023, des actionnaires minoritaires ouvrent un front juridique contre le conseil d’administration et déposent une plainte au Parquet national financier. En claquant la porte, un administrateur, René Proglio, envoie un courrier salé à l’AMF pour dénoncer des dysfonctionnements. « Où étaient alors les conseils ? Ce n’était pas normal de laisser son client conclure un accord aussi mauvais », observe, un peu cynique, un bon connaisseur du groupe. « C’est de la mauvaise foi. Un prestataire n’a pas vocation à décider à la place du conseil d’administration quelle est la bonne stratégie commerciale et ce qu’il faut céder », se défend un des prestataires du dossier. Ce dernier rappelle qu’à ce jour, aucune décision de justice n’a mis en cause le conseil d’Atos.
Poussé vers la sortie en octobre, Bertrand Meunier est remplacé par Jean-Pierre Mustier à la présidence. Dès 2024, ce dernier engage une restructuration financière, en plaçant le groupe sous la protection du tribunal de commerce. Dans les comptes, les dépenses de cabinets de conseils stratégiques sont alors réduites. Mais celles des cabinets d’avocats et banques d’affaires en charge du sauvetage d’Atos flambent. La restructuration financière permet de réduire la dette d’Atos de 2,1 milliards d’euros (sur un total de 4,9 milliards) et d’apporter 1,75 milliard de nouveaux financements, dont 1,6 milliard de nouvelles dettes, à des taux d’intérêt élevés. Son coût, révélé par Atos, grimpe à 168 millions d’euros, dont 30 millions de prise en charge des coûts assumés par les créanciers. Une facture légèrement supérieure aux restructurations récentes de Casino (126 millions) ou Orpea (130 millions). Les montants de dettes annulés étaient néanmoins supérieurs dans ces deux cas. « Sans ces frais, Atos ne passait pas l’année », défend un proche des créanciers, nouveaux propriétaires de l’entreprise.
Des honoraires négociés
Parmi les principaux bénéficiaires des honoraires payés par Atos, le cabinet d’avocats Darrois Villey Maillot Brochier, mandaté depuis 2022 par la société technologique, a encaissé plus de 30 millions d’euros honoraires en trois ans. Il revendique « avoir travaillé sans discontinuer sur des dossiers qui se sont distingués par leur complexité, leur envergure et leur intensité ». Avant d’ajouter qu’« une équipe dédiée en continu d’au moins 15 avocats a été renforcée dans les périodes les plus intensives pour atteindre jusqu’à 35 avocats ».
L’entreprise estime avoir fait son travail pour limiter l’explosion de la note. « Les honoraires ont été négociés de la meilleure manière possible, assure un porte-parole. On ne peut pas dire que la nouvelle direction est dispendieuse. Jean-Pierre Mustier, depuis son arrivée, d’abord comme président du conseil d’administration, puis désormais comme directeur général, a mis fin à plusieurs contrats et a refusé de se payer depuis son arrivée. » Reste à savoir si ce plan de structuration, dont la fin a été annoncée à la veille de Noël par le nouveau président Philippe Salle, donnera assez de marge de manœuvre au groupe pour sortir durablement de l’ornière. Meurtris depuis cinq ans, les 100.000 salariés du groupe espèrent la fin de cette spirale infernale.
https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/la-descente-aux-enfers-d-atos-un-jackpot-a-1-milliard-d-euros-pour-les-cabinets-de-conseil-et-les-avocats-20250106
COMMENTAIRES-BLOG
Le blog a déjà consacré un petit article à ce sujet puisque c’est un membre de l’UPRA qui a souhaité être lanceur d’alerte, et que nous avons eu le privilège d’avoir eu les informations en premier, mais par courtoisie vis-à-vis de nos camarades de la presse spécialisée, nous les avons laissé tirer les premier, la micro-audience de notre micro-blog n’est sans commune mesure à la leur.
Le blog a pris le temps de refaire des calculs plus exhaustifs et a rajouté des prestations de Ernst & Young, qui dans le fichier natif croisé dynamique Excel n’était pas dans le filtre Conseils & Advisors. Nous l’avons réaffecté dans la branche conseil. Il semblerait selon un syndicaliste, que ces sommes aient servit à assister la RH dans le détourage Eviden/TFCo, il s’agit donc de conseil en RH, donc de RH. Le delta sans cette ligne est de -30M€ sur 2022/2023/
Il semblerait aussi selon la presse spécialisée que McKinsey ait lâchement contesté ses honoraires. Aussi tout comme Macron a contesté qu’il y avait des mamadous de partout et le Monde réaffirmé être sûr de sa source, le blog réaffirme que le fichier étant une extraction SAP réalisée par Caroline d’Aboville directrice monde des achats, même si ça n’est pas elle bien-sûr la lanceuse d’alerte, que nous maintenons que McKinsey MENT et que nous sommes sûrs de nos chiffres, tout en précisant qu’il s’agit de chiffres non audités et qu’il peut y avoir une variation de plus ou moins quelques %.
Quant à la somme totale sur 4 ans évoquée par le journaliste, en tenant compte de la facturation à venir en novembre et décembre et compte tenu qu’il y a beaucoup de factures qui arrivent le 31 décembre, ou des régularisations de fin d’exercice avec « factures à recevoir », nous estimons le total proche est 1.2 milliards d’euros (entre 1160M€ et 1180M€), chiffres cette fois-ci pour l’ensemble des conseils & advisors et sans préjuger d’autres conseils que SAP n’aurait pas classé dans cette catégorie. En tenant compte d’une réaffectation à postériori, sur d’autres sociétés et de la même façon que nous l’avons constaté pour E&Y (il n’était matériellement pas possible de faire cette vérification sur la trentaine des plus gros cabinets d’Atos) le blog a la quasi-certitude qu’on dépasse très largement les 1.2Md€ sur 2020/2021/2022/2023/2024
Si l’on enlève la période 2020 peu consommatrice de conseils car Elie Girard était focalisé à surpayer des start-up avec 99% de Goodwill (CloudReach par exemple) alors que justement, là, il aurait été bienvenu qu’il demande son avis à des conseils, on obtient lissé sur 4 ans circa 250M€ de conseils & advisors par an, soit 5.6% des charges externes et 2.5 points de marge opérationnelle brulée juste pour ce poste.
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