Il disent que Mustier n’a pas pris le temps de lire le raport de Alex Ruckert. Oui Mustier est un incompétent. Mais Ce Ruckert tout autant.
Il fait de l’anti-Kretinskisme primaire, du racisme tchèque alors que l’on a la chance d’avoir un investisseur francophile, alors qu’on a accueilli à bras ouvert la face la plus immonde du capitalisme qu’est Mital en lui donnant Arcelor, qu’on a fermé Florange sur les caprices de M. Mital et que ça n’a pas posé problème à l’époque.
Kretinsky est en train de redresser Casino et Editis d’une main de maitre. Les échos ne sont que positifs. Bien sûr, les super et hyper sont sortis, mais de la faute à une conciliation bien trop lente (5 moins) des créanciers qui dans un premier temps ont refusé de se coucher et laissant la gestion 100% autonome à Jean-Charles Naouri, et donc de la faute à 1Md€ de pertes supplémentaires durant la conciliation et la sauvegarde ou tout était géré par Jean-Charles Naouri.
Kretinsky est totalement étranger au fait que durant les 5 mois de conciliation et 4 mois de sauvegarde accélérée Jean-Charles Naouri a brulé 1 Md€ de cash supplémentaire, d’ailleurs exactement la même somme que va bruler Atos et la vente des actifs souverain à l’état va juste compenser le cash brulé, de même que la vente des 350 super et hyper casino a compensé le milliard brulé par Naouri. Comme si Kretinsky était responsable d’une gestion où il n’avait alors pas encore son mot à dire.
Il a pris les clefs du camion le 14 mars. Donc oui avec 350 super et hyper en moins et seulement 7000 supérettes restantes il va falloir licencier 1250 personnes au siège à Saint-Etienne. Mais qu’est-ce qu’à avoir Kretinsky là-dedans ? C’est le système judiciaire qui l’a laissé continuer à massacrer Casino durant 9 mois.
Chez Casino 1200M€ d’investissement sur 4 ans ont été prévues dans les supérettes. Aucun magasin du périmètre repris n’a été fermé à ce jour.
Quant à Editis, il s’est passé ce qui va se passer à Atos, 150 cadres sup sur 300 ont été remplacés. On ne garde pas les cadres d’une entreprise qui pert de l’argent. Chez Atos on a changé 2/3 têtes à l’exécutif et les mauvais sont toujours là. On ne peut pas bruler 100 à 120M€ par mois sans qu’il y ait des canards boiteux, les fameux managers non productifs derrière leurs tableaux Excel, alors qu’il existe des outils de flux automatisés qui dispensent de l’usage d’Excel. Rien qu’en licences Excel; Atos pourrait faire tourner Microsoft pendant un an.
P’tit con de Robert Lafont, si Kretinsky a les faveurs de l’Elysée c’est parce qu’il a confiance en la France, aux talents français, parce qu’il investit son argent en France et pas aux USA et ne va pas chercher des patrons de PME sans formation académique qui veulent reprendre un groupe 20 fois plus gros que leur sans même publier les comptes de leur société ceux qui rend impossible toute évaluation de leur performance.
On ne sait RIEN des performances de Onepoint. On ne sait même pas si elle est en bénéfice et vous voudriez, Mr Lafont, faire un projet de ça, et un projet à crédit. Kretinsky discute dur, oui, mais lui c’est un talent, et oui les comptes de VESA sont publiés ! Monsieur Kretinsky est membre de l’Union Européene. Cela montre le peu de respect que vous avez du drapeau Européen, par contre avez-vous fait des articles pour dénoncer la main mise émirati, chinoise et russe sur l’immobilier parisien ? Avez-vous fait des articles sur le non respect du raptriement des usines française sur sol chinois promises après le covid… Donc oui vous êtes un p’tit con.
L’éloge du projet français de Layani financé par un fond américain et In Fini retourner dans un système à crédit de surendettement. Franchement Messieurs Lafont et Mrs Ruckert. J’aurais deux seuls mots : coucouche niniche.
Rentrez chez vous et oubliez le dossier Atos, non seulement vous ne le connaissez pas, MAIS vous ne le connaissez PAS DU TOUT !!! La France ne mérite pas des revues torchons de la sorte.
