Nous souhaitons nos félicitations au gagnant, à savoir un pool composé essentiellement des obligataires pour 79% avec Onepoint comme Anchor Investor. Pour l’instant je n’inclus ni Butler ni Econocom dans ce consortium et je ne le ferai pas tant qu’on ne saura pas la somme qu’ils y investissent (s’ils y investissent des euros et non du simple consulting ou partenariat comme l’on fait Onepoint et Atos durant quelques mois) et je suis extrêmement surpris qu’en même temps que le choix du board on n’ait pas eu la dernière offre du gagnant puisque l’avant-dernière était le mélange de plusieurs lettres à plusieurs dates différentes et qu’il y manquait les taux d’intérêts de la New Money des créanciers banques. Je n’ose pas espérer que d’ici demain l’offre ne soit pas publiée.
New Money crée durant 5 ans pour les banques.
====
Sachant que pour les créanciers obligataires on sait déjà le taux de rémunération de la new money et de la old money
Old money conservée 9% contre 1.5% actuellement
===
New Money côté obligataires (ceux qui ont lancé le plan) et là c’est la cash machine :
13% contre 1.25% actuellement
=====
Restez automatiquement averti à chaque nouvel article du blog, au rythme maximal de 3 fois par semaine. Inscrivez-vous à notre NEWSLETTER. Cliquez ici. Vous pourrez vous désinscrire à tout moment. Nous utilisons un pluggin officiel WordPress agréé CNIL.
=====
Si vous avez subi d’énormes pertes sur Atos, sachez qu’une action en réparation est en cours de constitution sur le site Upra.fr (l’Union Pour la Réparation des Actionnaires), pour recouvrer une partie de vos pertes par voie de justice. Cette action sera totalement gratuite pour les plaignants car nous la ferons financer auprès de fonds spécialisés qui prendront un pourcentage en rémunération et l’UPRA ne vous demandera aucun paiement ni cotisation ou autres. À ce jour, plusieurs fonds ont fait part de marques d’intérêts, mais nous n’avons pas encore de réponse définitive. La réponse dépendra du nombre de personnes pré-inscrits et des comptes audités 2023.
Afin de ne pas déstabiliser la société, cette action ne visera ni Atos, ni ses dirigeants ou ex-dirigeants, mais uniquement ses auditeurs (commissaires aux comptes) en particulier DELOITTE supposé être le n°1 mondial de l’audit, mais que l’UPRA soupçonne avoir été très complaisante vis-à-vis d’Atos avec les règles comptables en vigueur, et leur reproche d’avoir fait manquer une chance aux actionnaires de ne pas acheter l’action quand elle était surcotée vis-à-vis de sa réelle valeur et d’avoir fait manquer une chance d’avoir vendu, quand la société s’effondrait et que la comptabilité ne reflétait pas cet effondrement, en particulier une absence totale de dépréciation d’actifs en 2022.
Je rappelle qu’à la publication d’un jugement qui dirait le contraire, Deloitte est supposé avoir certifié les comptes d’Atos de manière totalement sincère, et l’avis exprimé ci-dessous est l’avis de l’UPRA uniquement et reste à l’état de soupçons tant que nos preuves n’auront été validées par un juge.
Pour des raisons de coûts de procédure, elle est réservée aux personnes ayant subi des pertes supérieures à 10 000€, sinon les coûts judiciaires, avocats, expertises, etc… en millions d’euros seraient supérieurs à la perte et ne seraient pas rentables pour le fonds qui financera ce recours. Soyez assuré qu’il ne s’agit pas de snobisme, mais réellement de contraintes financières.
Conforme à ce que je pensais. À savoir l’aspect social a fait la différence. Est-ce une bonne chose l’avenir le dira. Côté Bercy le choix social était aussi incontournable indépendamment de l’aspect souveraineté. Bàv.
L’aspect social, ça concerne surtout le pognon de dingue qu’on va continuer à payer Saleh, Mustier et les administrateurs sur le dos des efforts des salariés, en attendant la faillite fin 2025.