Vous êtes deux nigauds qui s’imaginent sans même avoir lu son business plan que Kretinsky va dépecer Atos. Il n’y en a qu’un seul qui va dépecer Atos c’est Layani, car il lui faudra vendre des actifs pour restructurer TFCo. Non seulement vous prêtez des intentions à Kretinsky qu’il n’a pas mais vous fonctionnez sur des bruits de couloir probablement propagé par les autres repreneurs et les créanciers. Croyez-vous que Kretinsky se serait battu pour avoir une clause de non-concurrence sur Eviden lors du rachat du 1er aout de SEULEMENT 3 ans, s’il n’avait pas l’intention de recréer rapidement un périmètre total similaire à celui d’Atos d’aujourd’hui. Donc là où durant plusieurs années post acquisition de TFCo, Kretinsky aurait du laborieusement racheter des petites entreprises pour recréer un digital, recréer de la cyber, il a l’occation d’avoir cela clef en main, et il irait le vendre immédiatement après l’avoir acheté.
Non seulement c’est de la connerie, mais c’est de la débilité.
Kretinsky ne va pas dépecer Atos car il n’a aucune raison, ni logique, ni technique, ni juridique de le faire et que le blog a des infos précises à ce sujet. Encore une fois, que à la marge, 5 à 10% du périmètre soit cédé pour des ajustement géographiques, oui, mais ce sera dans des proportions BIEN PLUS ELEVEE dans l’autre dossier.
Il est donc évident que Kretinsky ne vendra pas Eviden, à bon entendeur mesdames les coordinatrices.
Cette histoire que Kretinsky garderait TFCo pour vendre Eviden, c’est très probablement un mythe créé par les proches d’un monsieur qui n’a pas que des très bonnes fréquentations, car je rappelle qu’il a été mis en examen pour des sulfureuses histoires dans dossier Kadhafi-Sakozy.
Dans l’article de libé je cite : L’entrepreneur a reconnu devant les juges avoir «été un peu dépassé […] par une affaire et des gens […] semblant les uns les autres assez fascinants».
Apparemment ce monsieur Layani est très vite dépassé. Qu’est-ce que ça va être avec un groupe de 100 000 personnes dans 65 pays….
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Si vous avez subi d’énormes pertes sur Atos, sachez qu’une action en réparation est en cours de constitution sur le site Upra.fr (l’Union Pour la Réparation des Actionnaires), pour recouvrer une partie de vos pertes par voie de justice. Cette action sera totalement gratuite pour les plaignants car nous la ferons financer auprès de fonds spécialisés qui prendront un pourcentage en rémunération et l’UPRA ne vous demandera aucun paiement ni cotisation ou autres. À ce jour, plusieurs fonds ont fait part de marques d’intérêts, mais nous n’avons pas encore de réponse définitive. La réponse dépendra du nombre de personnes pré-inscrits et des comptes audités 2023.
Afin de ne pas déstabiliser la société, cette action ne visera ni Atos, ni ses dirigeants ou ex-dirigeants, mais uniquement ses auditeurs (commissaires aux comptes) en particulier DELOITTE supposé être le n°1 mondial de l’audit, mais que l’UPRA soupçonne avoir été très complaisante vis-à-vis d’Atos avec les règles comptables en vigueur, et leur reproche d’avoir fait manquer une chance aux actionnaires de ne pas acheter l’action quand elle était surcotée vis-à-vis de sa réelle valeur et d’avoir fait manquer une chance d’avoir vendu, quand la société s’effondrait et que la comptabilité ne reflétait pas cet effondrement, en particulier une absence totale de dépréciation d’actifs en 2022.
Je rappelle qu’à la publication d’un jugement qui dirait le contraire, Deloitte est supposé avoir certifié les comptes d’Atos de manière totalement sincère, et l’avis exprimé ci-dessous est l’avis de l’UPRA uniquement et reste à l’état de soupçons tant que nos preuves n’auront été validé par un juge.
Pour des raisons de coûts de procédure, elle est réservée aux personnes ayant subi des pertes supérieures à 10 000€, sinon les coûts judiciaires, avocats, expertises, etc… en millions d’euros seraient supérieurs à la perte et ne seraient pas rentables pour le fonds qui financera ce recours. Soyez assuré qu’il ne s’agit pas de snobisme, mais réellement de contraintes financières.